Aujourd'hui, je prépare ma toute première escapade dans Paris même, qui doit avoir lieu le lendemain. Je suis censée retrouver une amie à une boutique de k-pop aux alentours de onze heures...et autant dire que l'itinéraire, il est loin d'être simple. Je dois prendre le RER A direction Boissy jusqu'aux Halles, puis aux Halles, prendre la ligne 4 du métro, pour descendre un arrêt plus tard à Châtelet, et enfin, à Châtelet, prendre la correspondance pour la ligne 7 direction Marie d'Ivry, et ça ne va pas être de la tarte. Et, puisque j'ai une vie sociale, cela va sans dire que je prends moins de temps pour écrire, et avancer ce que je dois avancer. AHEM.
Tout ça pour dire que hier soir, alors qu'il était pas loin de minuit, j'ai ouvert mon tableur et j'ai commencé à dresser un planning des choses que je devais écrire pour les différents défis. Concrètement, dans la semaine, je peux écrire le lundi, le jeudi, le vendredi, le samedi et le dimanche (exception faite des week-end où je retournerai dans le Nord, vie sociale oblige). Tout ceci évidemment sous réserve du travail que j'ai à faire pour la fac et de mes horaires de travaux dirigés que je n'ai pas encore. (j'ai encore trois heures à caser dans mon emploi du temps tout au plus, je le saurai lors de mon inscription pédagogique).
J'ai donc officiellement programmé le marathon "fin des 30 baisers", comme j'en parlais depuis plusieurs posts. Je suis censée en écrire deux pour aujourd'hui, et j'ai mollement commencé le premier. Les idées viennent, tant mieux, mais je ne peux pas m'empêcher de soupirer et de glander entre deux, parce que je suis une glandeuse professionnelle. Si je m'en tiens à mon planning, je devrais avoir fini mes 30 baisers pour le Dimanche 7 Octobre (mes TD n'auront pas encore commencé, je n'aurai donc que les fiches de mes cours magistraux à faire) et, quant au bingo, je devrais l'avoir fini pour le 31 Octobre au plus tard. Je me suis arrangée pour le finir la veille de la Nano, pour que j'écrive tranquillement le tome 2 de la saga du fils prodigue (j'ai décidé!) et figurez-vous que j'ai commencé à élaborer un plan détaillé de cette fic, et j'ai déjà ficelé l'intrigue pour quatre chapitres au moins (la fic en contiendra vingt.)
Sinon, j'ai aussi avancé sur ma fiche de personnage, je n'ai plus que 4 anecdotes à écrire sur l'histoire, le caractère à définir, mettre quelques "random facts" (trois minimum, ce n'est pas la mer à boire), ainsi que l'exemple de RP à finaliser. Pour ceux qui se demandent encore dans quelle langue je parle, vous pouvez voir la fiche en question
ici et vous faire une idée de ce à quoi ça peut bien ressembler.On ne dirait pas que ça avance, mais j'écris tout tranquillement dans Word, et je publie au fur et à mesure -je dois bien avoir écrit trois anecdotes depuis la dernière fois que j'ai édité. Je suis contente, je devrais parvenir à la finir d'ici la fin du week-end, comme prévu.
Minute racontage de vie on: je devrais effectivement rentrer dans le Nord pour le week-end du 27/28 Octobre, parce que mes amis vont me kidnapper pour une soirée. Résultat, je ne rentre pas chez mes parents ces fois-là, parce que l'ami en question habite à peu près à une heure de chez moi -et franchement, je n'ai pas envie de me taper l'aller/retour en train jusqu'à chez moi, c'est plus simple que j'aille directement de Paris jusque chez lui, que je reste dormir, et que je reparte à Paris le lendemain. Je remonterai voir la famille le week-end suivant, comme ça, pas de jaloux. Et il faut toujours que j'aille récupérer la clef de ma boîte aux lettres, mais c'est compliqué parce que le gestionnaire de la résidence me dit qu'il me l'a donnée en même temps que les badges servant à ouvrir la porte de mon appart', mais moi, je ne me souviens pas de l'avoir eue car sinon, je l'aurais rangée dans le portefeuille avec les badges, pour ne rien perdre. Je vais donc aller voir à l'accueil à partir de 17 heures, ce qui me laisse environ 1h30 pour boucler mon OS et siroter un mug de soupe aux carottes, parce que la soupe, c'est la vie, surtout quand il fait froid comme ça.