L'amour et la guerre
Titre: L’amour et la guerre…
Base: mythologie grecque
Personnage(s)/couple(s): Arès x Aphrodite
Rating: R
Warning: allusions explicites ( ?) , nudité plus que suggérée
Genre: touching
L'amour était un champ de bataille dans lequel les participants se jetaient à corps perdus, du moins, c'est ce que pensait Arès. Dieu de la guerre et amant d'Aphrodite, déesse des plaisirs de l'amour.
Du moins, c'est ainsi qu'il concevait sa relation avec la plus belle de toutes; il venait lui rendre visite en absence de son mari, et prenait à peine le temps de défaire sa cuirasse avant de l'envoyer voler sur le lit pour la prendre avec passion et rage, faisant l'amour comme on fait couler le sang, bruyamment et sans la moindre contrainte, cramponnés l'un à l'autre comme des lutteurs aux cuisses entremêlées...
C'est ce qu'il pensait jusqu'au jour où ce fut la déesse qui lui rendit visite à l'improviste. Il ne s'y attendait pas. Elle avait -la coquine- récupéré un morceau du filet forgé par Héphaistos pour les piéger et l'avait solidement attaché au lit avant de lui bander les yeux de sa ceinture, un petit rire canaille au bord des lèvres.
"- ...Aphrodite! Que fais-tu? Détache-moi!"
"- Tututu mon amour... pas tout de suite."
Elle l'avait alors lentement déshabillé, effleurant du bout des doigts la peau du guerrier avant de détacher sa longue chevelure d'or. Chevauchant son amant, elle lui arracha des frissons et divers grognements de satisfaction en laissant les mèches bouclées couler le long de son torse et de son ventre, le chatouillant et le titillant à merveille.
Quand les soupirs d'Arès furent à son goûts, la déesse récupéra son abondante chevelure pour la remplacer par une longue plume de paon, prêtée pour l'occasion par l'animal favori d'Héra et continua ses petits jeux... cela dura longtemps, très longtemps. A vrai dire, ils passèrent ainsi six jours et six nuits avant qu'Arès, absolument à bout de "patience", ne brise les liens pourtant réputés indénouables et n'attrape sa dulcinée par les hanches.
Un sourire coquin aux lèvres, c'est une toute autre sorte de chevauchée que lui offrit alors la reine des plaisirs.
Parfois, oui, l'amour était un champ de bataille... mais d'autres fois, surtout quand c'est Aphrodite qui menait le jeu, il s'agissait plutôt d'une douce traitrise...
Base: mythologie grecque
Personnage(s)/couple(s): Arès x Aphrodite
Rating: R
Warning: allusions explicites ( ?) , nudité plus que suggérée
Genre: touching
L'amour était un champ de bataille dans lequel les participants se jetaient à corps perdus, du moins, c'est ce que pensait Arès. Dieu de la guerre et amant d'Aphrodite, déesse des plaisirs de l'amour.
Du moins, c'est ainsi qu'il concevait sa relation avec la plus belle de toutes; il venait lui rendre visite en absence de son mari, et prenait à peine le temps de défaire sa cuirasse avant de l'envoyer voler sur le lit pour la prendre avec passion et rage, faisant l'amour comme on fait couler le sang, bruyamment et sans la moindre contrainte, cramponnés l'un à l'autre comme des lutteurs aux cuisses entremêlées...
C'est ce qu'il pensait jusqu'au jour où ce fut la déesse qui lui rendit visite à l'improviste. Il ne s'y attendait pas. Elle avait -la coquine- récupéré un morceau du filet forgé par Héphaistos pour les piéger et l'avait solidement attaché au lit avant de lui bander les yeux de sa ceinture, un petit rire canaille au bord des lèvres.
"- ...Aphrodite! Que fais-tu? Détache-moi!"
"- Tututu mon amour... pas tout de suite."
Elle l'avait alors lentement déshabillé, effleurant du bout des doigts la peau du guerrier avant de détacher sa longue chevelure d'or. Chevauchant son amant, elle lui arracha des frissons et divers grognements de satisfaction en laissant les mèches bouclées couler le long de son torse et de son ventre, le chatouillant et le titillant à merveille.
Quand les soupirs d'Arès furent à son goûts, la déesse récupéra son abondante chevelure pour la remplacer par une longue plume de paon, prêtée pour l'occasion par l'animal favori d'Héra et continua ses petits jeux... cela dura longtemps, très longtemps. A vrai dire, ils passèrent ainsi six jours et six nuits avant qu'Arès, absolument à bout de "patience", ne brise les liens pourtant réputés indénouables et n'attrape sa dulcinée par les hanches.
Un sourire coquin aux lèvres, c'est une toute autre sorte de chevauchée que lui offrit alors la reine des plaisirs.
Parfois, oui, l'amour était un champ de bataille... mais d'autres fois, surtout quand c'est Aphrodite qui menait le jeu, il s'agissait plutôt d'une douce traitrise...