Défi : 50 livres dans l'année - 8/50
Bon, je vais tenter le défi. Comme mes lectures vont du roman aux livres de pédagogies et pour enfants en passant par la BD, le manga et le comics, comme par d'autres choses, ça ne sera pas forcément de la "grande littérature" mais c'est certainement moi.
***
Résumé général :
Sena Kobayakawa, le héros de l'histoire, est un jeune homme frêle et craintif. À force de jouer les larbins pour les autres, il a acquis une vitesse de course phénoménale. Dès son arrivée au lycée, il est remarqué par Yōichi Hiruma, le démoniaque quarterback de l'équipe de football américain de son lycée, les Deimon Devil Bats. Si au début Sena accepte d'en faire partie en tant que simple secrétaire, il va rapidement devenir Eyeshield 21, le mystérieux running back de l'équipe. Incognito derrière sa visière teintée verte, il constitue par sa rapidité l'arme secrète des Deimon Devil Bats. L'histoire se focalise tout autant sur l'évolution de l'équipe, sur l'élargissement de son effectif, et sur le rêve irréaliste des vétérans du club, Hiruma et Kurita, de participer au Christmas Bowl.
Avis :
Bon, sincèrement, qu'on soit fan ou non de football américain et qu'on en comprenne ou pas les règles, c'est sans importance, parce qu'on suit plutôt les protagonistes et leur progression morale, voir physique, et l'évolution de chacun, du froussard à la bande voyou.
Pour ces 5 volumes, accrochez-vous à vos chaussettes, car nous sommes dans la spirale de la fin du tournoi, donc, de matchs qui s'enchaînent avec des ennemis de plus en plus puissants, limite tu te demandes comment c'est possible humainement.
Il ne faut certes pas prendre ce manga au sérieux (surtout pas d'ailleurs) mais au cours des derniers volumes, surtout le 33 et le 34, il m'est apparu que franchement, je pourrais sincèrement me lancer dans un cross-over E21 / Saint Seya ou DBZ. Si si, ils dénatureraient pas le paysage avec leur "supers pouvoirs".
Bref, des passages un peu longuet quand même avec cette répétition d'ennemis toujours plus puissants avec des techniques ultimes et cette idée que c'est même... inné.
Pourtant, quand on voit que notre équipe de bras cassés des Devils Bats bat tout ce petit monde par la force de sa volonté et de son entraînement monstrueux, ben on reste accroché et on y croit.
Dieu merci, il ne reste plus que quelques volumes à cette série (2 en fait), parce que je ne me vois pas par contre continuer avec cette succession d'ennemis surpuissants ad vitam eternam. Néanmoins, j'aime. La preuve, c'est un des rares mangas que je continue depuis ces dernières années.
***
Résumé :
Euh... Un livre de plus sur les estampes japonaises.
Avis :
Je l'aime bien, parce que la partie historique est claire, concise et qu'elle ne s'éternise pas, au point de devenir ennuyeuse, comme d'autres livres que j'ai pu consulter. Il y a aussi un parallèle entre l'influence des estampes japonaises sur l'art occidental avec des oeuvres d'artistes comme Toulouse-Lautrec, par exemple.
Cependant, ce que j'aime particulièrement dans ce livre, c'est que pour une fois, on fait vraiment la part belle aux estampes. On n'a pas seulement l'oeuvre et le titre, non, on a une petite histoire à côté, pour chacune d'elle, qui permet de mieux comprendre l'estampe qu'on voit et ça, sincèrement pour moi, c'est le mega plus qui fait toute la différence avec tous les ouvrages chiants qui me gonflaient tellement que je ne faisais que regarder les illustrations et je ne m'inquiétais plus du texte.
Ici, c'est court, clair, concis et intéressant. En plus, on sort vraiment, mais vraiment des clichés. C'est bien gentil la vue du Mont Fuji sous la neige, mais c'est l'estampe qu'on voit dans tous les livres. Ici, non, on le voit autrement, ENFIN ! Bref, je conseille pour ceux qui apprécie le thème.
***
Résumé :
Le bouledogue Boule rencontre Kana et veut devenir son ami. Il lèche la petite fille en signe d'amitié mais celle-ci n'apprécie guère. A chaque fois qu'il essaie d'être gentil avec elle, Kana se met à pleurer. Boule retourne dans sa niche, tout triste et ne veut plus manger. Voilà Kana qui s'approche...
