o_0 ... Oh... O... MFG... YEEEEEEEEEAAAAHHH !
Hier soir, je vous ai livré ce lien que revoici, vers une petite merveille propre à ravir tout fan de "De cape et de crocs"...
ylg et moi-même avons relevé et kyaté sur le "Je ne vous hais point trop..." de la formidable scène X, qui semble un merveilleux cadeau fait par Ayroles à toutes celles (et tous ceux ?) qui shippent le Armand/Lope...
Mais j'en avais laissé passer un... Un merveilleux... Un don du dieu des fangirls...
Que voulez-vous, il y a tant et tant de jeux de mots dans ces quelques scènes, que j'en ai forcément laissé échapper quelques uns... Mais pourquoi diable a-t-il fallut que ce soit justement celui là !
Remarquez, il ne m'a pas totalement échappé, j'avais du l'enregistrer inconsciemment, puisqu'il y a quelques heures, au boulot, alors que je nettoyais le présentoir à entrées du self de l'hôpital (l'avantage de ces travaux manuels et automatiques, c'est qu'ils laissent le cerveau libre, et rien ne vous empêche de philosopher ou fangirliser en les pratiquant...), une réplique d'Armand m'est revenue... Je me suis demandé pourquoi... Je l'ai fais rouler un peu dans ma tête, moitié pour comprendre ce qui m'avait fais la retenir, moitié par pur plaisir...
Et puis le tilt.
J'ai laissé échapper un gloussement bizarre (heureusement, il n'y avait plus grand monde dans le self) et, pour être sûre, j'ai interviewer la moitié de mes collègues de travail sur la biographies d'auteurs qu'ils ne connaissait pas, ou que de noms, et qui on du me prendre pour une folle achevée (mais bon, je bosse bien, donc ils m'aiment bien...)
A peine rentré chez moi, je me rue sur l'encyclopédie, puis sur l'ordinateur une fois qu'il est libre, pour être sûre, pour vérifier qu'il ne s'agissait pas d'une illusion de mon imagination fangirlisante...
Re-gloussement.
Mais je vous ai assez fais marner, mes amis... Cette réplique, la voici, ne vous moquez pas trop de moi si vous, vous l'aviez vu du premier coup, je suis un peu lente... elle est d'Armand,qui vient de se mettre à pleurer sur l'absurdité de la guerre, toujours dans cette fort riche scène X :
"Dans le civil,
Vous, vous seriez moins teigne, et moi… La Boétie !"
Ah...
C'est y pas beau ça...
je vous laisse le temps de connecter les fils, si vous êtes aussi lents que moi...
...
éventuellement, d'aller vérifier quelques éléments biographiques, si comme moi vous n'êtes pas sûr de votre culture...
... parce que c’était lui ; parce que c’était moi.
MWAHAHAHAHAHAHA !
"Vous seriez moins teigne, et moi La Boétie" !!!!
Mais c'est comme s'il avait dit "Vous seriez Robert Ross, et moi Oscar Wilde " !! (dans ma tête, du moins ^^;; )
bien sûr, les rabat-joie me diront que ce n'est rien de plus qu'une confirmation de leur indéfectible amitié, mais ce ne sont que des rabat joie...
ylg et moi-même avons relevé et kyaté sur le "Je ne vous hais point trop..." de la formidable scène X, qui semble un merveilleux cadeau fait par Ayroles à toutes celles (et tous ceux ?) qui shippent le Armand/Lope...
Mais j'en avais laissé passer un... Un merveilleux... Un don du dieu des fangirls...
Que voulez-vous, il y a tant et tant de jeux de mots dans ces quelques scènes, que j'en ai forcément laissé échapper quelques uns... Mais pourquoi diable a-t-il fallut que ce soit justement celui là !
Remarquez, il ne m'a pas totalement échappé, j'avais du l'enregistrer inconsciemment, puisqu'il y a quelques heures, au boulot, alors que je nettoyais le présentoir à entrées du self de l'hôpital (l'avantage de ces travaux manuels et automatiques, c'est qu'ils laissent le cerveau libre, et rien ne vous empêche de philosopher ou fangirliser en les pratiquant...), une réplique d'Armand m'est revenue... Je me suis demandé pourquoi... Je l'ai fais rouler un peu dans ma tête, moitié pour comprendre ce qui m'avait fais la retenir, moitié par pur plaisir...
Et puis le tilt.
J'ai laissé échapper un gloussement bizarre (heureusement, il n'y avait plus grand monde dans le self) et, pour être sûre, j'ai interviewer la moitié de mes collègues de travail sur la biographies d'auteurs qu'ils ne connaissait pas, ou que de noms, et qui on du me prendre pour une folle achevée (mais bon, je bosse bien, donc ils m'aiment bien...)
A peine rentré chez moi, je me rue sur l'encyclopédie, puis sur l'ordinateur une fois qu'il est libre, pour être sûre, pour vérifier qu'il ne s'agissait pas d'une illusion de mon imagination fangirlisante...
Re-gloussement.
Mais je vous ai assez fais marner, mes amis... Cette réplique, la voici, ne vous moquez pas trop de moi si vous, vous l'aviez vu du premier coup, je suis un peu lente... elle est d'Armand,qui vient de se mettre à pleurer sur l'absurdité de la guerre, toujours dans cette fort riche scène X :
"Dans le civil,
Vous, vous seriez moins teigne, et moi… La Boétie !"
Ah...
C'est y pas beau ça...
je vous laisse le temps de connecter les fils, si vous êtes aussi lents que moi...
...
éventuellement, d'aller vérifier quelques éléments biographiques, si comme moi vous n'êtes pas sûr de votre culture...
... parce que c’était lui ; parce que c’était moi.
MWAHAHAHAHAHAHA !
"Vous seriez moins teigne, et moi La Boétie" !!!!
Mais c'est comme s'il avait dit "Vous seriez Robert Ross, et moi Oscar Wilde " !! (dans ma tête, du moins ^^;; )
bien sûr, les rabat-joie me diront que ce n'est rien de plus qu'une confirmation de leur indéfectible amitié, mais ce ne sont que des rabat joie...