J'aime [ Drabble ]
Une mini surprise! Je me sentais l'âme quétaine, alors j'ai écrit de quoi de quétaine. lol Pourquoi se gêner quand ça nous prend?! Donc voilà. Il n'y a pas de pairing, vous comprendrez pourquoi en lisant. Bonne Lecture mes lectrices (lecteurs?) d'amour ! ^^
Quand j’ouvre les yeux et que je vois ton visage endormi à mes côtés, je ressens à chaque fois une pointe de bonheur envahir mon cœur. Si en plus, c’est samedi et que je sais que l’on n’a pas d’obligation, rien à faire, seulement profiter de la vie, je m’en ressens encore mieux. À ce moment, j’approche tout mon corps du tient et je m’y blottis. Tu te réveille un peu. Tu passes un bras autour de mes épaules et enfouis ton visage dans mes cheveux. Je respire ton odeur. Je me sens bien. Je me rendors.
Lorsque, bien plus tard, je me réveille, je suis seul dans le lit. À chaque fois je suis déçu. J’aimerais que tu sois encore à mes côtés, mais je sais que tu es un lève tôt. Je cri donc ton nom afin que tu reviennes dans la chambre. J’entends tes pas dans le couloir. Que faisais-tu? Lisais-tu un livre sur le sofa? Étais-tu entrain de naviguer sur le net? À coup sûr tu ne déjeunais pas, puisque tu m’attends toujours. Je vois ta tête avec tes cheveux hirsutes passée dans l’entrebâillement de la porte. Tu me souris. Je te souris à mon tour. Tu me demandes ce qu’il y a. Comme seule réponse, j’ouvre les bras en grand, tendus vers toi. Tu souris de plus bel et tu entres dans la chambre. Tu te jettes à mes côtés et m’enlaces. J’enfouis mon visage dans ton cou alors que tes bras passent dans mon dos. Je soupire d’aise et tu grogne de satisfaction. Lorsque je m’éloigne un peu, tu reposes ta tête sur ton oreiller et tu me regarde. Je peux voir le soleil danser sur ta peau. Je caresse tes joues du bout de mes doigts, longe la carrure de ta mâchoire, termine dans tes cheveux, sur ta nuque. Je descends sur tes épaules, caressant les muscles. Parcours ton bras, rejoins ta main, entrelace tes doigts avec les miens. Tout au long, tes yeux ne m’ont pas quittés. Moi j’ai regardé ta peau bronzée sous le soleil qui filtre au travers des minces rideaux de la chambre. Alors, n’y tenant plus, tu m’enlaces à nouveau, me prenant dans tes bras. Tu enfouis ton nez dans mon cou et me chatouille. Je ris. Tu ris. Mes doigts parcourent tes flancs en quête de vengeance. Tu te tortilles sous l’assaut. Tu ris aux éclats. J’aime te voir rire, alors je continue. Tu demandes grâce. J’arrête pour te permettre de respirer. J’aime te chatouiller le ventre. Celui-ci se contracte et les muscles de tes abdominaux se bandent. J’aime ensuite les caresser de mes doigts. Tu finis par m’emprisonner les doigts dans tes mains pour avoir la paix. Je t’embrasse pour me faire pardonner. Ça fonctionne. Je t’embrasse passionnément, dégustant tes lèvres, ta langue. Ta bouche m’enivre. Je recouche ma tête sur l’oreiller et tu déposes ta tête à côté de la mienne. Nos fronts se touchent. Tu me regardes dans les yeux et tes doigts caressent ma joue. Tu me dis que tu m’aimes. Je te dis que je t’aime aussi.
J’aime ces samedi matin où rien ne presse où tout est suspendu dans le temps et que rien ne compte. Que toi et moi. Simplement.
FIN
Alors? Vous avez imaginé qui? Je suis curieuse! ^^
Quand j’ouvre les yeux et que je vois ton visage endormi à mes côtés, je ressens à chaque fois une pointe de bonheur envahir mon cœur. Si en plus, c’est samedi et que je sais que l’on n’a pas d’obligation, rien à faire, seulement profiter de la vie, je m’en ressens encore mieux. À ce moment, j’approche tout mon corps du tient et je m’y blottis. Tu te réveille un peu. Tu passes un bras autour de mes épaules et enfouis ton visage dans mes cheveux. Je respire ton odeur. Je me sens bien. Je me rendors.
Lorsque, bien plus tard, je me réveille, je suis seul dans le lit. À chaque fois je suis déçu. J’aimerais que tu sois encore à mes côtés, mais je sais que tu es un lève tôt. Je cri donc ton nom afin que tu reviennes dans la chambre. J’entends tes pas dans le couloir. Que faisais-tu? Lisais-tu un livre sur le sofa? Étais-tu entrain de naviguer sur le net? À coup sûr tu ne déjeunais pas, puisque tu m’attends toujours. Je vois ta tête avec tes cheveux hirsutes passée dans l’entrebâillement de la porte. Tu me souris. Je te souris à mon tour. Tu me demandes ce qu’il y a. Comme seule réponse, j’ouvre les bras en grand, tendus vers toi. Tu souris de plus bel et tu entres dans la chambre. Tu te jettes à mes côtés et m’enlaces. J’enfouis mon visage dans ton cou alors que tes bras passent dans mon dos. Je soupire d’aise et tu grogne de satisfaction. Lorsque je m’éloigne un peu, tu reposes ta tête sur ton oreiller et tu me regarde. Je peux voir le soleil danser sur ta peau. Je caresse tes joues du bout de mes doigts, longe la carrure de ta mâchoire, termine dans tes cheveux, sur ta nuque. Je descends sur tes épaules, caressant les muscles. Parcours ton bras, rejoins ta main, entrelace tes doigts avec les miens. Tout au long, tes yeux ne m’ont pas quittés. Moi j’ai regardé ta peau bronzée sous le soleil qui filtre au travers des minces rideaux de la chambre. Alors, n’y tenant plus, tu m’enlaces à nouveau, me prenant dans tes bras. Tu enfouis ton nez dans mon cou et me chatouille. Je ris. Tu ris. Mes doigts parcourent tes flancs en quête de vengeance. Tu te tortilles sous l’assaut. Tu ris aux éclats. J’aime te voir rire, alors je continue. Tu demandes grâce. J’arrête pour te permettre de respirer. J’aime te chatouiller le ventre. Celui-ci se contracte et les muscles de tes abdominaux se bandent. J’aime ensuite les caresser de mes doigts. Tu finis par m’emprisonner les doigts dans tes mains pour avoir la paix. Je t’embrasse pour me faire pardonner. Ça fonctionne. Je t’embrasse passionnément, dégustant tes lèvres, ta langue. Ta bouche m’enivre. Je recouche ma tête sur l’oreiller et tu déposes ta tête à côté de la mienne. Nos fronts se touchent. Tu me regardes dans les yeux et tes doigts caressent ma joue. Tu me dis que tu m’aimes. Je te dis que je t’aime aussi.
J’aime ces samedi matin où rien ne presse où tout est suspendu dans le temps et que rien ne compte. Que toi et moi. Simplement.
FIN
Alors? Vous avez imaginé qui? Je suis curieuse! ^^