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52_saveurs
FMA - Militaires - 2.22, Les possibilités frappent à la porte de mon coeur
Thème #22, Les possibilités frappent à la porte de mon coeur (liste 2)
Personnages/Couple : Watteau Farman/plusieurs Armstrong (militaires)
Série : FullMetal Alchemist, manga et anime
Rating : G à PG-13 selon les parties
Spoilers : épisode 37 pour la première ficlet, tomes 16 et 17 pour la troisième
Note : écrite à l'origine pour une de mes propres requêtes sur fic_sur_demande un peu en désespoir de cause. Personne d'autre n'est intéressé par ces possibilités-là ?
La famille Armstrong, au fil des siècles, a donné quantité de personnes impressionnantes dans des tas de domaines différents. Le major Alex Louis Armstrong s'en vante assez souvent pour que tous les gens qui l'approchent le sachent en long en large et en travers.
La génération contemporaine ne fait pas exception, pour ce que peut constater l'adjudant Farman.
**
Il l’a vue une fois, au bal des officiers. Depuis "l’affaire Havoc" les parents Armstrong ont décidé qu’il était grand temps que leur petite Catherine surmonte sa timidité -bonne initiative !- et se trouve un parti à son goût. Depuis l’affaire Havoc, Watteau Farman se demandait à quoi pouvait-elle bien ressembler, cette fameuse petite sœur…
Une fleur en bouton, pure et fraîche, avec ses grands yeux candides et son sourire d’ange, une fleur qui s’épanouit quand de haut-gradés font tournoyer ses jupes sur la piste de danse.
À Farman aussi, la mésaventure du sous-lieutenant Havoc a appris une leçon : lui non plus ne doit pas du tout être le genre d’homme qui plairait à cette demoiselle. Hélas…
Mais qui sait, peut-être peut-il tenter de faire valoir sa culture ? si par bonheur, elle cherchait un homme ressemblant à son frère par l’esprit plutôt que par les muscles…
**
De l’avis général, il ne peut exister personne sur cette terre capable de s’impliquer de manière amoureuse avec le major Alex L. Armstrong. Mais l’avis général ne sait pas voir au-delà des apparences, bien souvent.
Watteau Farman a vécu assez longtemps pour acquérir un nouveau regard sur les possibilités du cœur humain. Il a assez de sagesse pour se rendre compte de ce qu’Armstrong cache sous ces muscles et derrière ses grands discours. Il y a là un cœur capable d’aimer, une grande humanité et une fidélité à l’épreuve de tout, sous les cicatrices de la guerre d’Ishbal. Il a aussi assez de folie pour céder à la tentation.
Car Farman a aussi vécu assez longtemps pour perdre la souplesse de sa jeunesse et ne plus savoir se prêter à l’enthousiasme, aux grandes idées et à l’endurance d’un amant si athlétique. Il se réveille endolori de partout.
Heureusement pour lui, la famille Armstrong a également transmis à Alex tout un savoir sur les massages pour remettre d’aplomb ses muscles et ses tendons malmenés.
**
On a dit à Watteau Farman qu’on l’envoyait sur la frontière drachmienne, dans les Monts Briggs, sous les ordres du Général Armstrong. Un membre de la famille du Major de sa connaissance, à n’en pas douter ; dans l’ignorance de son prénom, il se l’était représenté comme un frère aîné, plus grand, tout aussi musclé voire peut-être même plus, avec une moustache plus imposante et plus d’étincelles. Un tableau effrayant… Était-ce donc un si grand crime que d’aider Roy Mustang à atteindre le sommet, qu’il faille punir si durement cette tentative ?
Quand il la rencontra effectivement, il crut rêver. Grande, certes, mais heureusement pas autant que son frère, infiniment plus belle que ce qu’il aurait pu imaginer si on lui avait suggéré de s’attendre une « sœur Armstrong », et réellement imposante. Une reine des glaces.
Quand il se présenta et énonça qu’il avait servi sous les ordres du Colonel Mustang, elle eut pour lui un sourire méprisant. Et aux côtés de son frère ? elle le rembarra : peu lui importait d’où il venait et ce qu’il avait fait avant d’arriver à l’extrême Nord d’Amestris ; tout ce qu’elle voulut savoir c’est ce qu’il pouvait faire maintenant sous ses ordres à elle. Même sa famille ne comptait pas : l’armée était une grande famille ; les liens du sang ne comptaient pas, que ceux forgés au combat. Une volonté de fer dans un gant de velours, cette femme : il réalisa qu’elle était dangereuse, bien plus qu’un hypothétique grand frère ressemblant juste à Armstrong en plus fort. Parce qu’elle en était bien différente.
Elle avait beau être dure et froide, elle rayonnait d’un charisme certain. Si elle lui demandait de trahir Mustang pour la suivre elle, il ne saurait que répondre. À cette idée, son cœur s’emballa.
