[rec] Swaha
Titre : Swaha
Auteur : Sera Swati
Statut : terminé, en 25 épisodes
Langue : anglais
Genres : fantasy mythologique (mythologie hindoue), romance, drame
Warning/Rating : PG-13 (un peu de violence et quelques morts)
De quoi ça cause ? : En tant que divinités du Feu Sacré, Swaha et son époux Agni vivent à contribuer à l’équilibre du Paradis. Jusqu’à ce qu’une explosion amène la Reine des Démons Raka au Paradis pour confronter Indra, roi des dieux et frère d’Agni, qu’elle accuse d’avoir envoyé des espions responsables de cette tragédie.
Réfutant cette version des faits, Indra refuse également de leur apporter son aide, ce qui attise la colère de Swaha qui décide d’aider Raka. Mais les espions d’Indra sont partout et il accepte difficilement l’idée qu’une déesse mineure vienne en aide à celle qu’il considère comme une ennemie, alors que la paix est installée entre les deux mondes depuis des années…
Images choisies :
Pourquoi vous devez absolument cliquer ?! : Parce que la mythologie hindoue est, à ma connaissance, assez peu utilisée dans les histoires ? J’avoue ne pas connaitre assez cette mythologie pour savoir si cette histoire y est strictement fidèle, toutefois le décor planté et les noms semblent bien correspondre…
Le dessin est très beau, même si le trait est parfois imprécis, notamment au niveau de certains éléments architecturaux.
Points faibles : Peut-être un peu court, j’aurais aimé voir d’autres dieux aussi, mais l’histoire en elle-même se tient comme ça donc bon, ce n’est pas un vrai point faible x) Enfin, l’histoire est peut-être traitée un peu rapidement ? Dans ce sens, je trouve un peu dommage que l’auteur n’ait pas fait de flash-back pour expliquer certains points, comme comment Raka et Swaha sont devenues amies, comment Swaha a épousé Agni et la réaction d’Indra en parallèle, qui déplore clairement ce mariage et qui accuse Swaha d’être responsable de la ‘défection’ d’Agni… Des détails en parallèle de l’histoire qui auraient davantage expliqué la position des personnages au cours du récit, l’auteur ne s’est pas appesanti là-dessus.
Auteur : Sera Swati
Statut : terminé, en 25 épisodes
Langue : anglais
Genres : fantasy mythologique (mythologie hindoue), romance, drame
Warning/Rating : PG-13 (un peu de violence et quelques morts)
De quoi ça cause ? : En tant que divinités du Feu Sacré, Swaha et son époux Agni vivent à contribuer à l’équilibre du Paradis. Jusqu’à ce qu’une explosion amène la Reine des Démons Raka au Paradis pour confronter Indra, roi des dieux et frère d’Agni, qu’elle accuse d’avoir envoyé des espions responsables de cette tragédie.
Réfutant cette version des faits, Indra refuse également de leur apporter son aide, ce qui attise la colère de Swaha qui décide d’aider Raka. Mais les espions d’Indra sont partout et il accepte difficilement l’idée qu’une déesse mineure vienne en aide à celle qu’il considère comme une ennemie, alors que la paix est installée entre les deux mondes depuis des années…
Images choisies :
Pourquoi vous devez absolument cliquer ?! : Parce que la mythologie hindoue est, à ma connaissance, assez peu utilisée dans les histoires ? J’avoue ne pas connaitre assez cette mythologie pour savoir si cette histoire y est strictement fidèle, toutefois le décor planté et les noms semblent bien correspondre…
Le dessin est très beau, même si le trait est parfois imprécis, notamment au niveau de certains éléments architecturaux.
Points faibles : Peut-être un peu court, j’aurais aimé voir d’autres dieux aussi, mais l’histoire en elle-même se tient comme ça donc bon, ce n’est pas un vrai point faible x) Enfin, l’histoire est peut-être traitée un peu rapidement ? Dans ce sens, je trouve un peu dommage que l’auteur n’ait pas fait de flash-back pour expliquer certains points, comme comment Raka et Swaha sont devenues amies, comment Swaha a épousé Agni et la réaction d’Indra en parallèle, qui déplore clairement ce mariage et qui accuse Swaha d’être responsable de la ‘défection’ d’Agni… Des détails en parallèle de l’histoire qui auraient davantage expliqué la position des personnages au cours du récit, l’auteur ne s’est pas appesanti là-dessus.