je vais encore gâcher votre journée
Je ne supporte plus d'avoir si froid. Cet appart' va me rendre ouf. Je souffre rien que d'écrire ça, parce que mes doigts sont surgelés et que mes articulations me brûlent.
Je ne peux plus écrire mes textes.
Et je n'ai pas la force de basser, mes bras me font trop souffrir avec la reprise du travail à Macdo.
Julia me manque. & je n'ai que cette solitude & ce silence comme compagnie.
Qu'est-ce que je suis censée faire alors ?
Je vais continuer à pleurer dans mon coin, à me rouler en boule sous ma couette pour attraper un peu de chaleur & à l'appeler avec cette voix rauque.
Je vais fermer les yeux et continuer à penser à Ruki pour oublier combien je me sens seule et misérable.
Je n'avais plus trop utilisé mon Acqua di Gio depuis Tôkyô. L'autre jour, j'en ai remis sur ma serviette du concert de GazettE. Et j'ai enfouit ma tête dedans, comme je faisais à l'autre bout du monde pour m'endormir.
À chaque fois que je recommence, l'illusion dure quelques secondes. Sentir ma serviette contre moi, la couette sur mon corps, ce parfum dans mon nez, et j'ai l'impression d'être de nouveau dans mon futon. Je me revois les matins de ce mois d'Août, m'habiller, me parfumer, me maquiller à genoux devant le lit de Julia avant de partir en visites.
Mais vous savez, le travail se passe bien.
Je ne peux plus écrire mes textes.
Et je n'ai pas la force de basser, mes bras me font trop souffrir avec la reprise du travail à Macdo.
Julia me manque. & je n'ai que cette solitude & ce silence comme compagnie.
Qu'est-ce que je suis censée faire alors ?
Je vais continuer à pleurer dans mon coin, à me rouler en boule sous ma couette pour attraper un peu de chaleur & à l'appeler avec cette voix rauque.
Je vais fermer les yeux et continuer à penser à Ruki pour oublier combien je me sens seule et misérable.
Je n'avais plus trop utilisé mon Acqua di Gio depuis Tôkyô. L'autre jour, j'en ai remis sur ma serviette du concert de GazettE. Et j'ai enfouit ma tête dedans, comme je faisais à l'autre bout du monde pour m'endormir.
À chaque fois que je recommence, l'illusion dure quelques secondes. Sentir ma serviette contre moi, la couette sur mon corps, ce parfum dans mon nez, et j'ai l'impression d'être de nouveau dans mon futon. Je me revois les matins de ce mois d'Août, m'habiller, me parfumer, me maquiller à genoux devant le lit de Julia avant de partir en visites.
Mais vous savez, le travail se passe bien.