Avis :
D'abord, j'a craqué sur le visuel de la couverture. Le dessin au crayon et à l'aquarelle m'a conquise. Ne parlons pas de la bouille des deux persos. Ensuite, le titre m'a intriguée, j'ouvre donc l'ouvrage au milieu du rayon enfant et commence à feuilleter. L'histoire est courte, rapide à lire et les illustrations vivantes. Cela parle des problèmes de communication à travers un chien et un enfant, mais c'est adorable et ça permet aux enfants de comprendre que parfois, l'apparence n'est pas la vraie "personne", sans aucune morale. Et puis c'est adorable !!!
Bref, je l'aime et je me met dans ma liste de fin d'année d'acheter sa suite (Gagné), mais bon, là le porte-monnaie tire un peu la tronche, on va attendre. XD
Je compte m'en servir en classe, ça c'est sûr !
***
Résumé :
Que se passe-t-il lorsqu'un chat ronronne à vos côtés ? Vous témoigne-t-il son affection ? Vous fait-il part de sa satisfaction ? Sollicite-t-il votre attention ? La réponse est tout cela à la fois... et bien plus encore. A priori mono-cordes, les ondes émises par ce mystérieux bourdonnement propre aux félins, ont un impact bienfaiteur sur le corps et l'esprit humains. Puissant anti-stress, régulateur de la tension artérielle, boosteur des défenses immunitaires, soutien psycho-moteur... Le ronronnement recèle en effet de nombreuses vertus thérapeutiques, révélées dans les années 1950 par le corps médical américain. Premier du genre, cet ouvrage nous livre les secrets de ce remède naturel et met à la portée de tous les pouvoirs guérisseurs du ronronnement. Entre récits historiques, exercices pratiques, témoignages et photos, ce guide du mieux-vivre grâce à nos chers matous, devient le compagnon idéal des 7 à 77 ans.
Avis :
Je n'ai pas testé le CD, mais bon, moi j'ai un vrai chat, et franchement, acheter un livre pour avoir le CD... passons.
Pour en revenir au livre, je l'ai trouvé... vide, redondant et apportant finalement peu d'éléments intéressants. La partie consacrée aux recherches est noyée dans un flot d'avis perso et de "délires" de l'auteure, sans réelles preuves ou détails, si ce n'est médicales pures, qui décrive les effets physiques, pourquoi ils font effet, on se contente de "témoignages"; Franchement, j'ai été déçue. Je ne m'attendais pas à un ouvrage médical pur et dur mais j'aurais aimé apprendre autre chose que ce que je sais déjà, parce que là, en réalité, tout est une redite collée dans un ouvrage avec de jolis photos pour vendre le produit.
A emprunter si le sujet vous intéresse, sinon, pas la peine de s'y attarder.
***
Bon, passons au lourd, à la "vraie" lecture soi-disant, aux romans à proprement dit !
Résumé :
Une vieille sorcière à l'agonie lègue sa baguette magique (qui transforme toutes choses en citrouilles) à Magrat Goussedail, à charge pour celle-ci d'aller à Genua, au bout du monde, et d'empêcher le mariage du prince local avec une servante. Deux autres sorcières, Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg, l'accompagnent dans un voyage qui leur fera traverser bien des royaumes. Arrivées à destination, elles rencontrent le petit chaperon rouge et les trois petits cochons. Il faut se rendre à l'évidence : les trois sorcières sont sur le territoire des contes, où elles seront soumises aux redoutables pouvoirs de l'imaginaire manipulés par la "bonne fée" Lilith. Les servantes sont là pour épouser les princes et les mères-grands pour se jeter dans la gueule du loup. Mais quand Magrat vient au bal chaussée de verre, le destin hésite et Mémé Ciredutemps se bat contre sa propre soeur, semant la panique chez les convives. On a l'impression qu'elles se sont trompées de conte, mais une chance leur sera encore donnée de rentrer chez elles pour y raconter leurs exploits.
