Les marguerites
Titre: Les marguerites
Base: Mythologie grecque
Personnage(s)/couple(s): Hermès/Apollon
Rating: PG
Warning: Un léger sous-entendu à connotation sexuelle mais ça ne se voit pas tant que ça… je pense…
Genre: Humour
Cette fois-ci, Apollon était excédé. Qu’Hermès lui joue des tours de temps à autre, certes, ça changeait du quotidien, des troupeaux de brebis et de la lyre… mais là, c’était devenu beaucoup trop régulier.
Tous les jours, oui, TOUS les jours, Hermès lui volait un objet qu’il se voyait obligé de lui racheter pour des sommes ridicules. La dernière fois, il avait du inventer un poème sur la chute des feuilles afin de récupérer son peigne… était-ce là une ironie subtile pour lui signifier qu’il avait trouvé des cheveux blonds dessus et considérait qu’il était en train de devenir chauve ? Connaissant l’esprit de son jeune frère, ça ne faisait pas de pli… mais il était Apollon tout de même ! Il ne deviendrait jamais chauve de toutes façons !
Ce petit dieu de pacotille ne déméritait pas son appellation de « dieu des voleurs » vu qu’il était lui-même cleptomane… la seule chose qui restait un mystère au dieu des arts, c’était pourquoi ses affaires à LUI en particulier ?
Il ne pouvait pas aller embêter quelqu’un d’autre ?
Artémis ? Aphrodite ? Poséidon ?
Non, vraiment pas, vu la raclée qu’il se prendrait en retour… si c’est toujours à Apollon que ça arrivait, c’est uniquement parce qu’il était trop coulant. Voilà, c’était l’explication ! Une fois pour toutes, il devrait se montrer ferme et là, Hermès serait bien obligé d’aller ennuyer quelque autre âme que lui.
« Alors ? J’attends… », minauda Hermès en faisant mine de dépiauter la couronne de laurier fraîchement dérobée à son aîné.
Apollon fit la moue.
Il n’avait aucune envie de s’exécuter, vraiment.
« Ooooh… ne viens pas me dire que ça te gêne quand même ? », ricana Hermès en posant le feuillage sur sa propre tête, les pieds clapotant dans l’eau de la fontaine sur laquelle il était assis.
Se montrer ferme, oui, c’était la clé.
« Hermès ! Rends-moi tout de suite ma couronne ou je… », commença le dieu à la lyre.
« Ou tu quoi ? », demanda avec amusement son cadet. « Tu vas me filer une fessée ? »
« C’est tout à fait envisageable ! », s’exclama Apollon en bombant le torse pour paraître plus imposant.
Pour tout effet, le jeune dieu éclata de rire et descendit de son perchoir pour se planter devant son frère, les mains sur les hanches et l’air narquois.
« Eh bien, vas-y, j’attends ! Ou il faut que je me déculotte moi-même pour t’aider ? », proposa t’il avec insolence en soulevant les bords de sa tunique.
Apollon eut un couinement fort peu viril et piqua un fard avant d’attraper les mains de son frère et l’empêcher d’en montrer plus.
« Non, non ! C’est bon, je vais le faire ton foutu collier de marguerites, pas la peine de te déshabiller, imbécile ! »
Pour la fermeté, il avait encore des leçons à prendre… promis, la prochaine fois, il demanderait des leçons à Athéna… mais là, il devait d’abord tenter de calmer la rougeur de ses joues… misère, il avait pourtant vu des choses bien plus gênantes que les cuisses nues de son frère durant son existence… et il avait butiné bien des marguerites, et d’autres boutons de roses pourtant… mais il ne pouvait pas s’en empêcher… l’idée de voir Hermès comme ça le rendait complètement stupide et lui faisait perdre tous ses moyens.
« Donc… des marguerites… il te faut une longueur précise pour ton collier ? », grommela le dieu à son cadet.
« Hum, suffisamment long pour la porter en ceinture ? »
« Alors ce n’est pas un collier mais une ceinture ! », s’exclama Apollon en grognant, se baissant pour débuter la cueillette des fleurs comme l’aurait fait une nymphe -ça se paierait un jour.
Et pendant qu’Hermès avait une vue imprenable sur les fesses de son aîné, il lâcha un petit rire.
« Oh… Allez Apollon, tu ne vas pas rechigner pour dix centimètres hein ? Il n’y a pas que la taille qui compte tu sais ! »
Apollon crut s’être pris l’équivalent d’un coup de massue dans le derrière… comment osait-il insinuer qu’il avait un problème de taille sous le niveau de la ceinture, c’était archi-faux !