Personnages/Couple : Watteau Farman/plusieurs Armstrong (militaires)
Série : FullMetal Alchemist, manga et anime
Rating : G à PG-13 selon les parties
Spoilers : épisode 37 pour la première ficlet, tomes 16 et 17 pour la troisième
Note : écrite à l'origine pour une de mes propres requêtes sur fic_sur_demande un peu en désespoir de cause. Personne d'autre n'est intéressé par ces possibilités-là ?
La famille Armstrong, au fil des siècles, a donné quantité de personnes impressionnantes dans des tas de domaines différents. Le major Alex Louis Armstrong s'en vante assez souvent pour que tous les gens qui l'approchent le sachent en long en large et en travers.
La génération contemporaine ne fait pas exception, pour ce que peut constater l'adjudant Farman.
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Il l’a vue une fois, au bal des officiers. Depuis "l’affaire Havoc" les parents Armstrong ont décidé qu’il était grand temps que leur petite Catherine surmonte sa timidité -bonne initiative !- et se trouve un parti à son goût. Depuis l’affaire Havoc, Watteau Farman se demandait à quoi pouvait-elle bien ressembler, cette fameuse petite sœur…
Une fleur en bouton, pure et fraîche, avec ses grands yeux candides et son sourire d’ange, une fleur qui s’épanouit quand de haut-gradés font tournoyer ses jupes sur la piste de danse.
À Farman aussi, la mésaventure du sous-lieutenant Havoc a appris une leçon : lui non plus ne doit pas du tout être le genre d’homme qui plairait à cette demoiselle. Hélas…
Mais qui sait, peut-être peut-il tenter de faire valoir sa culture ? si par bonheur, elle cherchait un homme ressemblant à son frère par l’esprit plutôt que par les muscles…
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De l’avis général, il ne peut exister personne sur cette terre capable de s’impliquer de manière amoureuse avec le major Alex L. Armstrong. Mais l’avis général ne sait pas voir au-delà des apparences, bien souvent.
Watteau Farman a vécu assez longtemps pour acquérir un nouveau regard sur les possibilités du cœur humain. Il a assez de sagesse pour se rendre compte de ce qu’Armstrong cache sous ces muscles et derrière ses grands discours. Il y a là un cœur capable d’aimer, une grande humanité et une fidélité à l’épreuve de tout, sous les cicatrices de la guerre d’Ishbal. Il a aussi assez de folie pour céder à la tentation.
Car Farman a aussi vécu assez longtemps pour perdre la souplesse de sa jeunesse et ne plus savoir se prêter à l’enthousiasme, aux grandes idées et à l’endurance d’un amant si athlétique. Il se réveille endolori de partout.
Heureusement pour lui, la famille Armstrong a également transmis à Alex tout un savoir sur les massages pour remettre d’aplomb ses muscles et ses tendons malmenés.
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On a dit à Watteau Farman qu’on l’envoyait sur la frontière drachmienne, dans les Monts Briggs, sous les ordres du Général Armstrong. Un membre de la famille du Major de sa connaissance, à n’en pas douter ; dans l’ignorance de son prénom, il se l’était représenté comme un frère aîné, plus grand, tout aussi musclé voire peut-être même plus, avec une moustache plus imposante et plus d’étincelles. Un tableau effrayant… Était-ce donc un si grand crime que d’aider Roy Mustang à atteindre le sommet, qu’il faille punir si durement cette tentative ?
Quand il la rencontra effectivement, il crut rêver. Grande, certes, mais heureusement pas autant que son frère, infiniment plus belle que ce qu’il aurait pu imaginer si on lui avait suggéré de s’attendre une « sœur Armstrong », et réellement imposante. Une reine des glaces.
Quand il se présenta et énonça qu’il avait servi sous les ordres du Colonel Mustang, elle eut pour lui un sourire méprisant. Et aux côtés de son frère ? elle le rembarra : peu lui importait d’où il venait et ce qu’il avait fait avant d’arriver à l’extrême Nord d’Amestris ; tout ce qu’elle voulut savoir c’est ce qu’il pouvait faire maintenant sous ses ordres à elle. Même sa famille ne comptait pas : l’armée était une grande famille ; les liens du sang ne comptaient pas, que ceux forgés au combat. Une volonté de fer dans un gant de velours, cette femme : il réalisa qu’elle était dangereuse, bien plus qu’un hypothétique grand frère ressemblant juste à Armstrong en plus fort. Parce qu’elle en était bien différente.
Elle avait beau être dure et froide, elle rayonnait d’un charisme certain. Si elle lui demandait de trahir Mustang pour la suivre elle, il ne saurait que répondre. À cette idée, son cœur s’emballa.