[Fic] IRIS ANDRÓMEDA DE "S" (traduction au français)
La longtemps promise traduction du premier chapitre du fic de Maria est là finalement! (desolée pour le rétard ^^UUUUUU) Les copyrigths donc ne m'appartienent à moi, mais a elle et... bon ça suffit d'introductions, lissez, nom de nom!
Je les vois. Ils me regardent. Taches de cuir noire, oui, de noveau. Ils parlent en baise voix, un murmure laiteux qui se filtre entre les brines d'argent et la fumée... Ils me regardent. Je veux qu'ils me regardent. Maintenant ils signalent le bâtiment, il a levé son index, il le fixe sur moi, a grandit, grandise, il me le insére entre les rideaux et mes cilles. Je lutte pour me débarraser de ses ongles, s'accrochent et ne veulent pas me lâcher, il lutte aussi. Ils le célebrent. Les chouconements sont les aplauses, pas les voix. Il me parla a l'oreille, sa bouche mordillant l'air de mon lobe, s'ouvrant chemin enre les cheveux. Tout finira. Les yeux d'aucun osent me voir en cet moment. L'horloguer de maman sonnet les cinc, s'obstine en me reveiller d'un état d'hipnôse. Alors sous ma peau parcours un frissonement, de someil interrompu par malménes au matin òu comme le brusque retour d'un chauchemar, là, au bord du lit sur le point de s'ouvrir en un précipice, et me sucçone, tire de ma chemise de nuit, je crois que je crie. Les cinc pile de l'aprés-midi me prévient de cet autre précipice, sauvée de noveau de tomber à travers du carreau, réjetant la chambre que s'étroite à chaque ombre me volent de l'espáce, alors il faut tomber, il suffira avec se jeter. Et c'est moi, DON, là-bas il y a, DON, volées de huille, DON, me traine, je glisse, c'est moi, DON, là-bas ils rigolent, ils me regardent comme je tombe, maudite cette heure, DON, je touche le sol, mais là-bas ils s'en vont dejà, ils ouvrent la porte du Citröen, j'éclate en petits morceaux.
Une fois plus, ils n'ont assisté a mon sacrifice.
(Pour les comments, veulliez passer par le fic original ici --> http://community.livejournal.com/spirou_fandom/29157.html)
Je les vois. Ils me regardent. Taches de cuir noire, oui, de noveau. Ils parlent en baise voix, un murmure laiteux qui se filtre entre les brines d'argent et la fumée... Ils me regardent. Je veux qu'ils me regardent. Maintenant ils signalent le bâtiment, il a levé son index, il le fixe sur moi, a grandit, grandise, il me le insére entre les rideaux et mes cilles. Je lutte pour me débarraser de ses ongles, s'accrochent et ne veulent pas me lâcher, il lutte aussi. Ils le célebrent. Les chouconements sont les aplauses, pas les voix. Il me parla a l'oreille, sa bouche mordillant l'air de mon lobe, s'ouvrant chemin enre les cheveux. Tout finira. Les yeux d'aucun osent me voir en cet moment. L'horloguer de maman sonnet les cinc, s'obstine en me reveiller d'un état d'hipnôse. Alors sous ma peau parcours un frissonement, de someil interrompu par malménes au matin òu comme le brusque retour d'un chauchemar, là, au bord du lit sur le point de s'ouvrir en un précipice, et me sucçone, tire de ma chemise de nuit, je crois que je crie. Les cinc pile de l'aprés-midi me prévient de cet autre précipice, sauvée de noveau de tomber à travers du carreau, réjetant la chambre que s'étroite à chaque ombre me volent de l'espáce, alors il faut tomber, il suffira avec se jeter. Et c'est moi, DON, là-bas il y a, DON, volées de huille, DON, me traine, je glisse, c'est moi, DON, là-bas ils rigolent, ils me regardent comme je tombe, maudite cette heure, DON, je touche le sol, mais là-bas ils s'en vont dejà, ils ouvrent la porte du Citröen, j'éclate en petits morceaux.
Une fois plus, ils n'ont assisté a mon sacrifice.
(Pour les comments, veulliez passer par le fic original ici --> http://community.livejournal.com/spirou_fandom/29157.html)