Bill Weasley/Fleur Delacour # Harry Potter # Thème n°4 : Toi et moi
Bénie soit l'inspiration, qui me vient un soir lambda, et surtout bénis soient les textes qui me donnent envie d'écrire !
Titre : Il y a toi
Auteur : Hinatata
Fandom : Harry Potter
Personnages/Pairing : Bill Weasley/Fleur Delacour
Thème : n°4 : Toi et moi
Nombre de mots : 585 mots
Rating : K
Disclaimer : Tout HP à JKR.
Note d'auteur : Un petit jeu de séduction entre Bill et Fleur, qui se transforme en bien plus. Qu'est-ce que je les aime, ces deux-là.
Ha, et encore pardon du retard, hein. D'ailleurs je préviens que pour le mois prochain, ça risque d'être compliqué aussi, avec le NaNo...
Tu te lèves, et dans ta robe vaporeuse tu me sembles plus désirable encore, si tant est que cela soit possible. Il y a le bleu de glace fondue de tes yeux qui se marie avec le bleu des rêves du tissu, comme fusionné au blanc des nuages, venus éclairer ta peau de porcelaine. Il y a tes longs cheveux blonds et lisses, qui coulent le long de ta poitrine et de tes courbes, et qui caressent tes hanches. Il y a tes mains délicates qui tiennent avec élégance le verre à pied dans lequel tournoie le liquide aux reflets dorés, qui gaze de nos amours, ce sont les bulles que je laisse échapper, comme je ne peux parler.
Tu portes le verre à tes lèvres, tes yeux aguicheurs me transpercent derrière leur rangée de cils. Un battement. Deux fois, et je suis à toi. J’avance d’un pas. Tu souris légèrement et ton corps ondule alors que tu bascules ton poids plume sur ton autre talon aiguille. Tu passes à côté de moi, ta main suit un tracé qu’elle seule connaît le long de mon corps, du bout des doigts, tu refais mon bassin. Je me sens frissonner. Il y a quelque chose d’émoustillant à te savoir dans mon dos, à te savoir mener la danse. Tu termines ton tour, t’arrêtes devant moi, et places ta main dans la mienne, enroules tes doigts avec les miens. Tu n’as pas cessé de me regarder, je me suis perdu au fin fond de tes pupilles. Laisse fondre la glace de ton regard.
Laisse-moi te donner un peu de chaleur.
Tu reposes ton verre sur la table, tires ta baguette de ta main libre, donnes un coup sec, la remets dans ta jarretière. Le poste de radio s’est allumé. Il lance une voix de femme un peu éraillée, un peu lente, et un peu plus nous. Je sens ta seconde main glisser sur mon épaule. Nos pieds débutent en même temps. Un, deux, trois. Et je suis la valse dans tes yeux, et je suis le monde valser, puisqu’il tourne autour de nous, n’est-ce pas ? Un, deux, trois. Le monde tourne, tourne avec nous, et si nous ne nous arrêtons pas, peut-être resterons-nous son centre.
Le centre de mon monde, c’est toi.
J’ai l’impression que je pourrais valser avec toi à jamais, j’ai l’impression que je pourrais cesser de manger, de dormir et de boire, si seulement cela pouvait me faire mourir dans tes bras. J’ai le tournis, mais je crois que ce n’est pas à cause de la danse. Et si j’ai la migraine de t’aimer, alors laisse-moi souffrir, s’il te plait.
Et tu valses. Et je valse. Et le monde valse avec nous.
Et je valse. Et tu valses. Et tout tourne autour de nous.
Il y a le ciel de ta robe autour de tes jambes, il y a le ciel de ta robe frôlant la mienne. Il y a tes doigts caressant ma paume. Il y a tes yeux accrochés aux miens, ou bien les miens accrochés aux tiens, qu’importe ? Il y a ton sourire sur tes lèvres, roses, humides de Champagne, qui ne demandent qu’un peu des miennes.
Il y a toi. Ici, dans cette pièce vide de tout, emplie de nous, il y a toi.