Avis :
Ce n'est pas celui que je préfère des aventures de nos sorcières bien-aimées. J'avoue qu'à la relecture, j'ai eu du mal à accrocher au début de l'histoire et toute la partie dans le Bayou me semble un peu étrange quand juste à côté, on avait rencontré un loup et des cochons, ne parlons pas d'ours dans une zone qui finalement, devrait être un paysage de bayou, avec marécages et forêt humide.
Mis à part ça, le livre est truculent, on apprécie Mémé dans toute sa splendeur et les "déboires" de Gredin qui rencontre un pendant de lui-même dans un oiseau.
Ce n'est pas celui que je préfère de la série, c'est clair, mais il est agréable à lire, une fois qu'on a passé les premières pages, avec une mise en place de l'intrigue un peu lente, je trouve. Après, on rit, on essaye de chercher les références et on essaye de comprendre ce qu'est le bayou et le vaudou aussi, même s'il est parodié. (Parce que ça, ça ne fait pas partie de ma culture, donc, j'aborde ça comme une néophyte)
***
Résumé :
C’est un homme comblé que le duc Sam Vimaire, commissaire divisionnaire du Guet d’Ankh-Morpork, heureux père bientôt. Hélas ! la poursuite d’un dangereux criminel entraîne un accident qui le ramène dans son propre passé, en un temps de tumulte et de violence.
Vivre dans le passé n’est pas facile mais y mourir étonnamment simple. Il doit pourtant survivre car des tâches essentielles l’attendent : mettre le grappin sur un meurtrier, s’instruire lui-même, débutant, pour devenir un bon flic et changer l’issue d’une rébellion sanglante.
À l’assaut des paradoxes temporels, un « conte d’une ville » façon Disque-monde, avec sa collection de gavroches, de dames à l’affection négociable (« L’amour au juste prix ! »), de rebelles, de policiers de la Secrète et autres enfants de la révolution.
Avis :
Alors, déjà, petit info pour les fanas des couvertures des livres de Pratchett, celle-ci est inspiré de l'oeuvre Ronde de Nuit de Rembrandt. Voilà, c'était la minute culturelle.
Comme une courge, je me suis gourée et j'ai lu Ronde de Nuit après Jeu de Nains, donc autant vous dire que j'étais autant dans le paradoxe temporel que notre cher Vimaire. Donc, le temps que mes petits neurones se décarcassent à tout remettre en place, j'ai dévoré le livre, prenant quelques pauses en milieu de roman, pour tenter de me situer (oui, ça m'a perturber de ne pas les avoir lu dans le bon sens, parce que ça fait que ce que je savais des persos était à venir et parfois, je me mélangeai malgré tout). J'ai découvert Chicard enfant. Personne ne veut connaître Chicard enfant. Une sorte de Gavroche en pire.
J'ai aimé de pouvoir explorer la "psyché" de Vimaire et sa conception d'être un flic. Bref, celui-là je le conseille, mais ne faite pas comme moi, lisez-le dans le bon ordre ! XP
***
Résumé :
LES DROITS IMPRESCRITIBLES DU LECTEUR
1. Le droit de ne pas lire.
2. Le droit de sauter des pages.
3. Le droit de ne pas finir un livre.
4. Le droit de relire.
5. Le droit de lire n'importe quoi.
6. Le droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible).
7. Le droit de lire n'importe où.
8. Le droit de grappiller.
9. Le droit de lire à haute voix.
10. Le droit de nous taire.
Avis :
Tout le monde m'en parlait, donc j'ai tenté. C'est intéressant, de mon point de vue de "pédagogue", la façon qu'il a de défendre la lecture et les solutions qu'il propose. Il montre aussi la réalité d'aujourd'hui, il faut lire des choses intelligentes et les résumer comme il est de bon ton pour plaire à la société, sauf qu'au lieu du Roi, on doit plaire à l'Académie. C'est pour ça que selon le dogme, la lecture ne comprend souvent, aux yeux des gens, que des romans. Mais lire de tout, c'est lire, comme Pennac le dit. Bref, j'y trouve un écho de la situation que je vis tous les jours en classe : comment donner l'envie de lire à ces enfants, sans pour autant leur imposer ma vision de la lecture.
Même si parfois, et il l'admet lui-même dans son essai, je le trouve un peu "pompeux", je comprends, car le problème d'être "pédagogue" et de donner son avis, c'est que malgré soit, on dicte un nouveau dogme.
