[One Piece][R][Jigsaw Puzzle] 27 juin, Relative Minors
Pairing : SanjixAce
Genre : Général, UA, épistolaire
Rating : R pour plus tard
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas, excepté Salomon
« Écrire à quelqu'un est la seule manière de l'attendre sans se faire de mal. »
Alessandro Baricco, dans Océan Mer
Salomon,
Je te prie de ne pas laisser mon père t’importuner, tu sais très bien à quel point il peut se montrer stupide et ignorant : comme tous ceux de son engeance. Quelqu’un comme ça ne comprendra jamais, même les choses les plus triviales de la vie. Pas non plus qu’il veuille comprendre. Tu sais aussi bien que moi comment ils pensent. Et je suis content que c’est auprès de moi que tu résides, plutôt que là-bas. Quoi qu’il en soit, continue donc d’utiliser ses missives pour illuminer vos soirées. Ne les laisse surtout pas te troubler davantage. Tu as déjà assez à faire avec les vauriens.
D’ailleurs, tu leur distribueras quelques directives de ma part, puisqu’au bout d’une semaine, ils ne semblent toujours pas capables de se tenir correctement. Et ne viens pas me dire que je suis trop rude avec eux. Puisque leurs parents n’étaient pas là pour le faire, il faut bien que quelqu’un leur inculque la notion de politesse et de respect. Enfin, les quelques qui voudront bien loger dans le cerveau qu’ils ne semblent pas avoir.
1) Luffy pour des raisons évidentes, n’a pas le droit de poser un seul pied dans la cuisine. Surtout pour jouer à cache-cache, et encore moins à chat. S’il tente encore, tu as ma bénédiction pour attacher chacun de ses membres élastiques aux quatre coins de la maison. Ou même au fond de l’étang avec juste la tête hors de l’eau. Ça devrait être encore plus efficace.
2) Usopp ne doit pas poser ses mains sur un seul des ingrédients de ma cuisine. Ce n’est pas un labo mis à sa disposition. Et, s’il est incapable de se retenir de faire des bêtises avec les gadgets qu’il créé (et je sais qu’il le fait), rappelle-lui que je vais lui apprendre ce que c’est d’avoir vraiment mal à mon retour. Et qu’il a une douce et délicieuse mellorine à charge, beaucoup trop précieuse pour qu’il la délaisse ainsi à s’occuper de ses créations loufoques.
3) Chopper est une personne adorable mais, je te conseille de ne pas le laisser trop souvent avec Luffy et Usopp, parce que leur stupidité tend énormément à déteindre sur lui quand ils sont ensemble. C’est pour ça que tu t’es retrouvé à devoir refaire une lessive avec le linge que tu leur avais demandé d’étendre. Je te parie qu’ils t’ont répondu quelque chose comme « Mais, c’était tellement amusant ! Tu aurais du jouer avec nous, tu te serais autant amusé ! » avant d’éclater de rire.
Non vraiment, ces trois-là, il faudrait limite les faire suivre en permanence : les surveiller. Tu ne peux pas savoir à combien je suis content, qu’au moins toi soit là avec eux. Cela fera au moins une voix de la raison. Je suis sûre que nos charmantes demoiselles feraient un excellent travail mais, tu peux constater par toi-même à quel point c’est difficile. Je ne veux pas leur imposer une telle tâche, alors qu’elles sont là en vacances, pour se détendre. Tu trouveras d’ailleurs avec cette lettre, des cadeaux pour elles. N’oublie pas de les leur donner, de même que mon éternel amour, ainsi que mes condoléances de devoir supporter la vulgarité des garçons au quotidien.
Au passage, ne t’inquiète pas des quelques écarts de mon écriture : alors qu’il voulait me demander quelque chose, cet idiot d’Ace s’est lamentablement endormi. Sur mon épaule. Et ça me gêne beaucoup pour écrire. Tu le connais ; avec lui, pas moyen de le réveiller, ni de le bouger lorsqu’il fait une crise de narcolepsie. Mieux vaut maintenant que plus tard. Sur le champ de bataille je veux dire.
Quant à tes questions sur mon voyage, que puis-je dire ? Nous sommes actuellement arrimés à Orange Town, coincés au port depuis plus d’heures que nécessaire : le capitaine du navire, un certain lieutenant Rapanui Pasqua ne veut pas prendre le risque de naviguer avec la tempête qui fait actuellement rage. Surtout avec le peu d’expérience que la plupart des hommes ont, ce serait juste un gâchis et, tu sais comme moi, que c’est à la guerre que le Gouvernement veut que ses citoyens perdent leur vie. Pas dans un stupide phénomène météorologique. L’avantage, c’est que ça m’a laissé le temps de faire des courses. Comme on m’a donné carte blanche pour tout ce qui se passe en cuisine (avec ma réputation, ils auraient pu le faire avant) ; je vais pouvoir enfin cuisiner avec des ingrédients dignes de ce nom, qui coûteront sûrement moins chers que les pourritures qu’ils me faisaient manipuler avant.
Bonne chance pour la suite,
PS : Je ne l’ai pas précisé avant mais, merci d’avoir envoyé la recette au vieux connard. Et maintenant que l’autre boulet est réveillé, je le laisse conclure.
MERCI DE PRENDRE SOIN DE LUFFY ! DÉSOLÉ POUR LES SOUCIS QU’IL TE CAUSE !
