Vacances maltaises - Journée autour de St Paul's Bay
Après les jolies criques de Mgarr, c'est encore un coin que nous a recommandé Mattia. Prenez vers le nord, puis après St Paul's Bay, tournez sur la gauche pour passer sous la route principale et repartir en direction de Mistra Bay, où l'on peut garer la voiture et partir en balade sur des sentiers de bord de mer.
Sous un ciel moins lumineux que les jours précédents, nous découvrons un coin de côte sauvage face à la petite île Saint-Paul. Quelques vestiges d'exploitation du sel, quelques parcelles cultivées où s'ébat un couple de Machaons, puis le sentier se perd au pied d'une falaise où nous finissons par dénicher une petite crique où nous baigner - une petite crique du bout du monde, si sauvage, si perdue, que les maillots de bain finissent par tomber.
Un château dans le lointain, quelques bâtiments abandonnés... l'architecture ici ne dépare guère le paysage.
En face, voilà l'île Saint-Paul - sur laquelle n'habite plus, depuis la Seconde guerre Mondiale, que l'apôtre en statue.
Un peu plus loin en contrebas, se dévoile notre petite crique...
Passé les champs, les seules traces de civilisation se limitent à un four de campeurs et la carcasse rouillée d'une camionnette sous un palmier.
Bien mieux que le sable, ces algues sèches forment le plus moelleux des matelas sur lesquels flemmarder au bord de l'eau.
Au bout d'un bon moment de farniente, on remonte par un autre chemin, au milieu des roseaux.
Retour au point de départ, devant la batterie qui domine la baie de Mistra.
Suite et fin de la journée à Bugibba, la ville qui s'étend sur la côte sud de la baie de Saint Paul.
Nous nous y paumons quelque peu en cherchant un endroit où prendre un verre, suivons la baignade d'un cheval dans un petit port et finissons par dénicher un bar en bord de plage, à l'ambiance délicieusement surrannée, avec une grande terrasse ombragée de pergolas où nous sirotons des cocktails en regardant tomber le soir sur la mer.
Sur la carte :
♠
Sous un ciel moins lumineux que les jours précédents, nous découvrons un coin de côte sauvage face à la petite île Saint-Paul. Quelques vestiges d'exploitation du sel, quelques parcelles cultivées où s'ébat un couple de Machaons, puis le sentier se perd au pied d'une falaise où nous finissons par dénicher une petite crique où nous baigner - une petite crique du bout du monde, si sauvage, si perdue, que les maillots de bain finissent par tomber.
Un château dans le lointain, quelques bâtiments abandonnés... l'architecture ici ne dépare guère le paysage.
En face, voilà l'île Saint-Paul - sur laquelle n'habite plus, depuis la Seconde guerre Mondiale, que l'apôtre en statue.
Un peu plus loin en contrebas, se dévoile notre petite crique...
Passé les champs, les seules traces de civilisation se limitent à un four de campeurs et la carcasse rouillée d'une camionnette sous un palmier.
Bien mieux que le sable, ces algues sèches forment le plus moelleux des matelas sur lesquels flemmarder au bord de l'eau.
Au bout d'un bon moment de farniente, on remonte par un autre chemin, au milieu des roseaux.
Retour au point de départ, devant la batterie qui domine la baie de Mistra.
Suite et fin de la journée à Bugibba, la ville qui s'étend sur la côte sud de la baie de Saint Paul.
Nous nous y paumons quelque peu en cherchant un endroit où prendre un verre, suivons la baignade d'un cheval dans un petit port et finissons par dénicher un bar en bord de plage, à l'ambiance délicieusement surrannée, avec une grande terrasse ombragée de pergolas où nous sirotons des cocktails en regardant tomber le soir sur la mer.
Sur la carte :
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