Andalousie : Ronda
Découverte le 26 octobre après la visite d'un dernier dolmen (El romeral) à Antequera, puis une bonne heure de route, la petite ville de Ronda restera un de mes lieux préférés de ce voyage. Assez touristique sans doute, mais finalement plutôt tranquille lorsqu'on s'égare dans les petites ruelles du vieux centre, séparé de la "nouvelle ville" du XVIIIe siècle par un pont vertigineux au-dessus d'un ravin.
C'est d'ailleurs là l'une des principales curiosités de Ronda, construite sur une éminence escarpée et divisée en deux par la gorge du rio Guadelevín. Mais outre le fameux Pont Neuf et quelques vues spectaculaires, on y trouve aussi les plus anciennes arènes d'Espagne, où fut inventée la corrida moderne, des remparts, des églises, plusieurs musées et des tas de beaux bâtiments anciens... dont le délicieux palacio de Mondragón où je m'installerais très volontiers à demeure !
La découverte commence par la nouvelle ville, côté nord : balade dans le joli parc de la Alameda del Tajo, à proximité des arènes, puis dans le centre-ville où nous nous posons pour déjeuner avant d'aller récupérer notre chambre.
Plaza del Socorro, devant l'église éponyme.
Notre chambre est installée dans un immeuble avec vue vers les remparts et au-delà, dans la partie sud de la ville, la plus ancienne, que nous partons ensuite explorer.
Nous voici sur la plaza Duquesa de Parcent, qui fut un longtemps la place principale de Ronda.
Sur la droite, l'hôtel de ville...
En face, l'église de Santa Maria la Mayor... et en recul, un très bon restaurant, Meson el Sacristan, où nous dînerons ce soir.
Enfonçons-nous dans les petites rues qui s'ouvrent par derrière l'église...
Nous voici sur la plaza de Mondragón sur laquelle ouvre, à gauche, le palais du même nom.
Il abrite un musée archéologique... pas inintéressant, mais la visite vaut surtout pour le bâtiment lui-même, avec ses trois jolis patios et ses délicieux jardins en terrasse avec vue panoramique sur la vallée.
Un premier patio...
...ouvre sur une première terrasse.
Un second patio...
...ouvre sur un autre jardin, plus grand, plus ombragé, dont il va falloir un pied de biche pour m'arracher.
Le dernier patio a nettement moins de charme que les autres... mais enfin, on s'en contenterait !
Retour à la ville. Quelques rues après le palacio de Mondragón, un chemin descend à flanc de falaise et permet de se rapprocher, par le bas, du Puente Nuevo.
Un premier pont fut construit là en 1735, qui s'effondra sept ans plus tard, entraînant la mort de ciquante passants. Le nouvel ouvrage, décidé 1751, ne fut terminé qu'en 1793... et selon la légende, coûta également la vie à son architecte, Martín de Aldehuela. Descendu dans une nacelle pour vérifier son oeuvre, celui-ci aurait vu un coup de vent emporter son chapeau... et se serait envolé à son tour dans le geste réflexe pour rattraper celui-ci.
On continue à travers les ruelles de la vieille ville... et par un brin de shopping dans les jolies boutiques de la rue principale où l'on découvre notamment un magasin d'éventails absolument merveilleux.
Une dernière image depuis la fenêtre de notre chambre, où nous passons nous changer...
...puis nous allons nous poser avant dîner au délicieux Maruja limon bar : une terrasse assez semblable à celles du palacio de Mondragon, accrochée au-dessus de la falaise, où siroter un cocktail sous les palmiers dans une ambiance bohême en regardant la nuit tomber sur la vallée... ♥
♠
C'est d'ailleurs là l'une des principales curiosités de Ronda, construite sur une éminence escarpée et divisée en deux par la gorge du rio Guadelevín. Mais outre le fameux Pont Neuf et quelques vues spectaculaires, on y trouve aussi les plus anciennes arènes d'Espagne, où fut inventée la corrida moderne, des remparts, des églises, plusieurs musées et des tas de beaux bâtiments anciens... dont le délicieux palacio de Mondragón où je m'installerais très volontiers à demeure !
La découverte commence par la nouvelle ville, côté nord : balade dans le joli parc de la Alameda del Tajo, à proximité des arènes, puis dans le centre-ville où nous nous posons pour déjeuner avant d'aller récupérer notre chambre.
Plaza del Socorro, devant l'église éponyme.
Notre chambre est installée dans un immeuble avec vue vers les remparts et au-delà, dans la partie sud de la ville, la plus ancienne, que nous partons ensuite explorer.
Nous voici sur la plaza Duquesa de Parcent, qui fut un longtemps la place principale de Ronda.
Sur la droite, l'hôtel de ville...
En face, l'église de Santa Maria la Mayor... et en recul, un très bon restaurant, Meson el Sacristan, où nous dînerons ce soir.
Enfonçons-nous dans les petites rues qui s'ouvrent par derrière l'église...
Nous voici sur la plaza de Mondragón sur laquelle ouvre, à gauche, le palais du même nom.
Il abrite un musée archéologique... pas inintéressant, mais la visite vaut surtout pour le bâtiment lui-même, avec ses trois jolis patios et ses délicieux jardins en terrasse avec vue panoramique sur la vallée.
Un premier patio...
...ouvre sur une première terrasse.
Un second patio...
...ouvre sur un autre jardin, plus grand, plus ombragé, dont il va falloir un pied de biche pour m'arracher.
Le dernier patio a nettement moins de charme que les autres... mais enfin, on s'en contenterait !
Retour à la ville. Quelques rues après le palacio de Mondragón, un chemin descend à flanc de falaise et permet de se rapprocher, par le bas, du Puente Nuevo.
Un premier pont fut construit là en 1735, qui s'effondra sept ans plus tard, entraînant la mort de ciquante passants. Le nouvel ouvrage, décidé 1751, ne fut terminé qu'en 1793... et selon la légende, coûta également la vie à son architecte, Martín de Aldehuela. Descendu dans une nacelle pour vérifier son oeuvre, celui-ci aurait vu un coup de vent emporter son chapeau... et se serait envolé à son tour dans le geste réflexe pour rattraper celui-ci.
On continue à travers les ruelles de la vieille ville... et par un brin de shopping dans les jolies boutiques de la rue principale où l'on découvre notamment un magasin d'éventails absolument merveilleux.
Une dernière image depuis la fenêtre de notre chambre, où nous passons nous changer...
...puis nous allons nous poser avant dîner au délicieux Maruja limon bar : une terrasse assez semblable à celles du palacio de Mondragon, accrochée au-dessus de la falaise, où siroter un cocktail sous les palmiers dans une ambiance bohême en regardant la nuit tomber sur la vallée... ♥
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