Laissé au petit matin sur la table de chevetreguluspectrusSeptember 24 2011, 07:53:32 UTC
Tu ne peux pas imaginer comme j'aime te regarder dormir... D'une certaine manière, heureusement que je ne peux pas te toucher, je ne sais pas si je réussirais à m'en empêcher. Mais cela finit par devenir une torture : je descends.
La toute nouvelle toute puissance de ma volonté devrait réussir à faire en sorte qu'un petit-déjeuner t'attende quand tu te réveilleras. La vraie question reste de savoir si elle sera vraiment assez toute puissante pour te garder au lit ensuite.
Si tu savais comme je t'aime, tu te dépêcherais de t'enfuir, mon amour...
Après avoir longuement tripoté sa tasse, pensif.severus_papotusSeptember 26 2011, 14:22:10 UTC
Que je te fasse du mal - que je nous fasse du mal - à force de te vouloir un peu trop à moi sans trouver de résistance de ta part. Et parfois, cela me semble pouvoir être redoutablement facile.
Toujours depuis le rez-de-chaussée parce qu'il y a des choses plus faciles à écrire loin du regard de l'autre qu'à dire en lui faisant face
Dire que je suis supposé être celui qui se retourne la cervelle à coups de doutes et de questions sans réponse...
Si c'est de moi qu'il s'agit, tu ne pourras, au contraire, jamais me faire plus mal qu'en me laissant penser que tu ne veux plus de moi. Le reste ne sera jamais que broutilles faciles à guérir et je n'ai pas peur de souffrir un peu si c'est le prix à payer pour me sentir vivant. Et aimé. Mais en ce qui te concerne dans ce nous que tu ajoutes... Que redoutes-tu au fond ? L'aliénation ? D'éventuelles "responsabilités" à mon endroit -aussi ubuesque puisse être cette idée- ? La perte de ton indépendance
( ... )
La toute nouvelle toute puissance de ma volonté devrait réussir à faire en sorte qu'un petit-déjeuner t'attende quand tu te réveilleras. La vraie question reste de savoir si elle sera vraiment assez toute puissante pour te garder au lit ensuite.
Si tu savais comme je t'aime, tu te dépêcherais de t'enfuir, mon amour...
R.
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Redoute plus de me voir en abuser que chercher à m'enfuir.
Ce café sent divinement bon - il risque de ne pas tarder à m'arracher au lit...
S.
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Trop tard. Il n'attendait que toi.
R.
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Que je te fasse du mal - que je nous fasse du mal - à force de te vouloir un peu trop à moi sans trouver de résistance de ta part. Et parfois, cela me semble pouvoir être redoutablement facile.
S.
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Dire que je suis supposé être celui qui se retourne la cervelle à coups de doutes et de questions sans réponse...
Si c'est de moi qu'il s'agit, tu ne pourras, au contraire, jamais me faire plus mal qu'en me laissant penser que tu ne veux plus de moi. Le reste ne sera jamais que broutilles faciles à guérir et je n'ai pas peur de souffrir un peu si c'est le prix à payer pour me sentir vivant. Et aimé.
Mais en ce qui te concerne dans ce nous que tu ajoutes... Que redoutes-tu au fond ? L'aliénation ? D'éventuelles "responsabilités" à mon endroit -aussi ubuesque puisse être cette idée- ? La perte de ton indépendance ( ... )
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