Dans une semaine je suis à Paris !!!!! ^_______^ *poke* Dites, les gens
qui sont à Paris, si vous avez cinq minutes entre deux rames de
métro pour un poke en live, chuis làààààà ! ^o^
Emploi du temps pour les jours à venir... qui a parlé de vacances ?
Samedi 11-dimanche 12 : Bosse au restau.
Lundi 13 : m'occuper de mon master
Mardi 14 : début de déménagement
Mercredi 15 : Départ pour Cherbourg
Jeudi 16 : journée de recrutement Brittany Ferries *croise les doigts* et retour sur Saint-Lunaire
Vendredi 17 : départ pour Pariiiiiiiiis !!!! ^_____^
Samedi 18 : journée réunion de famille extensible à Versailles
Dimanche 19 à jeudi 23 après midi : PARIIIIIIS !!! Voir des gens, faire
le tour des boutiques de japanimation, éviter les trop longues
discussions avec mes soeurs... ^_^
Jeudi 23 soir-Samedi 25 : chez ma grand-mère et retour sur Saint Lu
Dimanche 26 : Travail au restau.
Nya.
Et maintenant, un petit scribouillage-cadeau FMA.
Ecrit pour
Tipitina , parce que je suis souvent chiante et
qu'elle supporte mes caprices sans rien dire, et qu'il était temps que je fasse
quelque chose pour la remercier.
Vivant
Scribouilleuse
: Shakes Kinder Pinguy
Genre : flangst
Rating : G
Disclaimer : FMA m'appartient pas.
Avertissement : Parce que je connais Al et Tip, je vais
dire que c'est du pré-elricest, voire de l'elricest tout court. Mais ça peut
largement être lu comme si ça n'en était pas. De toute façon, je n'écris pas
d'elricest. Nope. ¬_¬
***
Il entra en silence dans la chambre. Les volets étaient
fermés mais la lumière de l'après-midi filtrait, l'éclairant bien assez pour
qu'il voie la silhouette endormie sur le lit. Il s'approcha, s'agenouilla
devant le visage paisible et sa gorge se serra.
Son frère dormait paisiblement. Il savait que lui se
serait réveillé dès que la porte aurait commencé à s'ouvrir, l'un des rares
gestes prudents qu'il avait intégré. Avoir un instinct de survie dans sa quête
aurait été le plus sûr moyen de ne jamais rien obtenir.
Son regard traça la silhouette de son frère, ses doigts se
posèrent sur la joue à la peau douce, chaude, et il se trouva ridicule mais
c'était plus fort que lui. Avec une délicatesse inhabituelle chez lui, il traça
du bout des doigts les traits du visage qui avait été si longtemps absent, qui
n'était pas vraiment celui dont il se souvenait, mais c'était peut-être mieux
comme ça.
Un soupir s'échappa des lèvres pâles, lui chatouillant les
doigts. Un souffle chaud, vivant, pour de bon. Pour de vrai.
Il eut envie de poser l'oreille sur la poitrine qui se
soulevait en rythme, pour entendre le cœur battre, entendre la musique sourde
de la vie.
Et puis les cils frémirent, le nez se fronça, et les
paupières s'ouvrirent sur un regard un peu endormi qui se posa sur lui. Il y
eut un instant de silence, puis son frère se redressa soudain, une expression
de panique sur le visage.
−Grand Frère, tu pleures ! que se passe-t-il ? Qu'est-ce
qu'il y a ? Edward !
Edward cligna des yeux et une larme glissa sur sa joue.
Alphonse posa une main sur son épaule, une autre sur sa joue, et l'angoisse sur
son visage emplit Edward d'une joie douce-amère.
− Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Réponds-moi !
En silence, incapable de répondre, Edward passa les bras
autour de la taille de son frère, se cachant contre le corps souple et chaud et
vivant…
− Grand frère…
La main dans ses cheveux lui fit fermer les yeux, et un
sanglot solitaire le secoua.
− Tu es vivant, murmura-t-il d'une voix rauque.
Alphonse se figea, déconcerté.
− Grand frère ?
− Tu es vivant, répéta Edward, et le cœur d'Alphonse qui
battait et résonnait était le plus beau son qu'il avait jamais entendu.
Les bras d'Alphonse l'entourèrent soudain.
− J'ai encore été égoïste, n'est-ce pas ? murmura-t-il.
Depuis que j'ai retrouvé mon corps, il n'y en a eu que pour moi, je n'ai pas
arrêté de te toucher, d'essayer de rattraper mon retard. Excuse-moi, Edward.
J'avais oublié qu'il n'y avait pas que moi qui avais perdu mon frère.
Edward ne répondit, se contenta de serrer son frère un peu
plus. Alphonse posa le front contre la tête blonde et ferma les yeux à son
tour.
Fin.
Merci, Tip... :p Et gomen pour la minusculess et pointlessness clichéness de la chose...