Pénultième (normalement) post pour ce mème, vu chez
flojiro,
marryblack et
andersandrew Step 1: Write down the names of 10 characters.
Etape 1 : Ecrivez les noms de 10 personnages.
Step 2: Write a fic of [at least] twenty five words for every prompt, using the characters determined by the numbers. DO NOT read the prompts before you do step 1.
Etape 2 : Ecrivez une fic de (minimum) 25 mots pour chaque prompt, en utilisant les personnages déterminés par les numéros. Ne lisez pas les prompts avant de nommer les personnages !
1. Private
2. Kitka
3. Kowalski
4. Savio
5. Hans
6. Rico
7. Clemson
8. Skipper
9. Maurice
10. Julien
1: First time 4&6 :
Savio + Rico (100 mots)2: Angst 7 :
Clemson (Savio/Clemson)3: AU 1&8 :
Private + Skipper, amour paternel4: Threesome 3,6&9 :
Kowalski/Rico + Maurice5: Hurt/Comfort 5&10 :
Hans & Julien6: Crack 1 :
Private7: Horror 10 :
Julien8: Baby Fic 5&9 :
Hans et Maurice9: Dark 2&8 :
Skipper/Kitka10: Romance 4&7 :
Savio/Clemson11: Death Fic 2&3
Kitka et Kowalski12: AU 8&9
Skipper et Maurice13: Dark 4&3
14: Threesome 5,7,&1
Hans/Clemson et Private (~1 000 mots)15: Amnesia 2&10
16: Hurt/Comfort 8&5
17: Crack 9&4
18: Genderswap 1&6
19: First Time 2&7
20: Angst 3&8
21: Babyfic 1
Fandom : The penguins of Madagascar, UA humanisé
Rating : G à R
(une édition plus dark et moins crack aujourd'hui...)
Kowalski et Savio - ~200 mots - R
13: Dark 4&3 = Savio & Kowalski
Le retour de la revanche de la deuxième personne du singulier...
Analyse de la situation : potentiellement létale.
Adversaire agenouillé sur tes cuisses. Poids conséquent. Considère la moitié inférieure de ton corps hors-jeu. Il te restes tes bras libres et quelques secondes avant de perdre connaissances.
Pas -plus- d'arme à porté de main sur toi. Sur ton adversaire ? Négatif.
Sonde autour de toi. Sable ? Autre type de matériau granulaire ? Négatif, sol en goudron. Objet potentiellement tranchant et/ou contondant ? Négatif. Un papier gras. Inutile.
Tu es grand et tes bras sont longs. Tu peux peut-être atteindre son cou et presser son sinus carotidien pour tenter de lui faire perdre connaissance. Négatif, il est bien plus grand que toi encore.
Effet des coups et griffures sur ses bras ? Inefficace. Il semble même aimer ça...
En agrippant fermement son bras au dessus de son coude et en appliquant un puissant coup de poing quelques centimètres en dessous tu peux tenter de le déboiter. Négatif : force insuffisante et angle inapproprié.
Sentant ses réserves d'oxygène et d'options s'épuiser, Kowalski ferma les yeux et laissa ses mains retomber à ses cotés.
Avant de perdre connaissance, la seule chose à laquelle il pensa fut au nombre de neurones qu'il était en train de perdre.
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Julien et Kitka - ~ 480 mots - R
15: Amnesia 2&10 = Kitka & Julien
- She's a killeeeeeeeer queeeeeen ! Gunpowder, Gelatine ! Dynamite with a laser beam ! Guaranteed to blow your mind ! chantait Julien en caressant comme un gros chat les cheveux de la femme dont la tête était posé sur ses genoux.
Sa voix devait avoir des propriété magique, ou peut-être qu'il était juste particulièrement faux, car elle ouvrit les yeux. Puis, avec une expression paniquée, elle se recula contre la portière et tenta de l'ouvrir. Elle était heureusement verrouillé, sans quoi elle serait tombée sur la route.
- Hey, cool, miss. C'est moi, Julien, on est potes...
Réalisant qu'elle était nue, elle attira à elle le lourd manteau de fourrure qui couvrait un peu plus tôt son corps couvert ecchymoses et lança un regard circulaire autour d'elle.
- Où on est ?
- Dans ma voiture.
- Je... je vois ça … je veux dire...