Pourtant, je le conseille, à qui a envie de lire et de s'interroger sur la lecture, pas pour frimer ou pour trouver des solutions pour faire lire ses enfants, mais pour se demander pourquoi il lit ou ne lit pas.
***
Résumé :
"Un livre de plus sur l'école, alors ?"
"Non, pas sur l'école ! sur le cancre. Sur la douleur de ne pas comprendre et ses effets collatéraux sur les parents et les professeurs."
Avis :
Que dire si ce n'est que ce livre m'a faite grimper aux rideaux. Bizarre, je sais mais c'est le cas. J'étais à la fois complètement d'accord et à la fois complètement outrée. Ce qui prouve que ce livre touche bien le vrai problème de l'enseignant face à l'élève en difficulté, et la vraie souffrance de l'enfant qui doit être élève dans un système qui doit généraliser un enseignement, malgré la bonne volonté des enseignants (je parle des vrais, ceux qui font ça par vocation) et les soi-disant grands discours du pouvoir qui dit vouloir donner les moyens.
Comme si on avait les moyens avec 33 enfants dans une classe de petite section, sans formation et sans aide-maternelle, ou un enfant à fort taux de handicap sans aide réelle ou... Passons...
Non, sincèrement, je ne conseille pas de le lire si pour vous, l'école n'est pas un sujet qui vous intéresse. Je ne pense pas que c'est un livre qui aide à mieux comprendre ou à mieux appréhender le problème de l'enfant-élève. Ce n'est pas un livre solution, c'est un livre constatation. C'est peut-être ça qui m'exaspère le plus : les pédagogues français, et les autres aussi de l'Etat aux professeurs, sont très forts en constatation, mais dans tout ça, rien ne bouge, et au final, ce n'est qu'un livre du plus sur l'école. Parce que l'amour j'en ai, de mon métier, de mes élèves, de la culture, mais je sais aussi que sans moyen et sans implication de la société, je ne pourrais pas m'occuper de tous mes élèves comme ils le mériteraient.
Et c'est là que ce livre est douloureux, très douloureux.
***
Ce qui fait un total de : 8 sur 50.
Bien bien, bien. Courage ma fille, courage, tu vaincras !
***
Résumé général :
Sena Kobayakawa, le héros de l'histoire, est un jeune homme frêle et craintif. À force de jouer les larbins pour les autres, il a acquis une vitesse de course phénoménale. Dès son arrivée au lycée, il est remarqué par Yōichi Hiruma, le démoniaque quarterback de l'équipe de football américain de son lycée, les Deimon Devil Bats. Si au début Sena accepte d'en faire partie en tant que simple secrétaire, il va rapidement devenir Eyeshield 21, le mystérieux running back de l'équipe. Incognito derrière sa visière teintée verte, il constitue par sa rapidité l'arme secrète des Deimon Devil Bats. L'histoire se focalise tout autant sur l'évolution de l'équipe, sur l'élargissement de son effectif, et sur le rêve irréaliste des vétérans du club, Hiruma et Kurita, de participer au Christmas Bowl.
Avis :
Bon, sincèrement, qu'on soit fan ou non de football américain et qu'on en comprenne ou pas les règles, c'est sans importance, parce qu'on suit plutôt les protagonistes et leur progression morale, voir physique, et l'évolution de chacun, du froussard à la bande voyou.
Pour ces 5 volumes, accrochez-vous à vos chaussettes, car nous sommes dans la spirale de la fin du tournoi, donc, de matchs qui s'enchaînent avec des ennemis de plus en plus puissants, limite tu te demandes comment c'est possible humainement.
Il ne faut certes pas prendre ce manga au sérieux (surtout pas d'ailleurs) mais au cours des derniers volumes, surtout le 33 et le 34, il m'est apparu que franchement, je pourrais sincèrement me lancer dans un cross-over E21 / Saint Seya ou DBZ. Si si, ils dénatureraient pas le paysage avec leur "supers pouvoirs".
Bref, des passages un peu longuet quand même avec cette répétition d'ennemis toujours plus puissants avec des techniques ultimes et cette idée que c'est même... inné.
