11 mars - la loi c'est moi + shojo ai - Saiyuki
Titre : Celle qui gouverne
Auteur : ylg
Jour/Thème : 11 mars/la loi c'est moi + shojo-ai
Fandom : Gensōmaden Saiyūki
Personnage/Couple : Pr Phan=>Gyokumen
Rating : PG-13
Warnings éventuels : moralité tangente
Disclaimer : Minekura Kazuya
Participation au vote de fin de mois : sans doute pas.
**
Dame Gyokumen s'est mis en tête de tout régenter dans la forteresse de Hōtō et dans le monde entier. Le temps de ressusciter son bien-aimé Gyū-maō au moins, mais nul doute que cela obtenu, elle se posera comme impératrice à ses côtés et refusera de laisser le pouvoir qu'elle a acquis. Elle y a visiblement pris goût.
Parce qu'elle a décidé de rentre à tout prix vie et pouvoir au Roi, parce qu'elle met tout en oeuvre pour lui, elle s'est octroyé droit de vie et de mort sur tous les habitants du château, et personne en cherche à le lui disputer.
Gyokumen parcourt les couloirs du château d'un pas décidé. Ses ordres ne souffrent aucun délai, aucun refus, et elle veille à ce qu'ils soient dûment exécutés. Gare à celui qui lui désobéirait !
Ce pouvoir absolu qu'elle exerce, elle s'en est emparée peut-être de force ? Sa force justement lui donne raison de l'avoir fait.
Elle a pris le contrôle, elle a tout mis en ordre ici. Nul ne contestera son autorité. (Pas même le fils du roi, ce qui, aux yeux des simples troupes, légitime ultimement ses actions.)
Arpentant ses quartiers d'un pas souverain, bien campée sur ses deux pieds, ou trônant fièrement, le buste droit (et quelle poitrine elle met ainsi en valeur !), le port de tête altier, l'air suffisant, tout en elle semble dire,
C'est moi qui édicte les règles, qui donne les ordres.
Elle a le pouvoir et l'ambition. Elle a la force et la prestance.
Les yōkai s'étant ralliés à Kōgaiji lui sont également soumis.
Et il n'y a pas que la piétaille : les scientifiques qu'elle a achetés lui sont tout aussi acquis.
Le professeur Phan en tout cas ne cherchera sûrement pas à remettre quoi que ce soit en question à propos de sa maîtresse. Cette femme exceptionnelle lui a offert la possibilité d'exploiter à sa guise ses connaissances et son talent ; en remerciement pour cela elle la servira au mieux.
Elle se plie à ses ordres sans sourciller, et même plutôt avec le sourire. Elle aime y obéir, en fait, elle aime que sa Dame la dirige. L'autorité de Gyokumen lui plaît : si décidée, elle donne envie de la suivre.
(Elle l'a juste un peu trop idéalisée, elle la croit meilleur qu'elle ne l'est vraiment. Mais tant pis.)
La reconnaissance et l'admiration qu'elle éprouve gomment ses défauts à ses yeux.
Ajoutée à sa beauté naturelle et à l'intelligence dont elle fait montre, Dame Gyokumen rayonne d'une aura d'autorité ; elle tend à faire croire que sa parole est vérité absolue et lui prête une sagacité plus grande encore.
Phan la trouve superbe.
Elle lui obéira en tout. Vraiment, quels que soient les ordres. Si d'aventure elle les trouve moralement discutables, elle élèvera peut-être son opinion et tentera si possible une autre approche, selon ce qu'elle jugera le plus profitable à sa bienfaitrice. Mais au final, elle se réduira à ses exigences, certaine que quoi qu'elle fasse, c'est qu'elle a une bonne raison pour se justifier, qu'elle n'a juste pas à donner à de simples serviteurs.
Dame Gyokumen régit vraiment tout ici.
Y compris le coeur de Phan.
Auteur : ylg
Jour/Thème : 11 mars/la loi c'est moi + shojo-ai
Fandom : Gensōmaden Saiyūki
Personnage/Couple : Pr Phan=>Gyokumen
Rating : PG-13
Warnings éventuels : moralité tangente
Disclaimer : Minekura Kazuya
Participation au vote de fin de mois : sans doute pas.
**
Dame Gyokumen s'est mis en tête de tout régenter dans la forteresse de Hōtō et dans le monde entier. Le temps de ressusciter son bien-aimé Gyū-maō au moins, mais nul doute que cela obtenu, elle se posera comme impératrice à ses côtés et refusera de laisser le pouvoir qu'elle a acquis. Elle y a visiblement pris goût.
Parce qu'elle a décidé de rentre à tout prix vie et pouvoir au Roi, parce qu'elle met tout en oeuvre pour lui, elle s'est octroyé droit de vie et de mort sur tous les habitants du château, et personne en cherche à le lui disputer.
Gyokumen parcourt les couloirs du château d'un pas décidé. Ses ordres ne souffrent aucun délai, aucun refus, et elle veille à ce qu'ils soient dûment exécutés. Gare à celui qui lui désobéirait !
Ce pouvoir absolu qu'elle exerce, elle s'en est emparée peut-être de force ? Sa force justement lui donne raison de l'avoir fait.
Elle a pris le contrôle, elle a tout mis en ordre ici. Nul ne contestera son autorité. (Pas même le fils du roi, ce qui, aux yeux des simples troupes, légitime ultimement ses actions.)
Arpentant ses quartiers d'un pas souverain, bien campée sur ses deux pieds, ou trônant fièrement, le buste droit (et quelle poitrine elle met ainsi en valeur !), le port de tête altier, l'air suffisant, tout en elle semble dire,
C'est moi qui édicte les règles, qui donne les ordres.
Elle a le pouvoir et l'ambition. Elle a la force et la prestance.
Les yōkai s'étant ralliés à Kōgaiji lui sont également soumis.
Et il n'y a pas que la piétaille : les scientifiques qu'elle a achetés lui sont tout aussi acquis.
Le professeur Phan en tout cas ne cherchera sûrement pas à remettre quoi que ce soit en question à propos de sa maîtresse. Cette femme exceptionnelle lui a offert la possibilité d'exploiter à sa guise ses connaissances et son talent ; en remerciement pour cela elle la servira au mieux.
Elle se plie à ses ordres sans sourciller, et même plutôt avec le sourire. Elle aime y obéir, en fait, elle aime que sa Dame la dirige. L'autorité de Gyokumen lui plaît : si décidée, elle donne envie de la suivre.
(Elle l'a juste un peu trop idéalisée, elle la croit meilleur qu'elle ne l'est vraiment. Mais tant pis.)
La reconnaissance et l'admiration qu'elle éprouve gomment ses défauts à ses yeux.
Ajoutée à sa beauté naturelle et à l'intelligence dont elle fait montre, Dame Gyokumen rayonne d'une aura d'autorité ; elle tend à faire croire que sa parole est vérité absolue et lui prête une sagacité plus grande encore.
Phan la trouve superbe.
Elle lui obéira en tout. Vraiment, quels que soient les ordres. Si d'aventure elle les trouve moralement discutables, elle élèvera peut-être son opinion et tentera si possible une autre approche, selon ce qu'elle jugera le plus profitable à sa bienfaitrice. Mais au final, elle se réduira à ses exigences, certaine que quoi qu'elle fasse, c'est qu'elle a une bonne raison pour se justifier, qu'elle n'a juste pas à donner à de simples serviteurs.
Dame Gyokumen régit vraiment tout ici.
Y compris le coeur de Phan.