réponse défi 12, "Vie fabriquée", soul calibur (astaroth-centrique), G
Titre: Vie fabriquée
Auteur: drakys
Défi:12 (1 événement, 3 points de vue)
Temps utilisé: ~50 (/60) minutes
Fandom: soul calibur
Personnages: palgaea, kunpaetku, astaroth
Rating: G
Disclaimer: namco
Notes: and now, i'll go get coffee and breakfast. as a reward. or something.
L'incarnation de la Guerre, Palgaea, existait sous plusieurs noms, mais c'était sous celui-là que le culte Fygul Cestemus le reconnaissait et lui était dévoué. Le dieu que d'autres appelaient Arès convoitait l'épée que tous désiraient depuis les ténèbres de leur cœur.
Soul Edge.
L'épée maudite qui rendait fou, qui consumait les âmes et qui était la cause depuis si longtemps d'un chaos beau dont il voulait devenir le maître, pour le distribuer à qui il voulait, pour satisfaire quelque noir désir connu de lui seul.
Il donna l'ordre qu'on la lui rapporte, de sa convoitise allait naître un être inhumain.
Kunpaetku mit aussitôt tout en œuvre pour concevoir un outil assez puissant pour traquer et retrouver Soul Edge, pour en prendre possession. Dans la chaleur infernale, une forme frissonna quand les volutes épaisses de brume s'écartèrent, s'éveillant à sa vie fabriquée.
Astaroth ne connaissait que son but.
Une lueur de folie éclaira le rire de Kunpaetku à chaque pas qui éloignait son golem de leur sanctuaire et qui le rapprochait de l'épée. Chez le grand prêtre de Fygul Cestemus se renforça une idée douce.
"Si je possédais ce pouvoir que même les dieux désirent", raisonna-t-il. "Je deviendrai un dieu moi-même!"
Le golem marchait résolument, un seul but en tête: l'épée. Seule l'épée lui importait, cette épée qu'il devait absolument rapporter à Palgaea. La seule certitude d'Astaroth, c'était qu'il n'existait que pour s'emparer de Soul Edge, cette arme puissante que convoitait celui qui était à l'origine de sa création.
Le dieu n'avait pas été dupe de ceux qui le servaient, encore moins du grand prêtre de Fygul Cestemus: dans cet enfant grotesque auquel il avait prêté le souffle de la vie, il avait placé en secret l'esprit d'un de ses servants fidèle.
Si Kunpaetku le trahissait, Ker jamais n'oserait pareille folie.
(30 juin 2007)
Auteur: drakys
Défi:12 (1 événement, 3 points de vue)
Temps utilisé: ~50 (/60) minutes
Fandom: soul calibur
Personnages: palgaea, kunpaetku, astaroth
Rating: G
Disclaimer: namco
Notes: and now, i'll go get coffee and breakfast. as a reward. or something.
L'incarnation de la Guerre, Palgaea, existait sous plusieurs noms, mais c'était sous celui-là que le culte Fygul Cestemus le reconnaissait et lui était dévoué. Le dieu que d'autres appelaient Arès convoitait l'épée que tous désiraient depuis les ténèbres de leur cœur.
Soul Edge.
L'épée maudite qui rendait fou, qui consumait les âmes et qui était la cause depuis si longtemps d'un chaos beau dont il voulait devenir le maître, pour le distribuer à qui il voulait, pour satisfaire quelque noir désir connu de lui seul.
Il donna l'ordre qu'on la lui rapporte, de sa convoitise allait naître un être inhumain.
Kunpaetku mit aussitôt tout en œuvre pour concevoir un outil assez puissant pour traquer et retrouver Soul Edge, pour en prendre possession. Dans la chaleur infernale, une forme frissonna quand les volutes épaisses de brume s'écartèrent, s'éveillant à sa vie fabriquée.
Astaroth ne connaissait que son but.
Une lueur de folie éclaira le rire de Kunpaetku à chaque pas qui éloignait son golem de leur sanctuaire et qui le rapprochait de l'épée. Chez le grand prêtre de Fygul Cestemus se renforça une idée douce.
"Si je possédais ce pouvoir que même les dieux désirent", raisonna-t-il. "Je deviendrai un dieu moi-même!"
Le golem marchait résolument, un seul but en tête: l'épée. Seule l'épée lui importait, cette épée qu'il devait absolument rapporter à Palgaea. La seule certitude d'Astaroth, c'était qu'il n'existait que pour s'emparer de Soul Edge, cette arme puissante que convoitait celui qui était à l'origine de sa création.
Le dieu n'avait pas été dupe de ceux qui le servaient, encore moins du grand prêtre de Fygul Cestemus: dans cet enfant grotesque auquel il avait prêté le souffle de la vie, il avait placé en secret l'esprit d'un de ses servants fidèle.
Si Kunpaetku le trahissait, Ker jamais n'oserait pareille folie.
(30 juin 2007)