Lindsay and Cindy French Kiss

Jan 07, 2009 22:23



This is a WMC Fan Fiction written in French.  I wrote it for demeter94 and she suggested I post it on my journal and since, when it comes to fan fiction, I do everything she tells me, I’m posting it. Of course I would not jump off a bridge if she told me to. Unless that bridge was the Golden Gate because…well a little trip to San Francisco, I might reconsider. I promised her a couple more, so a couple more will be coming in the next few weeks. To anyone who might want to brush up on their French I say a little WMC action and a little L/C action is one way to do it.

I’ve also received some nice words of encouragement from a few people regarding a Jill/Cindy mini-series I’ve wanted to write since…forever.  So I’ll be starting that soon, too.  But my mind can’t stray too far from the Inspector/Redhead combo so there is something along the epic scale around the corner.  The people who gave positive feedback on my first couple of fics might be regretting it right about now. Heh!  To them I say, “Too late! The genie is out of the bottle.”  ;)

About the story

Title: Détresse
Pairing: L/C
Summary: Can Lindsay get to Cindy in time
Disclaimer: The Women’s Murder Club is the property of James Patterson. I’ve just been using it these past couple of weeks to do little experiments.

A/N:   If you're going to read, you should suspend reality and logic as no technical research was involved in the writing of this ficlet.



Détresse

L’automobile du suspect s’immobilisa enfin lorsque deux voitures de patrouille s’arrêtèrent et formèrent une barricade à l’issue de la ruelle. En vain, le suspect tenta de reculer mais un autre patrouilleur ainsi que le SUV de l’inspecteure Lindsay Boxer lui bloquaient déjà l’autre sortie.

Un des officiers ordonna le suspect hors de sa voiture à l’aide de son haut-parleur.

« Sorts tranquillement les mains en l’air!   T’es cerné, Matthews. Tu ne peux pas t’échapper. »

Après quelques minutes la portière du chauffeur s’ouvrit. Matthews sortit doucement de sa voiture, les mains devants, il resta cependant derrière la portière de son véhicule.

« Éloigne-toi lentement de ton auto! » Ordonna de nouveau Officier Torres.

Matthews sembla acquiescer mais soudainement il étira son bras à l’intérieur du véhicule et en retira le revolver qui reposait sur le tableau de bord. Immédiatement des coups de feu se firent entendre. Inspecteure Boxer qui avait commencé à s’approcher de Matthews,  se mit à l’abri. Lorsque la fusillade se termina enfin, Lindsay s’approcha de Matthews qui reposait sur le sol. À la vue du sang qui semblait gicler du corps, un sentiment de panique s’empara d’elle.

« Non! Non, non dites moi qu’il n’est pas mort! »

L’inspecteure s’accroupi près du corps pour tâter le pouls de Matthews.  Elle poussa un grand souffle, se releva et s’avança vers les deux officiers.

« Pourquoi n’avez-vous pas visé son bras ou son épaule? Vous n aviez pas d’affaire à le tuer! Vous êtes vraiment des idiots d’incompétents!! »

Les deux officiers se regardèrent et restèrent muets. Totalement surpris ils n’arrivèrent pas à comprendre. Un dangereux suspect qui avait tenté de les tuer, était mort, aucun civil n’avait été blessé et pourtant, l’inspecteure Boxer semblait vouloir les blâmer.

« Avez-vous idée de ce que vous venez de faire!! » Lindsay Boxer n’avait jamais méprisé quelqu’un autant qu’elle méprisait les deux hommes devant elle.

Après avoir appelé des renforts Warren Jacobi, arriva auprès son amie et équipière. Il tenta de la calmer et de détourner son attention des deux pauvres policiers.

« Okay, Boxer calme-toi! Ça serre à rien d’attaquer Officier Torres et Officier Powell. Ce qui est fait est fait »

« Quoi!? Jacobi tu te rends compte? Ces deux imbéciles ont tué la seule personne qui aurait pu nous dire où se trouve Cindy!? »

****

De retour au poste, assise dans le bureau de son supérieur, son ex-mari, Lindsay attendait la réprimande que celui-ci s’apprêtait à lui faire.

« Linz, tu peux pas attaquer des collègues comme ça. Surtout pas en public. Je vais essayer de les en empêcher mais j’peux pas garantir qu’ils porteront pas plainte contre toi. »

« Je m’en fou, Tom! Laisse-les porter plainte. J’ai vraiment autre chose de plus importante à faire. À propos, je devrais être en train de la faire justement. Alors si tu veux bien m’excuser.. »

«  Linz, on a pas terminé … »

« J’pense que oui, on a terminé. » Répliqua-t-elle d’un ton de voix plus haut que celui avec lequel on doit normalement s’adresser à un supérieure « Avec ce que les deux pseudos policiers on fait…j’ai pas de temps à perdre…Tom et… »

« Je sais que t’es inquiète pour Cindy mais je te jure qu’on fait tout ce qu’on peut pour la retrouver. »

« Inquiète? Ce n’est vraiment pas le mot, Tom. Comment te sentirais-tu si c’était Heather qui avait disparu et que la seule personne qui savait où elle se trouve, était morte? »

Tom Hogan n’avait pas de réponse à donner à son ex-femme. Il savait fort bien que si les rôles étaient inversés, il ferait la même chose. Il se dirigea alors vers la porte et l’ouvrit offrant ainsi son soutient et celui du département à l’inspecteure.

