Dec 23, 2006 03:32
- Mais mouvoir son drame comme un coup d'épée c'est le faire vivre. Faire vivre cet incercible insurgé qui de la lame plongée dans son coeur fait une arme contre le dieu intérieur, esprit du coup qui a voulu, lui, assassiné, le frapper, et dont il fera un coup assassin.
Je me dis qu'il y a crasse et partouze et que dieu a sucé le cul à Lenine
et que c'est ainsi que ça s'est toujours passé
et que ça ne vaut pas la peine de continuer
ça ne fait rien, c'est un foutu compte à régler.
- L'un démontre, l'autre jouit. Et quand on démontre seulement, on ne va jamais à la vie pour lui demander d'éduquer et de féconder son désir. Et quand on jouit seulement, on ne va jamais à l'esprit pour approfondir et épurer sa jouissance.