- On est sur Webster Avenue, précisa Maurice, au volant. On se dirige vers Manhattan.
- Attendez... Manhattan ? New-York ? On est aux États-Unis ?
- Non, répondit très sérieusement Julien. On est en France. Je t'amène manger des crêpes sur la Touréféle.
Elle lui lança un regard traqué.
- New-York est en France ?
- Heu... Non, il plaisante, corrigea Maurice. Vous allez bien, Miss Kitka ?
Kitka se prit la tête entre les mains sans répondre.
- Qu'est-ce que je fais là ? Qu'est-ce qu'il s'est passé ?
- J'ai entendu dire que des potes à des potes de contacts à moi avaient vu une mercos balancer une nenette à poil dans une poubelle du Bronx. J'ai demandé si j'pouvais avoir une photo, comme ça, pour voir, et je me suis dis heeeeeey, elle me dit quelque chose celle-là ! Comme tu m'as sauvé ma vie une fois, quand tes amigo m'ont kidnappé, je me suis dis que je serais pas correct de te laisser canner dans la rue, donc... ta-dah, sauvage de life ! Si ça peut te rassurer personne était en train de te violer quand on est arrivé. Bon, après je sais pas si ça veut dire que personne avait commencé ou que tout le monde avait déjà fini... C'est pas très important, le plus important c'est : j'ai sauvé ta vie ! Tu peux me remercier comme tu veux, où tu veux, quand tu veux, dans n'importe quel position…
Elle ne dit rien, essaya juste une nouvelle fois d'ouvrir la portière.
- Miss Kitka... répéta Maurice sur un ton préoccupé en jetant un coup d'œil dans le rétroviseur. Vous allez bien ?
- Pourquoi est-ce que vous m'appelez comme ça ?
- C'est... votre nom, non ? Ça ne vous dis rien ?
- Non...
- Et "Skipper", ça t'dis ? demanda Julien.
- Skipper ? Non... C'est quoi ?
- Ohohoh "c'est quoi ?", whooooooo, violent !
- C'est qui ? tenta Kitka.
- C'est quelqu'un qui va être super-furax quand je vais l'appeler, dit Julien en sortant son téléphone. Et qui va sauvagement botter le cul des gars qui t'ont fait ça...
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après j'étais lancée, donc j'ai fais une suite qui sert à rien :
- Yo, psycho en chef ! Tu devineras jamais quoi !
- Je déteste les devinettes, accouche ou je raccroche.
- J'ai trouvé un truc à toi à poil dans une poubelle !
- Un... truc à moi ? A poil ? Dans une poubelle ?
- Ouais, enfin je pense pas qu'elle dirait qu'elle est un truc à toi, mais...
Skipper pâlit.
- Où est Marlene ? lança-t-il, hors du combiné.
Kowalski se rua sur un écran de contrôle et vérifia rapidement plusieurs canaux.
- Marlene est sur sa terrasse en train de jouer de la guitare.
La main de Skipper se crispa autours du téléphone. En "elle" un peu à lui et susceptible d'être retrouvée nue dans une poubelle, il restait...
- Non... Kitka ?
- Bingo ! Tu vois que t'es doué en devinettes !
- Elle est... demanda Skipper d'une voix blanche, sans pouvoir finir sa question.
- Nan nan, elle est vivante, attends, tu déconnes, si elle était cannée j'te l'aurais pas annoncé moi même, j'aurais envoyé Maurice, et Mort pour que tu puisse te défouler. Me remercie pas, les amigo c'est fait pour ça...
- Elle peut parler ?
- Ouaip, parler, ça elle peut, mais bon...
- Passe-la moi.
- Ben, c'est à dire que...
- Tu me la passe immédiatement ou la prochaine fois que je te croise c'est avec ta peau que je me fais un manteau !
Julien lança le téléphone à Kitka qui le rattrapa maladroitement.
- Kitka ! Qu'est-ce qu'y s'est passé ? Je veux des noms, une adresse, immédiatement !
- Qui êtes vous ? répondit Kitka.
Un court silence pesa.
- C'est moi... Skipper...
- Je... je suis désolée... Je...
(bref, tout ça pour dire que je ne sais pas qui a fait ça ou pourquoi, mais ce que je sais c'est que les responsables vont souffrir. Beaucoup.)
