22 Mai - Chaleur - Hetalia.
Titre : Chaleur et Anglais ne font pas bon ménage.
Auteur : Didou367, Fuckin’ goddess.
Jour/Thème : 22 Mai, Chaleur.
Fandom : Hetalia.
Personnages, couple : France/Angleterre.
Rating : K+., pour la petite allusion à la fin.
Disclaimer : Les personnages d’Hetalia appartiennent à Hidekaz Himaruya.
« Oh God… »
France, commodément installé dans son fauteuil, quitta des yeux le journal qu’il parcourait jusqu’ici pour les poser sur la silhouette gisant misérablement sur le canapé. Assurément, il l’aurait cru passé de l’autre côté du miroir s’il n’oyait pas sa respiration saccadée et ses grommellements rauques.
Laissant échapper un léger rire, il ferma le quotidien qu’il abandonna à l’endroit où se trouvait originellement son postérieur pour aller s’accroupir devant le canapé dans lequel agonisait son rival de toujours.
« Eh bien, mon amour, tu n’as pas l’air d’être en forme, chantonna t-il avec une joie sereine. »
Son vis-à-vis retira le bras qui couvrait son visage rougi et suintant dans le but de le fusiller d’un regard smaragdin comminatoire, bien que vitreux.
« Quelle brillante constatation, vraiment, ironisa t-il d’une voix qu’un manque flagrant d’eau enrouait. Foutue chaleur, foutu pays…
-‘‘Foutu pays’’ ? Tu me blesses, mon ami ! Qui plus est, il ne fait pas si chaud que ça, voyons, on a vu bien pire. »
En guise de réponse, Angleterre continua de bougonner, autant qu’un souffle court le lui permettait, contre ces températures qu’il jugeait excessivement hausses et cet imbécile heureux de froggie qui l’avait astreint à passer deux semaines dans le Sud de la France, en sa - charmante, affirmait-il - compagnie.
Le principal concerné, que cette bouillonnante atmosphère affectait dans de moindres mesures, se surprit à compatir au sort de son voisin outre-Manche, fort peu accoutumé à ce climat - lui-même ne s’y trouvait que moyennement habitué, vivant la majorité du temps en région parisienne.
« Et si tu buvais un peu d’eau ?
-J’aimerais bien mais la cuisine me semble être à l’autre bout du monde, maugréa le susdit voisin.
-Je vois… »
Sur ces mots, le plus âgé des deux se releva, un infime sourire aux lèvres, se dirigea vers la cuisine pour ensuite revenir avec une bouteille d’eau restée au frigo que son cadet, lorsqu’il l’eût aperçue, fixa comme s’il s’agissait du remède à tous les maux de la planète.
Le jeune homme s’en empara avec un empressement surprenant pour quelqu’un que la chaleur était censée accabler au point d’empêcher tout mouvement et but en une seule interminable gorgée le tiers, sous le regard tendrement amusé de son plus ancien ennemi qui le gratifia ensuite un succinct baiser auquel il ne répondit que de façon languide.
« Moi qui voulais te proposer une petite baignade dans la piscine…, soupira le Français tout en baladant une main dans la tignasse flavescente de son interlocuteur, dont la sueur détrempait les mèches. »
Un petit rire que l’Anglais considéra particulièrement suspect franchit la barrière de ses lèvres sèches, après quoi il renchérit d’un ton suave :
« De toute manière, je préfère les bans de minuit, si tu vois ce que je veux dire… »
Auteur : Didou367, Fuckin’ goddess.
Jour/Thème : 22 Mai, Chaleur.
Fandom : Hetalia.
Personnages, couple : France/Angleterre.
Rating : K+., pour la petite allusion à la fin.
Disclaimer : Les personnages d’Hetalia appartiennent à Hidekaz Himaruya.
« Oh God… »
France, commodément installé dans son fauteuil, quitta des yeux le journal qu’il parcourait jusqu’ici pour les poser sur la silhouette gisant misérablement sur le canapé. Assurément, il l’aurait cru passé de l’autre côté du miroir s’il n’oyait pas sa respiration saccadée et ses grommellements rauques.
Laissant échapper un léger rire, il ferma le quotidien qu’il abandonna à l’endroit où se trouvait originellement son postérieur pour aller s’accroupir devant le canapé dans lequel agonisait son rival de toujours.
« Eh bien, mon amour, tu n’as pas l’air d’être en forme, chantonna t-il avec une joie sereine. »
Son vis-à-vis retira le bras qui couvrait son visage rougi et suintant dans le but de le fusiller d’un regard smaragdin comminatoire, bien que vitreux.
« Quelle brillante constatation, vraiment, ironisa t-il d’une voix qu’un manque flagrant d’eau enrouait. Foutue chaleur, foutu pays…
-‘‘Foutu pays’’ ? Tu me blesses, mon ami ! Qui plus est, il ne fait pas si chaud que ça, voyons, on a vu bien pire. »
En guise de réponse, Angleterre continua de bougonner, autant qu’un souffle court le lui permettait, contre ces températures qu’il jugeait excessivement hausses et cet imbécile heureux de froggie qui l’avait astreint à passer deux semaines dans le Sud de la France, en sa - charmante, affirmait-il - compagnie.
Le principal concerné, que cette bouillonnante atmosphère affectait dans de moindres mesures, se surprit à compatir au sort de son voisin outre-Manche, fort peu accoutumé à ce climat - lui-même ne s’y trouvait que moyennement habitué, vivant la majorité du temps en région parisienne.
« Et si tu buvais un peu d’eau ?
-J’aimerais bien mais la cuisine me semble être à l’autre bout du monde, maugréa le susdit voisin.
-Je vois… »
Sur ces mots, le plus âgé des deux se releva, un infime sourire aux lèvres, se dirigea vers la cuisine pour ensuite revenir avec une bouteille d’eau restée au frigo que son cadet, lorsqu’il l’eût aperçue, fixa comme s’il s’agissait du remède à tous les maux de la planète.
Le jeune homme s’en empara avec un empressement surprenant pour quelqu’un que la chaleur était censée accabler au point d’empêcher tout mouvement et but en une seule interminable gorgée le tiers, sous le regard tendrement amusé de son plus ancien ennemi qui le gratifia ensuite un succinct baiser auquel il ne répondit que de façon languide.
« Moi qui voulais te proposer une petite baignade dans la piscine…, soupira le Français tout en baladant une main dans la tignasse flavescente de son interlocuteur, dont la sueur détrempait les mèches. »
Un petit rire que l’Anglais considéra particulièrement suspect franchit la barrière de ses lèvres sèches, après quoi il renchérit d’un ton suave :
« De toute manière, je préfère les bans de minuit, si tu vois ce que je veux dire… »