When at night they start creeping
J'ai toujours l'impression de manger beaucoup trop, ça me fait honte, mais les gens me font souvent la remarque que je mange très peu. Pourtant ça se voit pas sur mon corps. Je ne sais qu'en penser.
Aussi, j'avais l'impression d'être un peu conne avant de me mettre aux sciences sociales, mais je viens de relire un post où je parle de l'appréhension que j'ai de mon genre et en fait j'étais pas complètement noob sur ces questions. C'est étrange. XD
(je déteste me rendre compte de la déformation que j'applique à ma propre personne, parce que ça remet en cause toutes mes prétentions à l'objectivité dans tous les domaines.)(à part ça je suis quand même persuadée d'être laaargement plus objective que la moyenne des humains.)
Quand je veux quelque chose, je l'ai. Ça peut être rapide ou ça peut prendre du temps, mais je finis toujours par l'obtenir (en fait je soupçonne plutôt de ne garder en tête que les exemples qui viennent renforcer cette idée. XD). Non mais ça marche pas trop mal, quand même. CEPENDANT. La plupart du temps, quand je suis devant ce que j'ai cherché à obtenir, que je n'ai plus qu'à tendre la main pour le cueillir, à produire l'effort final qui me permettrait à coup sûr de réussir enfin... nan, j'ai plus envie.
Alors quand ça ne concerne que moi, bon, c'est mon problème, tant pis pour ma gueule. Mais quand ça implique d'autres personnes, c'est irresponsable, non ? Quand je recherche la compagnie de quelqu'un et que subitement je décide que j'en veux plus ?
Je m'éclatais bien en japonais en fait. En sciences aussi, au lycée (SVT, maths, physique). Y a des moments où le lycée me paraît super proche, ces temps-ci. C'est troublant. En même temps le CE1 me paraît proche aussi. x) (souvenirs : C'EST UNE MAUVAISE CHOSE. OUT.)
Il faudrait aussi que j'arrête de laisser le passé me faire du mal, et les regrets. J'ai longtemps dit que j'avais pas de regrets, et je comprenais pas pourquoi depuis deux ans ils étaient si nombreux à m'assaillir ; en fait, tous les "j'aurais aimé...", "je devais et puis..." sont des regrets. Je me dis toujours que si ça me tient tant que ça à cœur, je n'ai qu'à tout mettre en œuvre pour concrétiser ces idées. Mais je peux pas tout faire en même temps. Alors il faut que je me calme, que je respire, que je fasse ces choses les unes après les autres et que je profite de celle que je suis en train de faire quand je suis en train de la faire, au lieu de penser à celle d'après (mais celle d'après ne viendra peut-être pas, y penser c'est en quelque sorte lui donner la vie, alors...).
J'ai envie de pleurer, et des fois je suis contente. J'en ai marre de me sentir si seule alors que je suis si bien entourée. :(
"DOWN DOWN YOU WILL DROWN DROWN DEEPER DOWN
THE RIVER WILD WILL TAKE YOUR ONLY CHILD"
(tout. J'ai l'impression que chaque minute passée appartient à une autre vie.)
Aussi, j'avais l'impression d'être un peu conne avant de me mettre aux sciences sociales, mais je viens de relire un post où je parle de l'appréhension que j'ai de mon genre et en fait j'étais pas complètement noob sur ces questions. C'est étrange. XD
(je déteste me rendre compte de la déformation que j'applique à ma propre personne, parce que ça remet en cause toutes mes prétentions à l'objectivité dans tous les domaines.)(à part ça je suis quand même persuadée d'être laaargement plus objective que la moyenne des humains.)
Quand je veux quelque chose, je l'ai. Ça peut être rapide ou ça peut prendre du temps, mais je finis toujours par l'obtenir (en fait je soupçonne plutôt de ne garder en tête que les exemples qui viennent renforcer cette idée. XD). Non mais ça marche pas trop mal, quand même. CEPENDANT. La plupart du temps, quand je suis devant ce que j'ai cherché à obtenir, que je n'ai plus qu'à tendre la main pour le cueillir, à produire l'effort final qui me permettrait à coup sûr de réussir enfin... nan, j'ai plus envie.
Alors quand ça ne concerne que moi, bon, c'est mon problème, tant pis pour ma gueule. Mais quand ça implique d'autres personnes, c'est irresponsable, non ? Quand je recherche la compagnie de quelqu'un et que subitement je décide que j'en veux plus ?
Je m'éclatais bien en japonais en fait. En sciences aussi, au lycée (SVT, maths, physique). Y a des moments où le lycée me paraît super proche, ces temps-ci. C'est troublant. En même temps le CE1 me paraît proche aussi. x) (souvenirs : C'EST UNE MAUVAISE CHOSE. OUT.)
Il faudrait aussi que j'arrête de laisser le passé me faire du mal, et les regrets. J'ai longtemps dit que j'avais pas de regrets, et je comprenais pas pourquoi depuis deux ans ils étaient si nombreux à m'assaillir ; en fait, tous les "j'aurais aimé...", "je devais et puis..." sont des regrets. Je me dis toujours que si ça me tient tant que ça à cœur, je n'ai qu'à tout mettre en œuvre pour concrétiser ces idées. Mais je peux pas tout faire en même temps. Alors il faut que je me calme, que je respire, que je fasse ces choses les unes après les autres et que je profite de celle que je suis en train de faire quand je suis en train de la faire, au lieu de penser à celle d'après (mais celle d'après ne viendra peut-être pas, y penser c'est en quelque sorte lui donner la vie, alors...).
J'ai envie de pleurer, et des fois je suis contente. J'en ai marre de me sentir si seule alors que je suis si bien entourée. :(
"DOWN DOWN YOU WILL DROWN DROWN DEEPER DOWN
THE RIVER WILD WILL TAKE YOUR ONLY CHILD"
(tout. J'ai l'impression que chaque minute passée appartient à une autre vie.)