Arbre à drabbles, ze first try (19 juin au 10 juillet)
RE : La question à [$$$] ce matin !
L'ARBRE À DRABBLES ET TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 juillet)Bon alors, je propose, je tente, je m'essaie en toute timidité à un premier essai pour voir comment ça se déroule. Je me risque à une version stricte (derniers mots à réutiliser + 100 mots juste). Je suggère que ça se fasse ( Read more... )
L'ARBRE À DRABBLES ET TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 juillet)Bon alors, je propose, je tente, je m'essaie en toute timidité à un premier essai pour voir comment ça se déroule. Je me risque à une version stricte (derniers mots à réutiliser + 100 mots juste). Je suggère que ça se fasse ( Read more... )
- Méchant défi de taille!", s'amusa Flavien, avant de réaliser - via l'expression larmoyante de Bob qui arrêta de grignoter son Pogo - que c'était peut-être méchant. "...J'voulais pas dire que t'es gros !
- C'correct. J'le sais qu'j'suis gros. J'suis rien qu'un gros pilote de vaisseau.
- Booooooooob!", plaida Flavien.
Remarquant qu'il n'était plus la cible de leurs poings, Brad essaya de fuir.
"Hé! Minute Brad! On a pas fini de vous fesser!", lui rappela Flavien.
"Oh, ça peut attendre à demain!"
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"Non, ça ne peut pas," de rétorquer son subordonné.
Les yeux du Capitaine s'écarquillent.
"Et comment ça?" demande-t-il, parvenant à garder son calme.
"Parce qu'on est demain, et que ce machin doit faire trois cents et être contresigné par l'intendant Psalmon avant midi."
Quoi comment? Les yeux du Capitaine se tournent discrètement vers l'horloge. Il est deux heures du matin. IL redresse la tête et s'empare de la paperasse
"Je le savais."
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Husky s'empourpre, d'embarras ou de colère, ce n'est pas clair. Cooro, lui, n'a pas l'air perturbé le moins du monde.
- C'est fou ce que ça cuit vite, la viande, hein? fait-il joyeusement remarquer.
- Ca cuit vite, oui, répond Nana avec le flegme de celle qui a déjà vu ça cent fois. C'est pour ça que je vous ai demandé de surveiller. C'est si difficile ? Qu'est-ce que vous fichiez ?
- Cooro a trouvé une pomme, marmonne Husky. Il a été distrait.
Nana soupire.
- Ah, les garçons...
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- Le grand problème de ta vie, remarque Junko. C'est qui, cette fois ?
- Un étudiant que je croise dans le train chaque matin. Mais je ne sais rien de lui. Il n'est jamais loin de moi, il me regarde toujours intensément mais je ne peux le toucher. Et il ne descend pas à la même station que moi, impossible de l'aborder ! Mon bel ange du métro... il symbolise tous mes amours. Beau comme un dieu, si proche et si loin à la fois. »
Junko est au-delà des soupirs désormais :
« Trouve-t-en un autre. »
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Un autre que toi ne ferait pas : sans toi mon cœur ne saurait pas comment souffrir, ni comment battre tranquillement (la certitude que tu es là). Tu es (je murmure, les autres n'entendent pas) et je suis (tu souris et tout est dit).
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*larmouille émue*
C-c-c'est superbe :'D
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« Tu souris et tout est dit. Pas plus compliqué que ça. Mais bien sûr, il faut avoir l’air innocent, pas pervers.
- Qui a l’air pervers, ici ?
- J’dis ça j’dis rien mais tes intentions cochonnes se lisent sur ta figure comme un graffiti sur le mur d’un WC. Si tu es trop direct les filles fuiront. Il faut que tu donnes l’impression d’être sûr de toi mais sans triompher ouvertement à l’avance.
- C’est compliquééé ! Je t’ai demandé des conseils clairs et j’y comprends rien : où est la différence ?
- Mais c’est clair, pourtant. Tu es un cas désespéré… »
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A côté de lui, Balt’ est mort de rire, comme d’habitude. Il montre à Lincoln la balle restée cachée dans sa main, et le labrador se redresse, passant aussitôt en mode chiot survitaminé.
« Va chercher ! » fait Balt’ en lançant son bras en avant.
Aucune balle ne quitte sa main, mais Lincoln détale, faisant repartir le fou rire de Balt’, et Jake soupire, amusé.
« Parfois je me demande si c’est pas toi, le cas. »
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« Je me si c’est pas toi le casse-pieds de service, en vrai, avance Keigo au-dessus de sa pile de notes. Tu m'accuses de râler, mais toi ! t'es largement pire, quand tu t'y mets.
- Tiens, ça va me retomber dessus... murmure Mizuiro sans lever les yeux de la sienne.
- Parce que ! Peut-être que je râle. Mais toi quand un truc te déplaît tu dresses un réquisitoire complet de chacun de ses plus petits défauts !
- Oh, je suis épaté par ton utilisation du mot 'réquisitoire', mais s'il te plaît, pourrais-tu cesser de râler et te concentrer sur ton travail ? »
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Je connais à peine le fandom en fait mais j'adore le monologue rêveur de Nana et la conclusion cassante XD
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Nana soupire :
« Ah, les garçons. Tous les mêmes : des obsédés.
- Mais oui, mais oui.
- Quoi ? tu prétends que c’est pas vrai ?
- Oh, non. C’est vrai. Nobu, avec une copine si mignonne, pense souvent à lui faire l’amour. Moi, même célibataire, j’ai des « pensées impures » aussi, tu sais.
- Pitié, parle pas de ça, toi.
- Et pourquoi pas ? s’amuse Yasu : je suis en train de t’expliquer que c’est tout à fait normal. Donc. Les filles aussi, tu sais. Toi, quand tu penses à Ren… »
Nana s’insurge : « Mais c’est pas pareil ! »
Et Yasu sourit, d’un air entendu.
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- Imbécile, sans un homme tu n'aurais pas pu naître.
- Oh mais si, par insémination artificielle. Et puis certaines espèces animales peuvent procréer sans un mâle. La prof de sciences nous en parlés, tu sais.
- Ah, je comprends mieux pourquoi la leçon t'intéressait.
- Je suis certaine qu'un jour, l'espèce humaine ne sera formée que de femmes, qui pourront procréer ensemble. Notre fille à moi et Hime serait si jolie...
- Hors de question que tu la touches !
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- C'est plutôt d'une boussole qu'on aurait besoin, mais je ne suis pas étonné que tu ne saches pas la différence entre ses deux outils", mentionne Jin, transpercé d'un regard noir.
Fuu leur agite la carte devant les yeux, avec toute la rage condensée dans sa forme menue.
"Et comment je dois lire une carte toute tachée, hein ? Et c'est qui, heiiiin, qui a échappé toute la sauce au raifort sur la carte !?"
Jin et Mugen échangent un regard, pour une fois entièrement d'accord.
"C'est toi !", accusent-il en chœur.
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Mizuiro regarde son ami pleurer à chaudes larmes en pointant du doigt Ichigo aux prises avec les forces de l'ordre. Il hausse les épaules : si Ichigo aime se mettre dans des situations inextricables, c'est son problème. Et au diable Kanonji, lui avait trouvé un meilleur passe-temps.
- Mesdemoiselles, nous devrions nous éloigner de ce chahut, glisse Mizuiro aux deux divines femmes qui l'accompagnent.
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