KKM - Wolfram - Thème 50 Aussi proche que maintenant
Thème : 50. Aussi proche que maintenant
Personnage : Wolfram
Série : Kyou Kara Maoh !
Rating : G
Spoilers : Nope.
Disclaimer : Werhner est made in Skpm77, mais le reste ne m’appartient pas ! ^_^
Note : Séquelle de 11. Tes jolis yeux bleus sont juste un vitrail et 12. Eveille-toi en moi
Wolfram dormait profondément. Il avait la bouche entrouverte, un jambe hors du lit et les couvertures avaient glissé par terre. Wehrner s’approcha en silence.
Le Serment l’a épuisé, avait dit son père, le ton désapprobateur et Wehrner n’était pas certain de savoir si c’était à cause de l’absence de son fils ou de la fatigue de son petit-fils.
« Fils d’imbécile, murmura-t-il. Tu n’étais pas censé prendre le nom des Bielefeld. Il ne te servira à rien. Qu’est-ce que j’aurais dû faire, pour t’éloigner encore plus ? »
Wolfram marmonna quelque chose dans son sommeil et Wehrner, presque malgré lui, vint le prendre dans ses bras pour le réinstaller dans son lit et le borda sans que le petit garçon fasse mine de se réveiller.
Il repoussa de la main une mèche blonde sur le front lisse. Wolfram aurait pu être l’enfant naturel du Roi Originel et de leur ancêtre Rufas Bielefeld, pensa-t-il sans amusement.
« Je ne peux plus rien pour toi, petit idiot », murmura Werhner.
Son expression se durcit, il se redressa et se dirigea vers la porte.
« Je ferai mon possible, mais ne m’en demande pas trop. »
-
« Wolfram, dit Celi des années plus tard, la voix douce. Wolfram, ton père est mort au combat.
- Oh… »
Regard écarquillé, mais pas une larme dans les grands yeux verts, même lorsqu’elle lui présenta l’épée de Werhner Von Bielefeld dans son fourreau.
« Elle est pour toi. »
Celi savait qu’il existait un autre héritage, une gentilhommière sur le territoire des Von Bielefeld et surtout, une fortune amassée avec soin par Wherner pour la léguer à son fils.
« Au moins il ne sera pas dépendant, c’est tout ce que je peux faire de plus.
- Tu pourrais être là.
- Ne m’en demande pas trop. »
Wolfram prit l’épée, les mains secouée d’un léger tremblement, la regarda avec intensité. Puis il la déposa sur la table et sortit de la pièce. La porte se ferma sur lui sans un bruit.
(fin)
vendredi 29 décembre 2006
Chronologie des thèmes
Personnage : Wolfram
Série : Kyou Kara Maoh !
Rating : G
Spoilers : Nope.
Disclaimer : Werhner est made in Skpm77, mais le reste ne m’appartient pas ! ^_^
Note : Séquelle de 11. Tes jolis yeux bleus sont juste un vitrail et 12. Eveille-toi en moi
Wolfram dormait profondément. Il avait la bouche entrouverte, un jambe hors du lit et les couvertures avaient glissé par terre. Wehrner s’approcha en silence.
Le Serment l’a épuisé, avait dit son père, le ton désapprobateur et Wehrner n’était pas certain de savoir si c’était à cause de l’absence de son fils ou de la fatigue de son petit-fils.
« Fils d’imbécile, murmura-t-il. Tu n’étais pas censé prendre le nom des Bielefeld. Il ne te servira à rien. Qu’est-ce que j’aurais dû faire, pour t’éloigner encore plus ? »
Wolfram marmonna quelque chose dans son sommeil et Wehrner, presque malgré lui, vint le prendre dans ses bras pour le réinstaller dans son lit et le borda sans que le petit garçon fasse mine de se réveiller.
Il repoussa de la main une mèche blonde sur le front lisse. Wolfram aurait pu être l’enfant naturel du Roi Originel et de leur ancêtre Rufas Bielefeld, pensa-t-il sans amusement.
« Je ne peux plus rien pour toi, petit idiot », murmura Werhner.
Son expression se durcit, il se redressa et se dirigea vers la porte.
« Je ferai mon possible, mais ne m’en demande pas trop. »
-
« Wolfram, dit Celi des années plus tard, la voix douce. Wolfram, ton père est mort au combat.
- Oh… »
Regard écarquillé, mais pas une larme dans les grands yeux verts, même lorsqu’elle lui présenta l’épée de Werhner Von Bielefeld dans son fourreau.
« Elle est pour toi. »
Celi savait qu’il existait un autre héritage, une gentilhommière sur le territoire des Von Bielefeld et surtout, une fortune amassée avec soin par Wherner pour la léguer à son fils.
« Au moins il ne sera pas dépendant, c’est tout ce que je peux faire de plus.
- Tu pourrais être là.
- Ne m’en demande pas trop. »
Wolfram prit l’épée, les mains secouée d’un léger tremblement, la regarda avec intensité. Puis il la déposa sur la table et sortit de la pièce. La porte se ferma sur lui sans un bruit.
(fin)
vendredi 29 décembre 2006
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