19 décembre - dans la peau de… + elle - FMA
Titre : les petits trucs en plus
Auteur : ylg
Jour/Thème : 19 décembre/dans la peau de… + elle
Fandom : FullMetal Alchemist
Personnages : Martel, mention des autres chimères et de Greed
Rating : PG à PG-13
Warnings : cradosserie
Disclaimer : Arakawa, Squeenix, Bones
Participation au vote de fin de mois : peut-être
**
Engagée contre son gré dans un programme de recherche secret, Martel se réveille dans la peau d’un serpent. Dans l’opération, elle a gagné en souplesse ; elle peut déboîter chacune de ses articulations devenues élastiques, à la manière d’un serpent qui décroche sa mâchoire pour engloutir une proie bien plus grosse que lui, sans dommage pour ses tissus. Elle n’a pas perdu sa capacité de thermorégulation, heureusement ; en revanche elle se retrouve avec une peau… différente. Les glandes sudoripares ? elles sont toujours là. Les poils ? à part aux endroits stratégiques où ils sont plus longs et plus fournis, non, le simple duvet sur l’ensemble du corps a régressé jusqu’à disparaître, laissant la peau étrangement lisse, d’autant que la kératinisation semble avoir augmenté. Sa desquamation se fait par blocs ; sans aller jusqu’à muer d’un coup, elle pèle régulièrement. Hum, charmant ! n’est-ce pas ?
"Pas de quoi se faire un portefeuille, encore moins des bottes," regrette Greed quand il l’apprend, dégoûtant les autres chimères.
Martel elle-même ne s’en afflige pas outre mesure : ça aussi ça peut avoir son utilité, comme le reste des transformations subies, si on réfléchit comme il faut. Par exemple, les « tatouages » dessinés au marqueur les soirs de beuveries (et ça arrive souvent chez eux), elle peut non seulement s’en débarrasser dès le lendemain (contrairement aux autres qui doivent frotter dur pendant des jours pour les effacer) et en plus, les restituer à leur auteur si elle le souhaite, son bout de peau mort sur leur corps.
(Ben quoi ? les hommes dans l’armée, en tout cas les sous-officiers, ça pue ça pète ça rote ça fait des blagues sales et salées, et depuis qu’ils ne sont plus dans l’armée, ça boit encore plus souvent puisqu’ils sont en permission tous les jours ; ça fait longtemps qu’elle a appris à se battre avec leurs armes pour survivre parmi eux.)
Auteur : ylg
Jour/Thème : 19 décembre/dans la peau de… + elle
Fandom : FullMetal Alchemist
Personnages : Martel, mention des autres chimères et de Greed
Rating : PG à PG-13
Warnings : cradosserie
Disclaimer : Arakawa, Squeenix, Bones
Participation au vote de fin de mois : peut-être
**
Engagée contre son gré dans un programme de recherche secret, Martel se réveille dans la peau d’un serpent. Dans l’opération, elle a gagné en souplesse ; elle peut déboîter chacune de ses articulations devenues élastiques, à la manière d’un serpent qui décroche sa mâchoire pour engloutir une proie bien plus grosse que lui, sans dommage pour ses tissus. Elle n’a pas perdu sa capacité de thermorégulation, heureusement ; en revanche elle se retrouve avec une peau… différente. Les glandes sudoripares ? elles sont toujours là. Les poils ? à part aux endroits stratégiques où ils sont plus longs et plus fournis, non, le simple duvet sur l’ensemble du corps a régressé jusqu’à disparaître, laissant la peau étrangement lisse, d’autant que la kératinisation semble avoir augmenté. Sa desquamation se fait par blocs ; sans aller jusqu’à muer d’un coup, elle pèle régulièrement. Hum, charmant ! n’est-ce pas ?
"Pas de quoi se faire un portefeuille, encore moins des bottes," regrette Greed quand il l’apprend, dégoûtant les autres chimères.
Martel elle-même ne s’en afflige pas outre mesure : ça aussi ça peut avoir son utilité, comme le reste des transformations subies, si on réfléchit comme il faut. Par exemple, les « tatouages » dessinés au marqueur les soirs de beuveries (et ça arrive souvent chez eux), elle peut non seulement s’en débarrasser dès le lendemain (contrairement aux autres qui doivent frotter dur pendant des jours pour les effacer) et en plus, les restituer à leur auteur si elle le souhaite, son bout de peau mort sur leur corps.
(Ben quoi ? les hommes dans l’armée, en tout cas les sous-officiers, ça pue ça pète ça rote ça fait des blagues sales et salées, et depuis qu’ils ne sont plus dans l’armée, ça boit encore plus souvent puisqu’ils sont en permission tous les jours ; ça fait longtemps qu’elle a appris à se battre avec leurs armes pour survivre parmi eux.)