Il y a toi, moi, quoi.
Il y a toi et moi. Valsant encore, valsant toujours, il y a nous.
Titre : Il y a toi
Auteur : Hinatata
Fandom : Harry Potter
Personnages/Pairing : Bill Weasley/Fleur Delacour
Thème : n°4 : Toi et moi
Nombre de mots : 585 mots
Rating : K
Disclaimer : Tout HP à JKR.
Note d'auteur : Un petit jeu de séduction entre Bill et Fleur, qui se transforme en bien plus. Qu'est-ce que je les aime, ces deux-là.
Ha, et encore pardon du retard, hein. D'ailleurs je préviens que pour le mois prochain, ça risque d'être compliqué aussi, avec le NaNo...
Tu te lèves, et dans ta robe vaporeuse tu me sembles plus désirable encore, si tant est que cela soit possible. Il y a le bleu de glace fondue de tes yeux qui se marie avec le bleu des rêves du tissu, comme fusionné au blanc des nuages, venus éclairer ta peau de porcelaine. Il y a tes longs cheveux blonds et lisses, qui coulent le long de ta poitrine et de tes courbes, et qui caressent tes hanches. Il y a tes mains délicates qui tiennent avec élégance le verre à pied dans lequel tournoie le liquide aux reflets dorés, qui gaze de nos amours, ce sont les bulles que je laisse échapper, comme je ne peux parler.
Tu portes le verre à tes lèvres, tes yeux aguicheurs me transpercent derrière leur rangée de cils. Un battement. Deux fois, et je suis à toi. J’avance d’un pas. Tu souris légèrement et ton corps ondule alors que tu bascules ton poids plume sur ton autre talon aiguille. Tu passes à côté de moi, ta main suit un tracé qu’elle seule connaît le long de mon corps, du bout des doigts, tu refais mon bassin. Je me sens frissonner. Il y a quelque chose d’émoustillant à te savoir dans mon dos, à te savoir mener la danse. Tu termines ton tour, t’arrêtes devant moi, et places ta main dans la mienne, enroules tes doigts avec les miens. Tu n’as pas cessé de me regarder, je me suis perdu au fin fond de tes pupilles. Laisse fondre la glace de ton regard.
Laisse-moi te donner un peu de chaleur.
Tu reposes ton verre sur la table, tires ta baguette de ta main libre, donnes un coup sec, la remets dans ta jarretière. Le poste de radio s’est allumé. Il lance une voix de femme un peu éraillée, un peu lente, et un peu plus nous. Je sens ta seconde main glisser sur mon épaule. Nos pieds débutent en même temps. Un, deux, trois. Et je suis la valse dans tes yeux, et je suis le monde valser, puisqu’il tourne autour de nous, n’est-ce pas ? Un, deux, trois. Le monde tourne, tourne avec nous, et si nous ne nous arrêtons pas, peut-être resterons-nous son centre.
Le centre de mon monde, c’est toi.
J’ai l’impression que je pourrais valser avec toi à jamais, j’ai l’impression que je pourrais cesser de manger, de dormir et de boire, si seulement cela pouvait me faire mourir dans tes bras. J’ai le tournis, mais je crois que ce n’est pas à cause de la danse. Et si j’ai la migraine de t’aimer, alors laisse-moi souffrir, s’il te plait.
Et tu valses. Et je valse. Et le monde valse avec nous.
Et je valse. Et tu valses. Et tout tourne autour de nous.
Il y a le ciel de ta robe autour de tes jambes, il y a le ciel de ta robe frôlant la mienne. Il y a tes doigts caressant ma paume. Il y a tes yeux accrochés aux miens, ou bien les miens accrochés aux tiens, qu’importe ? Il y a ton sourire sur tes lèvres, roses, humides de Champagne, qui ne demandent qu’un peu des miennes.
Il y a toi. Ici, dans cette pièce vide de tout, emplie de nous, il y a toi.
Il y a toi, moi, quoi.
Il y a toi et moi. Valsant encore, valsant toujours, il y a nous.