L'an dernier, c'était mon troisième NaNo. Je l'ai abordé avec pas mal de confiance en moi. Je me disais "tu t'en es tirée les deux premières années dans des conditions plus que difficiles, il n'y a pas de raison que cela change". J'avais confiance en moi et en mes capacités de raconter une histoire "sur 50 000 mots".
J'avais tort.Cet excès de
(
Read more... )