Aug 11, 2007 03:34
voila le gel, les larmes pernicieuses
les oublies d'hier, les affres de dieu
les plus grands cris de nos deux corps
les artifices prennent leurs essors
et nous voila tout deux dans ce silence
fermant les yeux sur cette abscence
et nous voila tout dans dans ce silence
tuant nos reves de delivrance
il fut un corps, un etre aime
un homoncule de reve qui fut detruit
les milles caresses furent oubliees
loin de ces corps, loin de ces cris
et nous sommes toujours dans le silence
et toutes les secondes qui s'y avancent
et nous voila toujours dans le silence
ignorant tout jusqu'a l'abscence
delivre moi d'un coup soudain
un geste brute, un geste malsain
cette coupure de rouge vetue
qu'elle soit dure, qu'elle soit aigue
et te voila si seule dans ce silence
tuant des heures de medisance
et te voila toute seule dans le silence
me maudissant pour mon abscence