(no subject)
Je suis rarement fière de mes "accomplissements" culinaires. D'habitude, je peux faire la même recette dix fois avant de trouver le mélange d'épices/ingrédients, de cuisson, de présentation que je trouve idéal. Mais mardi soir ? J'ai fait du tonkatsu vraiment salement bon !
Pour être honnête, je n'ai jamais goûté de "vrai" tonkatsu. Mais n'écoutant que mon courage, à la dernière virée au Kim Phat, j'ai récupéré la sauce qu'il faut (un truc qui s'appelle carrément sauce à tonkatsu) et du panko (de la chapelure grossière).
J'ai préparé mes trucs vite fait en revenant du boulot : hop, la poêle sur le rond a feu moyen-doux pour m'assurer qu'elle soit bien chaude quand viendrait le temps de la cuisson. J'ai préparé deux assiettes (une avec de la farine dedans, l'autre avec du panko) et un bol (où j'ai battu un œuf).
Ensuite, quatre petites côtelettes de porc se sont vue séparées de leur gras et assaisonnées (du poivre, un mélange d'épices à base de sel marin - j'utilise ce Herbamare-là - et de la poudre d'ail). J'ai ajouté de l'huile dans ma poêle déjà chaude (assez pour recouvrir tout le fond, mais pas plus) et j'ai monté le feu à moyen-fort (ce qui, sur mon four, équivaut à l'endroit parfait pour que l'huile ne commence pas à frire et à m'asperger de gouttelettes brûlantes).
Tour à tour, les côtelettes ont été recouvertes de farine, trempées dans l'œuf et enrobées de panko (c'est l'étape chouette où il faut bien tapoter la viande pour que le panko colle bien et fasse une belle couche épaisse), avant de les mettre dans la poêle (en les retournant à la mi-cuisson, pour que ça cuise à peu près cinq ou six minutes de chaque côté).
Même avec le temps pour organiser le reste (préparer les assiettes avec du chou hâché, du riz blanc réchauffé, sortir une canette de Sapporo du frigo, l'ouvrir et trinquer), c'est un truc qui ne m'a pas pris plus de vingt-cinq minutes à préparer. Et puis, quand les côtelettes sont prêtes, il ne reste plus qu'à les déposer sur du papier absorbant pour éponger l'huile de cuisson d'abord et à les couper en morceaux ensuite, à les recouvrir d'une ligne de sauce et à déguster avec une bonne bière (ou du saké).
Pour être honnête, je n'ai jamais goûté de "vrai" tonkatsu. Mais n'écoutant que mon courage, à la dernière virée au Kim Phat, j'ai récupéré la sauce qu'il faut (un truc qui s'appelle carrément sauce à tonkatsu) et du panko (de la chapelure grossière).
J'ai préparé mes trucs vite fait en revenant du boulot : hop, la poêle sur le rond a feu moyen-doux pour m'assurer qu'elle soit bien chaude quand viendrait le temps de la cuisson. J'ai préparé deux assiettes (une avec de la farine dedans, l'autre avec du panko) et un bol (où j'ai battu un œuf).
Ensuite, quatre petites côtelettes de porc se sont vue séparées de leur gras et assaisonnées (du poivre, un mélange d'épices à base de sel marin - j'utilise ce Herbamare-là - et de la poudre d'ail). J'ai ajouté de l'huile dans ma poêle déjà chaude (assez pour recouvrir tout le fond, mais pas plus) et j'ai monté le feu à moyen-fort (ce qui, sur mon four, équivaut à l'endroit parfait pour que l'huile ne commence pas à frire et à m'asperger de gouttelettes brûlantes).
Tour à tour, les côtelettes ont été recouvertes de farine, trempées dans l'œuf et enrobées de panko (c'est l'étape chouette où il faut bien tapoter la viande pour que le panko colle bien et fasse une belle couche épaisse), avant de les mettre dans la poêle (en les retournant à la mi-cuisson, pour que ça cuise à peu près cinq ou six minutes de chaque côté).
Même avec le temps pour organiser le reste (préparer les assiettes avec du chou hâché, du riz blanc réchauffé, sortir une canette de Sapporo du frigo, l'ouvrir et trinquer), c'est un truc qui ne m'a pas pris plus de vingt-cinq minutes à préparer. Et puis, quand les côtelettes sont prêtes, il ne reste plus qu'à les déposer sur du papier absorbant pour éponger l'huile de cuisson d'abord et à les couper en morceaux ensuite, à les recouvrir d'une ligne de sauce et à déguster avec une bonne bière (ou du saké).