Envie de meurtre - Prison Break - Daiyaa
Auteur : Daiyaa
Fandom : Prison Break
Thème : envie de meurtre
Nbre de mots : 487
Disclaimer : Pas à moi, blablabla...
Note : ATTENTION SPOILERS saison 2. Ce drabble se situe tout juste à la fin de la saison deux. ça part d'une supposition que j'envisage sérieusement depuis ce dernier épisode. (note à moi même : penser à l'exploiter davantage si le courage y est...)
Note 2 : C'est presque du Gen, le slash est très très très sous-entendu
Note 3 (après j'arrête, promis !) : Merci Eph' pour le titre^^
Everything comes to an end
Lorsque Lincoln vit Sara disparaître à un coin de rue, il sut instinctivement qu’il ne la reverrait pas de sitôt.
Il s’arrêta brusquement et reprit sa respiration, le regard toujours braqué sur la route couverte de monde.
Il vit un homme, beaucoup trop blanc et bien habillé pour être originaire du Panama, prendre la direction que Sara avait emprunté, et Lincoln comprit.
Un rire ironique franchit ses lèvres tandis que les pièces du puzzle s’emboîtaient soudain.
Mais bien-sûr ! Il ne savait même pas pourquoi il n’y avait pas pensé plus tôt !
C’était tellement logique quand on y réfléchissait bien.
Lincoln jura.
Voilà ce que c’était quand on pensait seulement après avoir agit. Il était tout le contraire de Michael, qui lui pesait le pour et le contre, réfléchissait aux conséquences, et agissait en fonction de ses conclusions.
Mais dans ce cas précis, Michael ne pouvait rien faire.
Il était bien trop embrigadé par ce sentiment ridicule pour imaginer ne serait-ce qu’une seconde ce que pouvait être le vrai visage de Sara.
Et pourtant, tout concordait. Lincoln en avait maintenant la certitude : Sara n’était pas la personne qu’elle prétendait être.
Au fond de lui, il avait toujours ressenti envers la jeune femme une sorte de colère mêlée de méfiance, et il avait mis ça sur le compte de la jalousie.
Mais il savait maintenant qu’il avait eut raison. Lincoln avait toujours été quelqu’un d’instinctif.
Il se souvenait qu’à plusieurs moment lors de leur cavale il avait été tenté de faire quelques recherches sur la jeune femme. Mais il s’était abstenu, par peur de perdre son frère à cause d’une jalousie mal placée.
Seulement, cette fameuse jalousie aurait pu sauver Michael de la prison.
Parce que Lincoln en était maintenant persuadé : Sara faisait partie de La Compagnie, cela ne pouvait en être autrement. Car lorsqu’on partait du principe que Sara appartenait à ce groupe, tout concordait avec une précision effarante.
Et même s’il venait de la voir disparaître, Lincoln doutait vraiment que Sara n’aurait désormais plus aucun rôle à jouer dans la vie de Michael.
L’homme sentit la peur s’insinuer dans son corps, peur qui se changea rapidement en une colère sans nom.
Il tâtonna sa poche arrière pour vérifier que son arme n’avait pas disparu, et il marcha d’un pas rapide vers la rue emprunter par Sara quelques minutes auparavant.
Il fallait qu’il la retrouve. Il devait le faire pour enfin pouvoir sauver son frère.
Parce qu’il savait pertinemment que tant que Sara existerait, Michael ne serait jamais libre. Et il était redevable envers son cadet. Plus que cela : il voulait prouver à son frère qu’il pouvait le sauver. Lui prouver qu’il tenait à lui bien plus qu’il n’en laissait paraître.
Il se dit que Michael ne comprendrait peut-être pas son geste, mais il balaya cette idée de son esprit et accéléra le pas.
Il devait tuer Sara Tancredi. Ou son frère n’en survivrait pas.
Fin
Fandom : Prison Break
Thème : envie de meurtre
Nbre de mots : 487
Disclaimer : Pas à moi, blablabla...
Note : ATTENTION SPOILERS saison 2. Ce drabble se situe tout juste à la fin de la saison deux. ça part d'une supposition que j'envisage sérieusement depuis ce dernier épisode. (note à moi même : penser à l'exploiter davantage si le courage y est...)
Note 2 : C'est presque du Gen, le slash est très très très sous-entendu
Note 3 (après j'arrête, promis !) : Merci Eph' pour le titre^^
Everything comes to an end
Lorsque Lincoln vit Sara disparaître à un coin de rue, il sut instinctivement qu’il ne la reverrait pas de sitôt.
Il s’arrêta brusquement et reprit sa respiration, le regard toujours braqué sur la route couverte de monde.
Il vit un homme, beaucoup trop blanc et bien habillé pour être originaire du Panama, prendre la direction que Sara avait emprunté, et Lincoln comprit.
Un rire ironique franchit ses lèvres tandis que les pièces du puzzle s’emboîtaient soudain.
Mais bien-sûr ! Il ne savait même pas pourquoi il n’y avait pas pensé plus tôt !
C’était tellement logique quand on y réfléchissait bien.
Lincoln jura.
Voilà ce que c’était quand on pensait seulement après avoir agit. Il était tout le contraire de Michael, qui lui pesait le pour et le contre, réfléchissait aux conséquences, et agissait en fonction de ses conclusions.
Mais dans ce cas précis, Michael ne pouvait rien faire.
Il était bien trop embrigadé par ce sentiment ridicule pour imaginer ne serait-ce qu’une seconde ce que pouvait être le vrai visage de Sara.
Et pourtant, tout concordait. Lincoln en avait maintenant la certitude : Sara n’était pas la personne qu’elle prétendait être.
Au fond de lui, il avait toujours ressenti envers la jeune femme une sorte de colère mêlée de méfiance, et il avait mis ça sur le compte de la jalousie.
Mais il savait maintenant qu’il avait eut raison. Lincoln avait toujours été quelqu’un d’instinctif.
Il se souvenait qu’à plusieurs moment lors de leur cavale il avait été tenté de faire quelques recherches sur la jeune femme. Mais il s’était abstenu, par peur de perdre son frère à cause d’une jalousie mal placée.
Seulement, cette fameuse jalousie aurait pu sauver Michael de la prison.
Parce que Lincoln en était maintenant persuadé : Sara faisait partie de La Compagnie, cela ne pouvait en être autrement. Car lorsqu’on partait du principe que Sara appartenait à ce groupe, tout concordait avec une précision effarante.
Et même s’il venait de la voir disparaître, Lincoln doutait vraiment que Sara n’aurait désormais plus aucun rôle à jouer dans la vie de Michael.
L’homme sentit la peur s’insinuer dans son corps, peur qui se changea rapidement en une colère sans nom.
Il tâtonna sa poche arrière pour vérifier que son arme n’avait pas disparu, et il marcha d’un pas rapide vers la rue emprunter par Sara quelques minutes auparavant.
Il fallait qu’il la retrouve. Il devait le faire pour enfin pouvoir sauver son frère.
Parce qu’il savait pertinemment que tant que Sara existerait, Michael ne serait jamais libre. Et il était redevable envers son cadet. Plus que cela : il voulait prouver à son frère qu’il pouvait le sauver. Lui prouver qu’il tenait à lui bien plus qu’il n’en laissait paraître.
Il se dit que Michael ne comprendrait peut-être pas son geste, mais il balaya cette idée de son esprit et accéléra le pas.
Il devait tuer Sara Tancredi. Ou son frère n’en survivrait pas.
Fin