Arbre à drabbles, ze first try (19 juin au 10 juillet)
RE : La question à [$$$] ce matin !
L'ARBRE À DRABBLES ET TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 juillet)Bon alors, je propose, je tente, je m'essaie en toute timidité à un premier essai pour voir comment ça se déroule. Je me risque à une version stricte (derniers mots à réutiliser + 100 mots juste). Je suggère que ça se fasse ( Read more... )
L'ARBRE À DRABBLES ET TERMINÉ !
Ne postez plus de nouveaux drabbles ! (edit 10 juillet)Bon alors, je propose, je tente, je m'essaie en toute timidité à un premier essai pour voir comment ça se déroule. Je me risque à une version stricte (derniers mots à réutiliser + 100 mots juste). Je suggère que ça se fasse ( Read more... )
Comments 422
Et certainement était-il vraiment heureux, puisqu'il n'avait absolument rien fait de la précédente pile de documents que Reever lui avait apportée. Gentiment, discrètement, Reever craqua.
"RÉVEILLEZ-VOUS !", hurla-t-il et Komui se redressa, mouvement instinctif qui lui fit aussi attraper la première plume venue.
"Je travaille !", se défendit-il, ignorant la feuille collée sur son front.
"Quoi, dans vos rêves ?"
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Nuit après nuit, le souvenir de ce qui a été le torture.
Et son cœur se serre quand, au réveil, il croise Peter et que ce dernier, pourtant si proche en songes, comme sa bien-aimée Narnia, est en réalité si loin qu'il n'arrive plus à l'atteindre. Et ils lui manquent.
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A maintes reprises, elle est revenue sur le chemin qui menait à ce tunnel reliant humains et esprits. Mais, à chaque fois, le tunnel se refermait sur un pan de rocher. Comme s'ils ne voulaient pas revoir cette petite humaine, de peur qu'elle ne les détruise.
Il ne lui reste alors plus que des souvenirs auxquels se raccrocher. Un élastique magique noué dans ses cheveux. Des prières murmurées parmi les parfums qu'exhalent les encens. L'image d'un dragon.
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Ce sont les Dragons qui ont créé les Sept Royaumes. C'est ce que l'on dit, il connaît les légendes. Mais c'est absurde, il n'y croit pas…
Pourtant, quand l'orage gronde, il regarde vers le ciel, Saki à ses côtés, et un instant, il s'imagine s'envoler.
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Ratchet se contorsionnait mais cette petite humaine était rapide et lui vraiment plus assez souple.
« Sari c’est hors de question »
« Mais siiiiiiiiii tu verras, tu me laisses juste mettre la clé et ce sera la CLASSE. »
Évidemment, les choses pouvant toujours empirer, un de ses pieds se prit dans un câble qui trainait par terre.
Il y eut un moment de flottement avant qu’il ne s’écrase par terre dans un grand fracas métallique, la petite sur le dos au moment, où Prowl pénétrait dans la pièce.
CLIC.
La clé !
Satisfaction du petit bout de chair 1
Fierté du robot surpuissant 0
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Ça avait un peu débalancé la comparaison des deux robots, ça y'avait pas de doute.
En tout les cas, il se jura qu'on ne l'y reprendrait plus. La prochaine,oh la prochaine fois il allait être bien précis. Il fallait que le robot d'Edel soit de sa propre création. Ceux de son frère ne comptent pas.
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"Tu vas me tuer ?", demande l'esprit-renard et il y a des dents dans sa voix, mais l'Épée ne répond rien, gueule serrée.
"Je n'ai pas de raison de le faire", dit le Marchand Ambulant et il s'éloigne.
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Bordel ! Pour qui il se prends ?!
Ouais il était le premier à avoir fait son Élévation, genre on pouvait oublier ça ! Et aucun d'eux ne faisait le poids en un contre un. Y'a de quoi flipper. Sauf que voila, Caleb est un trouillard qui n'ose pas utiliser ses pouvoirs sans tergiverser pendant des heures.
Le blond a un sourire en coin quand il entends des pas le rattraper.
Et surtout, Reid ne sera jamais seul contre Caleb. Il aura toujours son Babyboy. Toujours.
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Gambit lève les yeux au ciel, et il y a tout un monde de sarcasme dans son sourire. Le souvenir des griffes de Logan le retient cependant. Remy LeBeau a appris la prudence en prison. Ou, au moins, il aime prétendre que c'est le cas.
« C'est le seul moyen d'approcher la centrale. Tu veux retrouver Creed et Stryker, non ? » réplique-t-il en indiquant au Canadien de rentrer dans l'avion qui semble à ce point l'effrayer.
Logan déglutit. Remy sourit. Rien de tel qu'un bout de métal pour vous terrifier un homme viril.
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C’était… c’était pitoyable voila !
Ils avaient pourtant grandit depuis l’époque où il bavait à la moindre mention de ramen. Non en fait il bavait toujours à la moindre mention de ramen, c’était juste plus sexy, c’est tout.
