Dec 01, 2006 03:20
taches de rousseur qui filent à l’horizon, cheveux
emportés par le vent, yeux qu’on traverse au lieu
de s’y regarder, ou de les regarder dans le morne face-à-face
des subjectivités signifiantes.
C'était un sacré poseur quand même deleuze.
Retour à la vie seule. Des textes que je ne comprends qu'à moitié mais qui résonnent, de la musique, l'intensité du silence puisque la vie ne parle pas mais écoute et attend. Quoi ?