Pourtant, quand on voit que notre équipe de bras cassés des Devils Bats bat tout ce petit monde par la force de sa volonté et de son entraînement monstrueux, ben on reste accroché et on y croit.
Dieu merci, il ne reste plus que quelques volumes à cette série (2 en fait), parce que je ne me vois pas par contre continuer avec cette succession d'ennemis surpuissants ad vitam eternam. Néanmoins, j'aime. La preuve, c'est un des rares mangas que je continue depuis ces dernières années.
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Résumé :
Euh... Un livre de plus sur les estampes japonaises.
Avis :
Je l'aime bien, parce que la partie historique est claire, concise et qu'elle ne s'éternise pas, au point de devenir ennuyeuse, comme d'autres livres que j'ai pu consulter. Il y a aussi un parallèle entre l'influence des estampes japonaises sur l'art occidental avec des oeuvres d'artistes comme Toulouse-Lautrec, par exemple.
Cependant, ce que j'aime particulièrement dans ce livre, c'est que pour une fois, on fait vraiment la part belle aux estampes. On n'a pas seulement l'oeuvre et le titre, non, on a une petite histoire à côté, pour chacune d'elle, qui permet de mieux comprendre l'estampe qu'on voit et ça, sincèrement pour moi, c'est le mega plus qui fait toute la différence avec tous les ouvrages chiants qui me gonflaient tellement que je ne faisais que regarder les illustrations et je ne m'inquiétais plus du texte.
Ici, c'est court, clair, concis et intéressant. En plus, on sort vraiment, mais vraiment des clichés. C'est bien gentil la vue du Mont Fuji sous la neige, mais c'est l'estampe qu'on voit dans tous les livres. Ici, non, on le voit autrement, ENFIN ! Bref, je conseille pour ceux qui apprécie le thème.
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Résumé :
Le bouledogue Boule rencontre Kana et veut devenir son ami. Il lèche la petite fille en signe d'amitié mais celle-ci n'apprécie guère. A chaque fois qu'il essaie d'être gentil avec elle, Kana se met à pleurer. Boule retourne dans sa niche, tout triste et ne veut plus manger. Voilà Kana qui s'approche...
Avis :
D'abord, j'a craqué sur le visuel de la couverture. Le dessin au crayon et à l'aquarelle m'a conquise. Ne parlons pas de la bouille des deux persos. Ensuite, le titre m'a intriguée, j'ouvre donc l'ouvrage au milieu du rayon enfant et commence à feuilleter. L'histoire est courte, rapide à lire et les illustrations vivantes. Cela parle des problèmes de communication à travers un chien et un enfant, mais c'est adorable et ça permet aux enfants de comprendre que parfois, l'apparence n'est pas la vraie "personne", sans aucune morale. Et puis c'est adorable !!!
Bref, je l'aime et je me met dans ma liste de fin d'année d'acheter sa suite (Gagné), mais bon, là le porte-monnaie tire un peu la tronche, on va attendre. XD
Je compte m'en servir en classe, ça c'est sûr !
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Résumé :
Que se passe-t-il lorsqu'un chat ronronne à vos côtés ? Vous témoigne-t-il son affection ? Vous fait-il part de sa satisfaction ? Sollicite-t-il votre attention ? La réponse est tout cela à la fois... et bien plus encore. A priori mono-cordes, les ondes émises par ce mystérieux bourdonnement propre aux félins, ont un impact bienfaiteur sur le corps et l'esprit humains. Puissant anti-stress, régulateur de la tension artérielle, boosteur des défenses immunitaires, soutien psycho-moteur... Le ronronnement recèle en effet de nombreuses vertus thérapeutiques, révélées dans les années 1950 par le corps médical américain. Premier du genre, cet ouvrage nous livre les secrets de ce remède naturel et met à la portée de tous les pouvoirs guérisseurs du ronronnement. Entre récits historiques, exercices pratiques, témoignages et photos, ce guide du mieux-vivre grâce à nos chers matous, devient le compagnon idéal des 7 à 77 ans.
Avis :
Je n'ai pas testé le CD, mais bon, moi j'ai un vrai chat, et franchement, acheter un livre pour avoir le CD... passons.