Et puis zut. Elle soupira et alors que Naruto la regardait avec des yeux ronds en se demandant visiblement ce qu’elle avait en tête, l’assomma proprement.
Alors seulement elle reprit la pince à épiler et enleva l’écharde du doigt de son crétin de coéquipier.
Puis le patpata. Gentil idiot va...
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Francis avait le don de conclure chacune de leurs disputes par une boutade. Ce qui avait le don de faire monter la colère d'Arthur d'un cran. Qu'il était loin le temps où il combattait le français, d'épée à épée, le mettant à terre pour qu'il le supplie à genoux.
- Arthur, viens voir les enfants. Ils font des dessins !
Il le suivit pour voir les deux petits Alfred et Matthew gribouiller. Avec un sourire en coin, Alfred montra son oeuvre à Arthur : le portrait de ce dernier, sourcils triplés de volume. Charmant enfant. Un vrai artiste.
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Freya ne voulait pas être célèbre. Si elle écr ivai c'était par pur plaisir, et par envie de faire rêver les gens. De les amener ailleurs, dans un monde différent.
Sans savoir qu'elle en avait déjà créé un de toutes pièces, et qu'elle y vivait présentement.
Quand elle l'apprit, tout s'effondra. Elle perdit sa foi en l'art, se considérant comme abject. Sa vie devint une feuille blanche.
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- Méchant défi de taille!", s'amusa Flavien, avant de réaliser - via l'expression larmoyante de Bob qui arrêta de grignoter son Pogo - que c'était peut-être méchant. "...J'voulais pas dire que t'es gros !
- C'correct. J'le sais qu'j'suis gros. J'suis rien qu'un gros pilote de vaisseau.
- Booooooooob!", plaida Flavien.
Remarquant qu'il n'était plus la cible de leurs poings, Brad essaya de fuir.
"Hé! Minute Brad! On a pas fini de vous fesser!", lui rappela Flavien.
"Oh, ça peut attendre à demain!"
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"Non, ça ne peut pas," de rétorquer son subordonné.
Les yeux du Capitaine s'écarquillent.
"Et comment ça?" demande-t-il, parvenant à garder son calme.
"Parce qu'on est demain, et que ce machin doit faire trois cents et être contresigné par l'intendant Psalmon avant midi."
Quoi comment? Les yeux du Capitaine se tournent discrètement vers l'horloge. Il est deux heures du matin. IL redresse la tête et s'empare de la paperasse
"Je le savais."
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Husky s'empourpre, d'embarras ou de colère, ce n'est pas clair. Cooro, lui, n'a pas l'air perturbé le moins du monde.
- C'est fou ce que ça cuit vite, la viande, hein? fait-il joyeusement remarquer.
- Ca cuit vite, oui, répond Nana avec le flegme de celle qui a déjà vu ça cent fois. C'est pour ça que je vous ai demandé de surveiller. C'est si difficile ? Qu'est-ce que vous fichiez ?
- Cooro a trouvé une pomme, marmonne Husky. Il a été distrait.
Nana soupire.
- Ah, les garçons...
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- Le grand problème de ta vie, remarque Junko. C'est qui, cette fois ?
- Un étudiant que je croise dans le train chaque matin. Mais je ne sais rien de lui. Il n'est jamais loin de moi, il me regarde toujours intensément mais je ne peux le toucher. Et il ne descend pas à la même station que moi, impossible de l'aborder ! Mon bel ange du métro... il symbolise tous mes amours. Beau comme un dieu, si proche et si loin à la fois. »
Junko est au-delà des soupirs désormais :
« Trouve-t-en un autre. »
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Pire encore que le destin qui l'attend, un maléfice lui vole son corps, la fait s'offrir à lui, agir comme la dernière des traînées, dans la honte et l'horreur.
"Tu as le droit de crier." murmure-t-il. Ses ongles entament dans la chair, son sourire exprime toute la miséricorde démoniaque. "Un message pour un vieil ami."
La nuit résonne de ses longs hurlements d'épousée infernale ; il ne lui laisse rien d'autre.
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Et maintenant, alors qu'elle tient enfin dans sa paume le Cristal de l'Elu, tout ce que Sélès pense, c'est Rendez-moi mon frère.
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La seule pensée consciente qu'Edward arrive encore à formuler.
Dans quelques instants il y aura la douleur, plus vive qu'il ne l'a jamais éprouvée. Le sang, chaud, poisseux, qui s'écoule de son membre disparut. L'obscurité. L'échec. La honte, profonde, étouffante, d'avoir désobéit, et d'avoir été puni. La peur. La terreur de la solitude. La vrai solitude, si Alphonse ne revient pas...
Mais quand il trace le sceau dans l'armure, avec son propre sang -ou est-ce bien le sien ? Est-ce celui d'Alphonse ? -
Rendez-moi... mon frère...
- il n'y a rien... rien d'autre dans son esprit.
(c'était trop tentant ^^U)
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