J'ai fini également ! J'en suis à 5816 mots.
J'ai écrit un petit texte pour le The-I-feel-like-writing-this-ficathon de ishime : dans le fandom Castle.
J'ai fait deux chapitres délirants dans le fandom Hétalia pour une histoire : Plan de conquête que j'aurais vraiment dû nommer autrement.
Histoire d'avoir un aperçu du grand n'importe quoi de certaines de mes fanfictions :
"A part que tu aies un plan intéressant à effet immédiat, je vais aller le chercher maintenant. »
Il ne devait pas trop tarder. Deux jours d’absence, c’était déjà de trop.
« Je n’ai aucune idée de ce qu’il convient de faire ! Je suis plus doué pour improviser. Je ne connais pas ton Angleterre.
- Il s’appelle Oliver.
- Le mien, Arthur. Tu as forcément besoin de moi !
- En quoi ?
- Je peux aller te le chercher. Personne ne se doutera de rien. Ou te le repérer et t’amener à lui… Ce serait plus discret que de débarquer tous les deux. Il pourrait s’enfuir.
- Il ne faut surtout pas qu’il s’enfuit. Je t’en tiendrais personnellement responsable.
- J’ai compris. Bon, je vais manger un de ses gâteaux et le complimenter dessus.
- Ne touche pas à ses cupcakes !
- Ah bon, pourquoi ?
- Il met des aphrodisiaques dedans.
- Trop tard. Et je ne me sens pas particulièrement affecté.
- Je te déteste !
- Ah, parce que ses gâteaux te sont réservés ! »
Lilian préféra ne pas répondre à la provocation. Oui, il était jaloux de cette version de lui-même beaucoup plus coquette et plus ouverte. Il espérait qu’Oliver ne se serait pas laissé aller à…
« Tu n’as pas touché à mon Oliver, demanda-t-il en grognant.
- Je suis fidèle à mon Arthur. On a juste flirté… Parce que c’était dans son rôle !
- Il y a intérêt que ce soit vrai. Je n’ai pas confiance en toi !
- Tu devrais : Nous avons des intérêts en commun ! Je veux mon Angleterre, tu veux le tien !
- Je t’avais bien dit qu’il parlait tout seul dans les toilettes.
- Antonio, je suis en pleine négociation avec moi-même ! »
Lilian soupira, il était déjà repéré à cause de son idiot de double. Il avait peut-être échangé des codes secrets pour rameuter des renforts. Il enleva sa chemise pour mettre les fioles dans un ballot improvisé avec son vêtement.
« Oh, on tombe la chemise, commenta Francis. Je vais remettre mon pantalon avant que ça dégénère.
- Francis, on sait qu’Arthur t’a fait un sale coup politique, mais ce n’est pas une raison pour perdre la boule.
- Gilbert, je vais très bien ! C’est juste que… »
Lilian en avait marre d’attendre alors il ouvrit la porte des toilettes.
« Vous deux, la ferme ! Le premier qui cafte, je le noie dans la Seine !, les menaça-t-il après avoir sorti son flingue.
- On est à Bruxelles, commenta ledit Gilbert avec provocation.
- Oh, vous êtes deux, s’étonna Antonio. En fait, tu n’avais pas pété les plombs.
- Oh, awesome ! Moi, c’est Gilbert ! Enchanté de te rencontrer, doublure de Francis. Range cette arme, tu veux ? On est des nations amies ! Il te paye combien pour le remplacer dans les meetings barbants et pour être son garde du corps ? Juste histoire de savoir combien ça coûte ! »
Lilian fusilla Gilbert du regard pour le faire taire, mais ça ne marchait pas. Dans quelle foutue dimension était-il tombée ?
« Hop, hop, hop ! Je crois que tu manques de respect à Lilian qui en a très, très, très gros sur la patate. Alors, soyons très cool et aidons-le à attraper le double d’Angleterre.
- Ce n’est pas Arthur !
- Non, ce n’est pas Arthur !
- Ah, c’est son double maléfique qui a voulu le tuer samedi et qui veut conquérir notre monde ! J’ai entendu parler de cette rumeur bizarre, je me disais aussi que Roderich n’avait pas pu l’inventer.
- J’étais sûr qu’il préparait un mauvais coup », explosa Lilian.
Son double lui fit un câlin inattendu, ce qui le tétanisa.