« Nous allons la retrouver, Lindsay je te le promets. »

****

Au bas de l’escalier ses deux meilleures amies l’attendaient. Jill Bernhardt, du bureau du procureur, avait entre les mains une chemise et l’autre, Claire Washburn, médecin légiste, lui tendit un café. Les trois amies se dirigèrent vers le bureau de Lindsay. L’avocate parla la première.

« Lindsay, je crois avoir trouvé quelque chose. » Jill ouvrit la chemise et expliqua son contenu, «  Matthews avait hérité d’une ferme. En fouillant les archives publiques j’ai trouvé le certificat de localisation et l’adresse. »

Avec cette nouvelle, Jill venait de donner à Lindsay une lueur d’espoir. Elle pouvait maintenant croire qu’ils allaient retrouver Cindy, son amour, saine et sauve.

« Linz? » Claire intervint à son tour, «  Les techniciens ont trouvé des cheveux  dans la voiture de Matthews. Positif. Ils appartenaient à Cindy. Et heureusement ils n’ont trouvé aucune trace de sang. »

Lindsay poussa un soupir de soulagement. Elle savait maintenant ce qu’il restait à faire. Pourvu qu’il ne soit pas trop tard.

« Qu’est-ce que nous attendons? Allons-y! »

****

Après être arrivés sur les lieux, une escouade sécurisa les environs. Boxer et Jacobi approchèrent la porte d’entrer avec leurs armes respectives dégainées. Tranquillement ils avancèrent dans la vielle maison.

« Cindy!? »

« Thomas!? »

« Lindsay? Je suis ici. Dans le salon »

Les deux inspecteurs suivirent le son de la voix de Cindy Thomas. Lindsay devant, contourna le coin de la pièce et aperçu la jeune journaliste. Son soulagement fut très bref.

Cindy était assise sur une chaise de cuisine au beau milieu de la pièce. Des fils de toutes les couleurs entouraient les pattes de la chaise et les jambes de la jeune femme. Les fils étaient reliés à un cadran compteur à rebours. Celui-ci était façonné à du plastic explosif et des bâtons de dynamite.

« Oh mon Dieu! » Lindsay s’exclama.

Jacobi rebroussa immédiatement chemin pour aller alerter le reste de l’escouade de la nouvelle situation.

Voyant la détresse dans le visage de Cindy, Lindsay essaya de reprendre contrôle sur elle-même.

« Ça va? Es-tu blessée? »

« J’ai le derrière en compote mais à part ça, ça va. »

C’était évident que ça n’allait pas.

« Lindsay, il reste combien de temps au compteur? »

« T’as besoin de savoir ça. Jacobi est parti chercher de l’aide. Nous allons te sortir de la ça ne sera pas long. »

« Linz? Je t’en prie. »

« 26 minutes 34 secondes »

«  Il faut que tu sortes d’ici, Lindsay. Vite! Éloignes-toi de la maison »

Lindsay rangea son arme et avança vers la rouquine. Elle approcha une autre chaise et s’assit devant elle.

«Nous allons sortir d’ici ensemble, c’est compris? »

« Je suis désolée de m’être encore mise dans le pétrin. »

« Pour une fois Thomas,  je pense pas que ce soit de ta faute. » Lindsay sourit légèrement.

« S’il te plait, Lindsay sorts. »

« Non, je reste avec toi. »

Un expert en explosif arriva enfin pour désarmer et désamorcer la bombe.

« Inspecteure  je vous prie de sortir et de me laisser faire mon travail. »

« Bonne chance, » Cindy lui répondit.

« Je vais vous laisser la place mais je ne sortirai pas. »

Lindsay s’éloigna un peu mais pas assez pour lâcher la main de Cindy. L’expert étudia    la bombe et émit des sons non rassurants. Lindsay et Cindy retinrent leur respiration. L’agent coupa un fil puis un autre. Le cadran s’arrêta à 12 minutes 22 secondes. Les trois personnes poussèrent des cris de joie et de soulagement. Au moment où Lindsay vint pour libérer Cindy de la chaise, le cadran repris le décompte.

« Ok! Inspecteure nous devons partir. C’est le protocole »

« Non! » Lindsay éleva la voix. « Vous! Sortez! Je ne la laisserai pas ici! Go! Allez-vous en! »

L’agent secoua la tête et se dirigeant vers la sortie.

« Lindsay, je t’en supplie. Sauve-toi » Cindy ne pouvait plus retenir ses larmes et ses sanglots

Lindsay retrouva son siège devant Cindy et pris les mains de la jeune femme dans les siennes.

« Cindy, crois-tu vraiment que je puisse survivre sans toi à l’extérieure? Je t’ai dis que nous allions sortir d’ici ensemble, d’une manière ou d’une autre. »

« Je t’aime tellement Lindsay Boxer »

« Je t’aime encore plus Cindy Thomas »

Lindsay jeta un coup d’œil au compteur. Il restait moins d’une minute. Elle approcha ses lèvres de celles de Cindy et embrassa la jeune journaliste comme si c’était la dernière fois.

Lorsqu’elles rompirent le baiser, Lindsay jeta un autre coup d’œil au compteur. Il affichait 0 :00. Il avait réussit. L’agent avait désamorcé la bombe. Lindsay et Cindy s’embrassèrent de nouveau mais cette fois-ci avec l’intensité et la frénésie d’une première fois.

Fin

lindsay/cindy, women's murder club, french fanfic

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