Défi Dériver - DCU - Kryptonite
Titre : Kryptonite
Fandom : DC Universe
Disclaimer : Pazamoi
Personnage : Clark Kent (Superman)
Rating : PG-13
Nombre de mots : 2 x 100 tout rond! Comme les drabbles sont liés, je les met dans le même post.
Le corps de Clark lui obéit parfaitement ; ni ne plie ni ne rompt jamais face à l’adversité…
Sauf quand.
Il devrait détester la douleur, la faiblesse, mais il y a autre chose aussi, quand ses musques luttent et le lancent, quand la fièvre lui monte aux joues, quand son esprit est volontaire et sa chair faible.
La kryptonite est son unique vulnérabilité et pourtant sous son emprise il est plus proche des humains, de ce qu’ils ressentent, qui lui est normalement inaccessible. La brûlure de l’effort, son esprit qui se focalise sur son corps, sur son ressenti, le plaisir étrange d’outrepasser la douleur ; de la vaincre.
---
Quand il retombe, haletant et victorieux, que le plomb le sépare de nouveau de la source de son tourment, il y a cet instant indescriptible de cessation de la douleur, alors que son corps est encore tendre et pliant, inconfortable et pourtant tellement présent, tellement hypersensible. Ce moment où ses yeux se ferment, où son esprit dérive, seulement attentif à son propre ressenti, à chaque fibre musculaire qui proteste encore, au battement de son sang qui résonne dans ses tempes, frémit sur sa gorge…
Ce moment glorieux, qu’il se surprend à désirer de plus en plus.
Fandom : DC Universe
Disclaimer : Pazamoi
Personnage : Clark Kent (Superman)
Rating : PG-13
Nombre de mots : 2 x 100 tout rond! Comme les drabbles sont liés, je les met dans le même post.
Le corps de Clark lui obéit parfaitement ; ni ne plie ni ne rompt jamais face à l’adversité…
Sauf quand.
Il devrait détester la douleur, la faiblesse, mais il y a autre chose aussi, quand ses musques luttent et le lancent, quand la fièvre lui monte aux joues, quand son esprit est volontaire et sa chair faible.
La kryptonite est son unique vulnérabilité et pourtant sous son emprise il est plus proche des humains, de ce qu’ils ressentent, qui lui est normalement inaccessible. La brûlure de l’effort, son esprit qui se focalise sur son corps, sur son ressenti, le plaisir étrange d’outrepasser la douleur ; de la vaincre.
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Quand il retombe, haletant et victorieux, que le plomb le sépare de nouveau de la source de son tourment, il y a cet instant indescriptible de cessation de la douleur, alors que son corps est encore tendre et pliant, inconfortable et pourtant tellement présent, tellement hypersensible. Ce moment où ses yeux se ferment, où son esprit dérive, seulement attentif à son propre ressenti, à chaque fibre musculaire qui proteste encore, au battement de son sang qui résonne dans ses tempes, frémit sur sa gorge…
Ce moment glorieux, qu’il se surprend à désirer de plus en plus.