Cédric fit son entrée vers dix-neuf heures trente. Il n’avait pas spécialement prévu de passer chez Sayara et ce n’était pas raisonnable mais à l’idée de rentrer dans son studio vide et silencieux, il avait laissé ses pieds prendre une tout autre direction. Une odeur agréable flottait sur le palier, et lorsqu’il ouvrit la porte, ce fut pour assister au tableau le plus charmant et comique qu’il avait eu l’occasion de contempler depuis un moment. Sayara était à la cuisine en train de mitonner le dîner, Gwenaël avait sorti table et fer et repassait consciencieusement une pile de linge. Un sourire irrésistible naquit sur ses lèvres, il sentit sa fatigue s’envoler. « Bon, eh bien je crois que je vais prendre une bière, m’installer sur le canapé et voir s’il n’y a pas un match de foot à la télé. Il y en a bien un de vous deux qui me fera un massage des pieds », déclara-t-il. Ils levèrent les yeux de leur activité respective. « Dans tes fantasmes les plus fous, rétorqua Gwenaël. Ce soir, c’est moi le dieu et Say est à mon « entière disposition », fin de citation. Alors pour bouffer, c’est à moi qu’on baise les pieds. » Cédric se mordit violemment la joue parce qu’il avait beau avoir les mots sur le bout de la langue, il n’allait pas répliquer. D’autant que Sayara le regardait d’un air goguenard. « On se révolte ? se contenta-t-il de dire. - Sire, ce n’est pas une révolte, c’est la révolution, répondit Sayara, sourire aux lèvres. - Aux fourneaux ou à la guillotine, Monsieur de la Rochefoucault ! menaça Gwenaël. - Oui, Citoyen Robespierre… - Robespierre, c’est pas celui qui n’avait pas de couilles ? demanda Cédric. - Sayara pourra témoigner le contraire, et de première main. » Cédric sentit tout son système nerveux s’arrêter. « … quoi ? » réussit-il à articuler. Sayara vint déposer un baiser au coin de ses lèvres. « Tu ne veux pas savoir. »
Et maintenant j'arrête où y'aura toute la fic. XDDD
« Dans tes fantasmes les plus fous, rétorqua Gwenaël. Ce soir, c’est moi le dieu et Say est à mon « entière disposition », fin de citation. Alors pour bouffer, c’est à moi qu’on baise les pieds. »
C'est fou ce que tu es crédible avec ta planche à repasser... *se marre*
« Tu ne veux pas savoir. »"
Si si on veut savoir !!! XD
*ronronron* *papouille* *couine pour en avoir plus*
Ah faut que je fasse un post pour toi ^^
j'ai un doute... J’en étais sûr, tu portes un de mes calbuts C'est Gwen qui dit ça ?
Oui, oui, c'est lui, lol. Say et Ced' n'arrêtent pas de lui piquer ses caleçons... :D Gwen : -_- Je suis vraiment trop gentil avec eux, je leur passe tout, c'est pas possible. Ca peut pas continuer comme ça.
Une odeur agréable flottait sur le palier, et lorsqu’il ouvrit la porte, ce fut pour assister au tableau le plus charmant et comique qu’il avait eu l’occasion de contempler depuis un moment.
Sayara était à la cuisine en train de mitonner le dîner, Gwenaël avait sorti table et fer et repassait consciencieusement une pile de linge. Un sourire irrésistible naquit sur ses lèvres, il sentit sa fatigue s’envoler.
« Bon, eh bien je crois que je vais prendre une bière, m’installer sur le canapé et voir s’il n’y a pas un match de foot à la télé. Il y en a bien un de vous deux qui me fera un massage des pieds », déclara-t-il.
Ils levèrent les yeux de leur activité respective.
« Dans tes fantasmes les plus fous, rétorqua Gwenaël. Ce soir, c’est moi le dieu et Say est à mon « entière disposition », fin de citation. Alors pour bouffer, c’est à moi qu’on baise les pieds. »
Cédric se mordit violemment la joue parce qu’il avait beau avoir les mots sur le bout de la langue, il n’allait pas répliquer. D’autant que Sayara le regardait d’un air goguenard.
« On se révolte ? se contenta-t-il de dire.
- Sire, ce n’est pas une révolte, c’est la révolution, répondit Sayara, sourire aux lèvres.
- Aux fourneaux ou à la guillotine, Monsieur de la Rochefoucault ! menaça Gwenaël.
- Oui, Citoyen Robespierre…
- Robespierre, c’est pas celui qui n’avait pas de couilles ? demanda Cédric.
- Sayara pourra témoigner le contraire, et de première main. »
Cédric sentit tout son système nerveux s’arrêter.
« … quoi ? » réussit-il à articuler.
Sayara vint déposer un baiser au coin de ses lèvres.
« Tu ne veux pas savoir. »
Et maintenant j'arrête où y'aura toute la fic. XDDD
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« Dans tes fantasmes les plus fous, rétorqua Gwenaël. Ce soir, c’est moi le dieu et Say est à mon « entière disposition », fin de citation. Alors pour bouffer, c’est à moi qu’on baise les pieds. »
C'est fou ce que tu es crédible avec ta planche à repasser... *se marre*
« Tu ne veux pas savoir. »"
Si si on veut savoir !!! XD
*ronronron*
*papouille*
*couine pour en avoir plus*
Ah faut que je fasse un post pour toi ^^
j'ai un doute...
J’en étais sûr, tu portes un de mes calbuts
C'est Gwen qui dit ça ?
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Oui, oui, c'est lui, lol. Say et Ced' n'arrêtent pas de lui piquer ses caleçons... :D
Gwen : -_- Je suis vraiment trop gentil avec eux, je leur passe tout, c'est pas possible. Ca peut pas continuer comme ça.
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si c'est pas pathétique ça... xd
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Gwen : contentez-vous de me les rendre
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Poussière, faux plis, ...
Rien ne lui résiste !
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