Pour en revenir au livre, je l'ai trouvé... vide, redondant et apportant finalement peu d'éléments intéressants. La partie consacrée aux recherches est noyée dans un flot d'avis perso et de "délires" de l'auteure, sans réelles preuves ou détails, si ce n'est médicales pures, qui décrive les effets physiques, pourquoi ils font effet, on se contente de "témoignages"; Franchement, j'ai été déçue. Je ne m'attendais pas à un ouvrage médical pur et dur mais j'aurais aimé apprendre autre chose que ce que je sais déjà, parce que là, en réalité, tout est une redite collée dans un ouvrage avec de jolis photos pour vendre le produit.
A emprunter si le sujet vous intéresse, sinon, pas la peine de s'y attarder.
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Bon, passons au lourd, à la "vraie" lecture soi-disant, aux romans à proprement dit !
Résumé :
Une vieille sorcière à l'agonie lègue sa baguette magique (qui transforme toutes choses en citrouilles) à Magrat Goussedail, à charge pour celle-ci d'aller à Genua, au bout du monde, et d'empêcher le mariage du prince local avec une servante. Deux autres sorcières, Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg, l'accompagnent dans un voyage qui leur fera traverser bien des royaumes. Arrivées à destination, elles rencontrent le petit chaperon rouge et les trois petits cochons. Il faut se rendre à l'évidence : les trois sorcières sont sur le territoire des contes, où elles seront soumises aux redoutables pouvoirs de l'imaginaire manipulés par la "bonne fée" Lilith. Les servantes sont là pour épouser les princes et les mères-grands pour se jeter dans la gueule du loup. Mais quand Magrat vient au bal chaussée de verre, le destin hésite et Mémé Ciredutemps se bat contre sa propre soeur, semant la panique chez les convives. On a l'impression qu'elles se sont trompées de conte, mais une chance leur sera encore donnée de rentrer chez elles pour y raconter leurs exploits.
Avis :
Ce n'est pas celui que je préfère des aventures de nos sorcières bien-aimées. J'avoue qu'à la relecture, j'ai eu du mal à accrocher au début de l'histoire et toute la partie dans le Bayou me semble un peu étrange quand juste à côté, on avait rencontré un loup et des cochons, ne parlons pas d'ours dans une zone qui finalement, devrait être un paysage de bayou, avec marécages et forêt humide.
Mis à part ça, le livre est truculent, on apprécie Mémé dans toute sa splendeur et les "déboires" de Gredin qui rencontre un pendant de lui-même dans un oiseau.
Ce n'est pas celui que je préfère de la série, c'est clair, mais il est agréable à lire, une fois qu'on a passé les premières pages, avec une mise en place de l'intrigue un peu lente, je trouve. Après, on rit, on essaye de chercher les références et on essaye de comprendre ce qu'est le bayou et le vaudou aussi, même s'il est parodié. (Parce que ça, ça ne fait pas partie de ma culture, donc, j'aborde ça comme une néophyte)
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Résumé :
C’est un homme comblé que le duc Sam Vimaire, commissaire divisionnaire du Guet d’Ankh-Morpork, heureux père bientôt. Hélas ! la poursuite d’un dangereux criminel entraîne un accident qui le ramène dans son propre passé, en un temps de tumulte et de violence.
Vivre dans le passé n’est pas facile mais y mourir étonnamment simple. Il doit pourtant survivre car des tâches essentielles l’attendent : mettre le grappin sur un meurtrier, s’instruire lui-même, débutant, pour devenir un bon flic et changer l’issue d’une rébellion sanglante.
À l’assaut des paradoxes temporels, un « conte d’une ville » façon Disque-monde, avec sa collection de gavroches, de dames à l’affection négociable (« L’amour au juste prix ! »), de rebelles, de policiers de la Secrète et autres enfants de la révolution.
Avis :
Alors, déjà, petit info pour les fanas des couvertures des livres de Pratchett, celle-ci est inspiré de l'oeuvre Ronde de Nuit de Rembrandt. Voilà, c'était la minute culturelle.