Genre : Général, UA, épistolaire
Rating : R pour plus tard
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas, excepté Salomon
« Écrire à quelqu'un est la seule manière de l'attendre sans se faire de mal. »
Alessandro Baricco, dans Océan Mer
Salomon,
Je te prie de ne pas laisser mon père t’importuner, tu sais très bien à quel point il peut se montrer stupide et ignorant : comme tous ceux de son engeance. Quelqu’un comme ça ne comprendra jamais, même les choses les plus triviales de la vie. Pas non plus qu’il veuille comprendre. Tu sais aussi bien que moi comment ils pensent. Et je suis content que c’est auprès de moi que tu résides, plutôt que là-bas. Quoi qu’il en soit, continue donc d’utiliser ses missives pour illuminer vos soirées. Ne les laisse surtout pas te troubler davantage. Tu as déjà assez à faire avec les vauriens.
D’ailleurs, tu leur distribueras quelques directives de ma part, puisqu’au bout d’une semaine, ils ne semblent toujours pas capables de se tenir correctement. Et ne viens pas me dire que je suis trop rude avec eux. Puisque leurs parents n’étaient pas là pour le faire, il faut bien que quelqu’un leur inculque la notion de politesse et de respect. Enfin, les quelques qui voudront bien loger dans le cerveau qu’ils ne semblent pas avoir.
1) Luffy pour des raisons évidentes, n’a pas le droit de poser un seul pied dans la cuisine. Surtout pour jouer à cache-cache, et encore moins à chat. S’il tente encore, tu as ma bénédiction pour attacher chacun de ses membres élastiques aux quatre coins de la maison. Ou même au fond de l’étang avec juste la tête hors de l’eau. Ça devrait être encore plus efficace.
2) Usopp ne doit pas poser ses mains sur un seul des ingrédients de ma cuisine. Ce n’est pas un labo mis à sa disposition. Et, s’il est incapable de se retenir de faire des bêtises avec les gadgets qu’il créé (et je sais qu’il le fait), rappelle-lui que je vais lui apprendre ce que c’est d’avoir vraiment mal à mon retour. Et qu’il a une douce et délicieuse mellorine à charge, beaucoup trop précieuse pour qu’il la délaisse ainsi à s’occuper de ses créations loufoques.
3) Chopper est une personne adorable mais, je te conseille de ne pas le laisser trop souvent avec Luffy et Usopp, parce que leur stupidité tend énormément à déteindre sur lui quand ils sont ensemble. C’est pour ça que tu t’es retrouvé à devoir refaire une lessive avec le linge que tu leur avais demandé d’étendre. Je te parie qu’ils t’ont répondu quelque chose comme « Mais, c’était tellement amusant ! Tu aurais du jouer avec nous, tu te serais autant amusé ! » avant d’éclater de rire.
Non vraiment, ces trois-là, il faudrait limite les faire suivre en permanence : les surveiller. Tu ne peux pas savoir à combien je suis content, qu’au moins toi soit là avec eux. Cela fera au moins une voix de la raison. Je suis sûre que nos charmantes demoiselles feraient un excellent travail mais, tu peux constater par toi-même à quel point c’est difficile. Je ne veux pas leur imposer une telle tâche, alors qu’elles sont là en vacances, pour se détendre. Tu trouveras d’ailleurs avec cette lettre, des cadeaux pour elles. N’oublie pas de les leur donner, de même que mon éternel amour, ainsi que mes condoléances de devoir supporter la vulgarité des garçons au quotidien.
Au passage, ne t’inquiète pas des quelques écarts de mon écriture : alors qu’il voulait me demander quelque chose, cet idiot d’Ace s’est lamentablement endormi. Sur mon épaule. Et ça me gêne beaucoup pour écrire. Tu le connais ; avec lui, pas moyen de le réveiller, ni de le bouger lorsqu’il fait une crise de narcolepsie. Mieux vaut maintenant que plus tard. Sur le champ de bataille je veux dire.
Quant à tes questions sur mon voyage, que puis-je dire ? Nous sommes actuellement arrimés à Orange Town, coincés au port depuis plus d’heures que nécessaire : le capitaine du navire, un certain lieutenant Rapanui Pasqua ne veut pas prendre le risque de naviguer avec la tempête qui fait actuellement rage. Surtout avec le peu d’expérience que la plupart des hommes ont, ce serait juste un gâchis et, tu sais comme moi, que c’est à la guerre que le Gouvernement veut que ses citoyens perdent leur vie. Pas dans un stupide phénomène météorologique. L’avantage, c’est que ça m’a laissé le temps de faire des courses. Comme on m’a donné carte blanche pour tout ce qui se passe en cuisine (avec ma réputation, ils auraient pu le faire avant) ; je vais pouvoir enfin cuisiner avec des ingrédients dignes de ce nom, qui coûteront sûrement moins chers que les pourritures qu’ils me faisaient manipuler avant.
Bonne chance pour la suite,
PS : Je ne l’ai pas précisé avant mais, merci d’avoir envoyé la recette au vieux connard. Et maintenant que l’autre boulet est réveillé, je le laisse conclure.
MERCI DE PRENDRE SOIN DE LUFFY ! DÉSOLÉ POUR LES SOUCIS QU’IL TE CAUSE !