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Hans/Skipper - ~390 mots - PG-13
16: Hurt/Comfort 8&5 = Skipper & Hans Yes ! YES !
Bon, puisque ce matin je disais à
andersandrew que Hans était trop une drama queen... - non, mais c'est canon en plus, il se met à pleurer à la fin de Huffin & Puffin (après s'être éclaircit la gorge XD)
- Aucun fair-play ! pesta Hans en serrant son bras ensanglanté. Je suis déçu, mais déçu !
- Désolé, Hans, je n'ai plus le temps ni l'envie d'être fair-play avec toi, répliqua Skipper, doigt toujours sur la détente, prêt à tirer une seconde fois - et se demandant comment diable il avait fait pour viser aussi mal la première...
Hans détourna le regard et baissa la voix :
- Comme si tu en avais déjà vraiment eu l'envie...
- Inutile de commencer, Hans, tu sais très bien que ça ne prend pas...
Il fit quelques pas trainant pour aller s'assoir sur une caisse, les épaules voutée.
- Bien, dit Skipper en s'approchant doucement en sortant d'une main une paire de menotte. Pas de gestes brusques. Jète tes armes à tes pieds...
Hans se contenta d'essuyer ses joues en reniflant.
- Et... heu... bon, c'est pas la peine de pleurer, hein ! Si tu voulais pas retourner à Hoboken t'avais qu'à...
- Comme si c'était Hoboken qui... Tu ne comprends vraiment rien... Tu ne m'as jamais compris, d'ailleurs... Toute notre relation n'a toujours été qu'un énorme et pathétique malentendu...
- Hans... commença doucement Skipper, d'une voix gênée, sa garde baissée.
Hans lui planta un couteau dans la cuisse, puis, se levant, s'empara de son automatique, sépara le chargeur du reste de l'arme et les jeta dans deux directions opposées. Maintenant ils étaient à égalité.
- Franchement, Zkipper, je n'arrive pas à comprendre que ça marche encore à chaque fois ! rit-il à travers ses larmes en tirant un deuxième couteau. La première fois, au Danemark, admettons, il y avait beaucoup d'émotion dans l'air, mais à partir de la deuxième fois tu aurais pu commencer à te méfier, quand même...
Skipper arracha le couteau de sa cuisse, le changea de main, et se recula de quelques pas en boitillant, en position de combat.
Lui non plus n'arrivait pas à comprendre que ça marche à chaque fois - comme il n'arrivait pas à comprendre pourquoi, à chaque fois, Hans n'en profitait que pour lui infliger des blessures légères alors qu'il aurait pu sans problème atteindre le ventre. Et finalement, après toutes ces années, il n'arrivait toujours pas à comprendre non plus si Hans faisait vraiment semblant de pleurer pour l'attendrir ou s'il faisait semblant de faire semblant de pleurer pour cacher qu'il pleurait vraiment.
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Bonus : Kowalski/Rico, le reste de l'équipe - ~180 mots - G (oui, G, vous ne rêvez pas, après toute cette violence un peu de fluff ! - et je pense que je pourrais difficilement faire PLUS fluff avec Kowalski...)
En passant derrière lui, Kowalski fit glisser ses doigts sur la nuque de Rico, puis s'assit à coté de lui en baillant, se gratta la tête et se servit un café.
- J'ai rêvé que j'étais un nanobot et que j'essayais d'atteindre ton cerveau pour rétablir tes fonctions cognitives, mais en chemin, dans tes vaisseaux sanguins, je suis tombé sur un barrage de nano-dauphins-mécaniques-tueurs qui essayaient de m'abattre avec des rayons laser. J'étais sur le point de leur échapper quand je me suis réveillé... Je me demande comment je dois l'interpréter... d'un point de vu psychologique, je veux dire... J'ai probablement une envie inconsciente de reprendre mes recherches sur la neurologie que j'avais interrompues pour me consacrer à mes travaux sur les lasers ultra-violets...
- Comme tes rêves bio-technologiques sont passionnants, Kowalski, ironisa Skipper sans lever le nez du New-York Times.
Private, qui, bien qu'il n'ait ni l'intelligence ni les connaissances théoriques du scientifique, se révélait parfois instinctivement bien plus doué que lui en tout ce qui était interprétation psychologique, dit juste, en cachant son sourire derrière sa tasse de thé :
- C'est mignon...