Titre =
Le Printemps à Poudlard Auteur =
Dadzetos Pairing ou Personnages principaux = Drago/Hermione
Type = Saga terminée (4 chapitres), mais l'auteur a parlé de l'éventualité d'une suite.
Nombre de mots = 4672
Genre = Romance, Drame, Narration
Rating = PG-13,
Résumé = Laissez moi, moi cerisier dans le parc de Poudlard, vous raconter une des petites histoires à laquelle j'ai assisté, je vous préviens, je ne vous raconterais que ce que j'ai pu voir, le reste à vous de l'imaginer.
Pourquoi il faut lire cette fic =
Ceux qui me connaissent, savent que je n'ouvre jamais un fic sur le couple Drago/Hermione, pourtant j'ai été séduite dès les premières lignes, par le style inhabituel de ce texte, c'est un cerisier du parc de Poudlard qui parle, de ce qu'il a vu et ce n'est pas commun. Tout est raconté de manière très poétique, avec une aura de mystère car on ne sait pas ce qui passe lorsque les protagonistes sont loin du cerisier. L'auteur a également choisi d'écrire une fin surprenante, mais je n'en dévoile pas plus pour ne pas gâcher le plaisir de la lecture. Est-il utile de dire que l'auteur est un garçon ? Espèce en voie de disparition dans le monde de la fanfiction.
Un petit extrait =
Pensiez vous que la vie d’un arbre était fade ? La plupart oui, mais pas la mienne. Je plains ces conifères sans teint qui errent en troupeau agglutiné dans les épaisses forêts des montagnes, ou entre les malheureux figuiers, plantés sur leur île déserte, qui ne voient jamais personne. Mais il y a nous autre, les chanceux. Les platanes des cours de récréation, les chênes des parcs publics, les saules pleureurs des grands bassins royaux, et moi, petit cerisier de Poudlard.
Ma vie est passionnante, non pas me concernant, je me contente d’être et de pousser comme tout le monde, mais ce qui importe ici, c’est l’endroit où je pousse. Le parc de Poudlard, cette merveilleuse école, et pas n’importe où, près du lac, un peu en retrait non loin de la cabane du garde-forestier, ce bon ami. Je reste un peu en retrait, caché à la vue de l’immensité du parc.
Evidemment je vois vos questions : Comment peux-tu avoir une vie intéressante si tu es caché ? Et bien parce que chaque année, au printemps, alors que les branches se parent d’une fourrure rose et blanche à faire pâlir le plus rose des camélias, je deviens le coin le plus branché des amoureux transits.
Ô les amoureux cachés, les joues rosées qui s’embrassent pour la première fois, les premiers je t’aime à l’ombre de mes fleurs. Je les aime ses moments, il me donne à chaque printemps une excitation folle.
Laissez-moi-vous raconter la dernière histoire de couple que j’ai pu rencontrer. Je vous préviens, je n’en sais pas toute la fin, seulement les échos qui parviennent à mes branches, et les vibrations qui troublent mes racines. Je vous la livre telle quelle.