Comme une courge, je me suis gourée et j'ai lu Ronde de Nuit après Jeu de Nains, donc autant vous dire que j'étais autant dans le paradoxe temporel que notre cher Vimaire. Donc, le temps que mes petits neurones se décarcassent à tout remettre en place, j'ai dévoré le livre, prenant quelques pauses en milieu de roman, pour tenter de me situer (oui, ça m'a perturber de ne pas les avoir lu dans le bon sens, parce que ça fait que ce que je savais des persos était à venir et parfois, je me mélangeai malgré tout). J'ai découvert Chicard enfant. Personne ne veut connaître Chicard enfant. Une sorte de Gavroche en pire.
J'ai aimé de pouvoir explorer la "psyché" de Vimaire et sa conception d'être un flic. Bref, celui-là je le conseille, mais ne faite pas comme moi, lisez-le dans le bon ordre ! XP
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Résumé :
LES DROITS IMPRESCRITIBLES DU LECTEUR
1. Le droit de ne pas lire.
2. Le droit de sauter des pages.
3. Le droit de ne pas finir un livre.
4. Le droit de relire.
5. Le droit de lire n'importe quoi.
6. Le droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible).
7. Le droit de lire n'importe où.
8. Le droit de grappiller.
9. Le droit de lire à haute voix.
10. Le droit de nous taire.
Avis :
Tout le monde m'en parlait, donc j'ai tenté. C'est intéressant, de mon point de vue de "pédagogue", la façon qu'il a de défendre la lecture et les solutions qu'il propose. Il montre aussi la réalité d'aujourd'hui, il faut lire des choses intelligentes et les résumer comme il est de bon ton pour plaire à la société, sauf qu'au lieu du Roi, on doit plaire à l'Académie. C'est pour ça que selon le dogme, la lecture ne comprend souvent, aux yeux des gens, que des romans. Mais lire de tout, c'est lire, comme Pennac le dit. Bref, j'y trouve un écho de la situation que je vis tous les jours en classe : comment donner l'envie de lire à ces enfants, sans pour autant leur imposer ma vision de la lecture.
Même si parfois, et il l'admet lui-même dans son essai, je le trouve un peu "pompeux", je comprends, car le problème d'être "pédagogue" et de donner son avis, c'est que malgré soit, on dicte un nouveau dogme.
Pourtant, je le conseille, à qui a envie de lire et de s'interroger sur la lecture, pas pour frimer ou pour trouver des solutions pour faire lire ses enfants, mais pour se demander pourquoi il lit ou ne lit pas.
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Résumé :
"Un livre de plus sur l'école, alors ?"
"Non, pas sur l'école ! sur le cancre. Sur la douleur de ne pas comprendre et ses effets collatéraux sur les parents et les professeurs."
Avis :
Que dire si ce n'est que ce livre m'a faite grimper aux rideaux. Bizarre, je sais mais c'est le cas. J'étais à la fois complètement d'accord et à la fois complètement outrée. Ce qui prouve que ce livre touche bien le vrai problème de l'enseignant face à l'élève en difficulté, et la vraie souffrance de l'enfant qui doit être élève dans un système qui doit généraliser un enseignement, malgré la bonne volonté des enseignants (je parle des vrais, ceux qui font ça par vocation) et les soi-disant grands discours du pouvoir qui dit vouloir donner les moyens.
Comme si on avait les moyens avec 33 enfants dans une classe de petite section, sans formation et sans aide-maternelle, ou un enfant à fort taux de handicap sans aide réelle ou... Passons...
Non, sincèrement, je ne conseille pas de le lire si pour vous, l'école n'est pas un sujet qui vous intéresse. Je ne pense pas que c'est un livre qui aide à mieux comprendre ou à mieux appréhender le problème de l'enfant-élève. Ce n'est pas un livre solution, c'est un livre constatation. C'est peut-être ça qui m'exaspère le plus : les pédagogues français, et les autres aussi de l'Etat aux professeurs, sont très forts en constatation, mais dans tout ça, rien ne bouge, et au final, ce n'est qu'un livre du plus sur l'école. Parce que l'amour j'en ai, de mon métier, de mes élèves, de la culture, mais je sais aussi que sans moyen et sans implication de la société, je ne pourrais pas m'occuper de tous mes élèves comme ils le mériteraient.
Et c'est là que ce livre est douloureux, très douloureux.
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Ce qui fait un total de : 8 sur 50.
Bien bien, bien. Courage ma fille, courage, tu vaincras !