« Je t’interdis… ! »
« Oui, oui… on sait. »
Base: Mythologie grecque
Personnage(s)/couple(s): Hermès/Apollon
Rating: PG
Warning: Un léger sous-entendu à connotation sexuelle mais ça ne se voit pas tant que ça… je pense…
Genre: Humour
Cette fois-ci, Apollon était excédé. Qu’Hermès lui joue des tours de temps à autre, certes, ça changeait du quotidien, des troupeaux de brebis et de la lyre… mais là, c’était devenu beaucoup trop régulier.
Tous les jours, oui, TOUS les jours, Hermès lui volait un objet qu’il se voyait obligé de lui racheter pour des sommes ridicules. La dernière fois, il avait du inventer un poème sur la chute des feuilles afin de récupérer son peigne… était-ce là une ironie subtile pour lui signifier qu’il avait trouvé des cheveux blonds dessus et considérait qu’il était en train de devenir chauve ? Connaissant l’esprit de son jeune frère, ça ne faisait pas de pli… mais il était Apollon tout de même ! Il ne deviendrait jamais chauve de toutes façons !
Ce petit dieu de pacotille ne déméritait pas son appellation de « dieu des voleurs » vu qu’il était lui-même cleptomane… la seule chose qui restait un mystère au dieu des arts, c’était pourquoi ses affaires à LUI en particulier ?
Il ne pouvait pas aller embêter quelqu’un d’autre ?
Artémis ? Aphrodite ? Poséidon ?
Non, vraiment pas, vu la raclée qu’il se prendrait en retour… si c’est toujours à Apollon que ça arrivait, c’est uniquement parce qu’il était trop coulant. Voilà, c’était l’explication ! Une fois pour toutes, il devrait se montrer ferme et là, Hermès serait bien obligé d’aller ennuyer quelque autre âme que lui.
« Alors ? J’attends… », minauda Hermès en faisant mine de dépiauter la couronne de laurier fraîchement dérobée à son aîné.
Apollon fit la moue.
Il n’avait aucune envie de s’exécuter, vraiment.
« Ooooh… ne viens pas me dire que ça te gêne quand même ? », ricana Hermès en posant le feuillage sur sa propre tête, les pieds clapotant dans l’eau de la fontaine sur laquelle il était assis.
Se montrer ferme, oui, c’était la clé.
« Hermès ! Rends-moi tout de suite ma couronne ou je… », commença le dieu à la lyre.
« Ou tu quoi ? », demanda avec amusement son cadet. « Tu vas me filer une fessée ? »
« C’est tout à fait envisageable ! », s’exclama Apollon en bombant le torse pour paraître plus imposant.
Pour tout effet, le jeune dieu éclata de rire et descendit de son perchoir pour se planter devant son frère, les mains sur les hanches et l’air narquois.
« Eh bien, vas-y, j’attends ! Ou il faut que je me déculotte moi-même pour t’aider ? », proposa t’il avec insolence en soulevant les bords de sa tunique.
Apollon eut un couinement fort peu viril et piqua un fard avant d’attraper les mains de son frère et l’empêcher d’en montrer plus.
« Non, non ! C’est bon, je vais le faire ton foutu collier de marguerites, pas la peine de te déshabiller, imbécile ! »
Pour la fermeté, il avait encore des leçons à prendre… promis, la prochaine fois, il demanderait des leçons à Athéna… mais là, il devait d’abord tenter de calmer la rougeur de ses joues… misère, il avait pourtant vu des choses bien plus gênantes que les cuisses nues de son frère durant son existence… et il avait butiné bien des marguerites, et d’autres boutons de roses pourtant… mais il ne pouvait pas s’en empêcher… l’idée de voir Hermès comme ça le rendait complètement stupide et lui faisait perdre tous ses moyens.
« Donc… des marguerites… il te faut une longueur précise pour ton collier ? », grommela le dieu à son cadet.
« Hum, suffisamment long pour la porter en ceinture ? »
« Alors ce n’est pas un collier mais une ceinture ! », s’exclama Apollon en grognant, se baissant pour débuter la cueillette des fleurs comme l’aurait fait une nymphe -ça se paierait un jour.
Et pendant qu’Hermès avait une vue imprenable sur les fesses de son aîné, il lâcha un petit rire.
« Oh… Allez Apollon, tu ne vas pas rechigner pour dix centimètres hein ? Il n’y a pas que la taille qui compte tu sais ! »
Apollon crut s’être pris l’équivalent d’un coup de massue dans le derrière… comment osait-il insinuer qu’il avait un problème de taille sous le niveau de la ceinture, c’était archi-faux !
« Je t’interdis… ! »
« Oui, oui… on sait. »