24 novembre - une lettre déchirée ; présent - Bleach
Titre : un cœur en lambeaux
Auteur : ylg
Jour/Thème : 24 novembre/une lettre déchirée ; présent
Fandom : Bleach
Personnage/Couple : Hinamori Momo, Momo/Aizen
Rating : PG
Disclaimer : tout est la propriété exclusive de maître Kubo.
Participation au vote de fin de mois : Non. Impossible !
Attention Spoilers : TOME 20 !!! ne lisez pas si vous ne savez pas déjà ce qui doit arriver ! de tous les spoils possibles sur toutes les séries possibles, celui-ci est de pires existants !
(et on va dire qu'ensuite, c'est du spoil spéculatif, pour me simplifier la vie ^^; )
**
Quand elle s’est réveillée, quand les soins insistants de la Quatrième Division l’ont arrachée aux doux rêves de son coma, elle leur a voulu de la ramener dans son monde que le Capitaine Aizen avait trahi.
Pour se consoler un peu, elle avait immédiatement exigé qu’ils lui rendent sa lettre. Elle l’avait sur elle quand… quand… quand Ichimaru avait poussé son Capitaine à lui faire du mal, à lui traverser le corps de son sabre. Pourvu qu’elle soit intacte, qu’elle n’ait pas été souillée de sang ! et pourvu qu’ils ne l’aient pas jetée, ça serait pire que tout ; ou pas reprise non plus en tant que pièce à conviction. Ce sont les mots que son Capitaine lui a adressé à elle. Elle veut sa lettre.
Les Quatrième Division l’ont regardée d’un air peiné, sans dire, et lui ont rendu les effets qu’elle portait ce jour-là. La lettre était toujours là, intacte. Quel soulagement ! elle se sent déjà un peu plus forte, avec…
Car ça n’est pas tout d’être réveillée, il lui faut encore des efforts pour se lever, pour marcher. Le Capitaine Yamamoto et le Capitaine Unohana lui disent d’être patiente, de se ménager. Toshirō n’est pas là pour veiller sur elle ; un instant, elle se sent abandonnée, puis elle se reprend : elle n’a pas besoin qu’il la veille comme une enfant fragile. La seule personne qu’elle voudrait à son chevet, c’est son Capitaine.
Mais il n’est plus là, on lui a dit que les Menos l’ont emmené. Alors elle doit se dépêcher de se rétablir pour partir à sa recherche. Même si les gens au Gotei 13 refusent de la laisser partir pour le moment.
En attendant, elle fait de son mieux. Elle se rétablira vite.
Et pour tromper son ennui et son chagrin, elle lit et relit sa lettre.
Dès qu’elle est seule, elle la sort de son kimono, l’ouvre et parcourt les mots qu’elle connaît par cœur à force, cherche dans l’écriture de son Capitaine une preuve de sa sincérité, une preuve qu’il a agi sous la contrainte…
En connaître chaque phrase ne suffit pas, elle passe son temps à examiner chaque caractère, minutieusement.
Et à force de déplier et replier cette lettre, elle s’use, très vite, s’abîme, commence à se déchirer au long des pliures.
Mais Momo n’en a cure, elle ne remarque ni le papier qui fatigue ni son petit cœur déchiré : elle veut juste se rapprocher de son Capitaine.
Auteur : ylg
Jour/Thème : 24 novembre/une lettre déchirée ; présent
Fandom : Bleach
Personnage/Couple : Hinamori Momo, Momo/Aizen
Rating : PG
Disclaimer : tout est la propriété exclusive de maître Kubo.
Participation au vote de fin de mois : Non. Impossible !
Attention Spoilers : TOME 20 !!! ne lisez pas si vous ne savez pas déjà ce qui doit arriver ! de tous les spoils possibles sur toutes les séries possibles, celui-ci est de pires existants !
(et on va dire qu'ensuite, c'est du spoil spéculatif, pour me simplifier la vie ^^; )
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Quand elle s’est réveillée, quand les soins insistants de la Quatrième Division l’ont arrachée aux doux rêves de son coma, elle leur a voulu de la ramener dans son monde que le Capitaine Aizen avait trahi.
Pour se consoler un peu, elle avait immédiatement exigé qu’ils lui rendent sa lettre. Elle l’avait sur elle quand… quand… quand Ichimaru avait poussé son Capitaine à lui faire du mal, à lui traverser le corps de son sabre. Pourvu qu’elle soit intacte, qu’elle n’ait pas été souillée de sang ! et pourvu qu’ils ne l’aient pas jetée, ça serait pire que tout ; ou pas reprise non plus en tant que pièce à conviction. Ce sont les mots que son Capitaine lui a adressé à elle. Elle veut sa lettre.
Les Quatrième Division l’ont regardée d’un air peiné, sans dire, et lui ont rendu les effets qu’elle portait ce jour-là. La lettre était toujours là, intacte. Quel soulagement ! elle se sent déjà un peu plus forte, avec…
Car ça n’est pas tout d’être réveillée, il lui faut encore des efforts pour se lever, pour marcher. Le Capitaine Yamamoto et le Capitaine Unohana lui disent d’être patiente, de se ménager. Toshirō n’est pas là pour veiller sur elle ; un instant, elle se sent abandonnée, puis elle se reprend : elle n’a pas besoin qu’il la veille comme une enfant fragile. La seule personne qu’elle voudrait à son chevet, c’est son Capitaine.
Mais il n’est plus là, on lui a dit que les Menos l’ont emmené. Alors elle doit se dépêcher de se rétablir pour partir à sa recherche. Même si les gens au Gotei 13 refusent de la laisser partir pour le moment.
En attendant, elle fait de son mieux. Elle se rétablira vite.
Et pour tromper son ennui et son chagrin, elle lit et relit sa lettre.
Dès qu’elle est seule, elle la sort de son kimono, l’ouvre et parcourt les mots qu’elle connaît par cœur à force, cherche dans l’écriture de son Capitaine une preuve de sa sincérité, une preuve qu’il a agi sous la contrainte…
En connaître chaque phrase ne suffit pas, elle passe son temps à examiner chaque caractère, minutieusement.
Et à force de déplier et replier cette lettre, elle s’use, très vite, s’abîme, commence à se déchirer au long des pliures.
Mais Momo n’en a cure, elle ne remarque ni le papier qui fatigue ni son petit cœur déchiré : elle veut juste se rapprocher de son Capitaine.