Je suis de très mauvaise humeur ce matin.
Indépendamment des diverses vexations ffnettiennes...
Cette nuit j'ai fait un rêve moche où dans un jardin public infesté de vampires (yay for Carpe Jugulum following me even in dreams!) et de panneaux publicitaires (WTF??) malgré les avertissements ma mère était incapable d'éviter de se faire mordre. Il lui fallait maintenant nous mordre à son tour, soit moi soit mon frère, 26 fois en tout, une fois par lettre de l'alphabet qu'on croiserait (comme initiale ou toute seule, mais pas au milieu d'un mot, et dans l'ordre s'il vous plaît).
Et elle ça commençait par l'amuser, puis ensuite elle pleurnichait quand elle se rendait compte qu'elle s'en sortait mal au jeu des lettres.
En plus, j'ai toujours eu horreur des bisous baveux. Dans le cou en plus ?? Beurk !!
Encore heureux, ça n'avait strictement rien de sexuel. Là ça serait ultimement glauque. Mais quand même : beurk.
Ce rêve était peut-être aussi prompté par mon ressentiment envers elle. Il y a trois jours, une de mes tantes, son mari et son fils, plus un cousin et sa fiancée, plus ma mère, sont passés prendre l'apéro à la maison. Il a essentiellement été question de mariages et un peu de vacances dans les discussions ce soir-là.
Notamment... l'annonce du mariage de ma soeur, il y a deux ans maintenant. Ma mère toute contente de raconter : ah ouais, "c'était quand j'étais hospitalisée, ma fille est venue me voir avec son homme en rentrant de leur voyage pour me l'annoncer, et moi je n'attendais que ça depuis le printemps précédent".
Ouais ? Ouais ? J'étais là aussi, moi. Je peux vous dire que la veille, elle se plaignait que sa fille venait de rentrer de voyage et n'était pas venue la voir le jour même de son retour. Oh, non, elle a pris un peu de temps pour elle pour poser ses valises et une nuit pour récupérer du décalage horaire et n'est allée voir sa mère que le lendemain, quelle ingratitude ?
Et sa fille cadette qui était là quasiment tous les jours alors qu'elle était elle-même malade, qui faisait la lessive pour elle, des courses, qui l'écoutait alternativement se plaindre que sa soeur refusait de venir la voir dans cet état, ou qu'on refusait de la laisser faire de la thalassothérapie parce que ça fait baisser la tension, et se comporter comme si elle était dans un club de vacances ?
Faichier. Déjà deux ans, et à chaque fois que j'y repense je lui en veux toujours autant.
Cette nuit j'ai fait un rêve moche où dans un jardin public infesté de vampires (yay for Carpe Jugulum following me even in dreams!) et de panneaux publicitaires (WTF??) malgré les avertissements ma mère était incapable d'éviter de se faire mordre. Il lui fallait maintenant nous mordre à son tour, soit moi soit mon frère, 26 fois en tout, une fois par lettre de l'alphabet qu'on croiserait (comme initiale ou toute seule, mais pas au milieu d'un mot, et dans l'ordre s'il vous plaît).
Et elle ça commençait par l'amuser, puis ensuite elle pleurnichait quand elle se rendait compte qu'elle s'en sortait mal au jeu des lettres.
En plus, j'ai toujours eu horreur des bisous baveux. Dans le cou en plus ?? Beurk !!
Encore heureux, ça n'avait strictement rien de sexuel. Là ça serait ultimement glauque. Mais quand même : beurk.
Ce rêve était peut-être aussi prompté par mon ressentiment envers elle. Il y a trois jours, une de mes tantes, son mari et son fils, plus un cousin et sa fiancée, plus ma mère, sont passés prendre l'apéro à la maison. Il a essentiellement été question de mariages et un peu de vacances dans les discussions ce soir-là.
Notamment... l'annonce du mariage de ma soeur, il y a deux ans maintenant. Ma mère toute contente de raconter : ah ouais, "c'était quand j'étais hospitalisée, ma fille est venue me voir avec son homme en rentrant de leur voyage pour me l'annoncer, et moi je n'attendais que ça depuis le printemps précédent".
Ouais ? Ouais ? J'étais là aussi, moi. Je peux vous dire que la veille, elle se plaignait que sa fille venait de rentrer de voyage et n'était pas venue la voir le jour même de son retour. Oh, non, elle a pris un peu de temps pour elle pour poser ses valises et une nuit pour récupérer du décalage horaire et n'est allée voir sa mère que le lendemain, quelle ingratitude ?
Et sa fille cadette qui était là quasiment tous les jours alors qu'elle était elle-même malade, qui faisait la lessive pour elle, des courses, qui l'écoutait alternativement se plaindre que sa soeur refusait de venir la voir dans cet état, ou qu'on refusait de la laisser faire de la thalassothérapie parce que ça fait baisser la tension, et se comporter comme si elle était dans un club de vacances ?
Faichier. Déjà deux ans, et à chaque fois que j'y repense je lui en veux toujours autant.