Parcontre, nous voulions vraiment faire la cueuillette de cerises. Alors après une semaine dans ce verger, nous avons décidé de partir plus au sud, vers Osoyos et Oliver(là-bas, les cerises commencent un peu plus tôt). À Oliver, il y a un camping nommé Loose Bay, pour les cueuilleurs. c'est 2$ par jour, par personne. c'est comme un gros guetto québécois, dans un décor désertique. tout le monde y plante sa tente un peu n'importe où. c'est assez impressionnant! et il y a des cactus par terre!!! Il y a à Oliver et à Osoyos (20 minutes d'auto sépare les 2 villes) un centre d'emploi, qui organise des scéances d'information sur la cueuillette. On y est vraiment bien informés. Malheureusement, ce n'était pas encore tout à fait prêt pour les cerises. C'était une question de jours, mais les agriculteurs repoussaient toujours la date. Il n'y avait pas assez de soleil pour que les cerises soient prêtes. Nous avons donc décidé de partir vers Vancouver et visiter, puis de revenir pour les cerises quelques semaines plus tard, lorsqu'on serait vraiment en pleine saison.
Nous avons donc visité Vancouver, Victoria, et pirs le traversier pour l'Île de Vancouver, où nous avons du des arbres géants, nous avons visité une grotte, nous nous sommes baignés à la plage, etc. Nous avons pris moins de temps que prévu pour visiter les villes, parce que finalement, une grande ville c'est une grande ville, ça ressemble pas mal à Montréal, en... différent.
À notre retour dans l'Okanagan, c'était bel et bien le temps des cerises. Nous avons pris une journée pour nous reposer et le lendemain, nous avons pu travailler sur un verger. Il faisait extrèmement chaud (36°). La ville battait des records de chaleur (nous étions encore au mois de juin; en juillet, ça monte jusqu'à 40°). Il faut arrêter de travailler dans l'après midi, parce qu'il fait trop chaud et pour nous, et pour les cerises, qui deviennen molles. Nous n'avons pas fait beaucoup d'argent. C'est normal, parce qu'il faut 1 à 2 semaines d'expérience avant que la cueuillette puisse être vraiment payante. C'était un verger biologique. La propriétaire était très sympathique et nous a même fait un dîner. Mais mon copain n'a pas aimé l'expérience, et il n'était pas prêt à endurer cette chaleur accablante tout l'été. Il était tanné et voulais revenir à Montréal. Ça m'a fait de la peine de revenir. J'était partie avec l'intention de ne revenir qu'à la fin de l'été et nous étions seulement fin juin... Mais je ne voulais pas rester seule... J'en garde quand même de bons souvenirs!!
Beaucoup de voyageurs qu'on a croisés plantaient leur tente un peu n'importe où, dans les bois, mais avec l'auto, c'était plus difficile de faire ça... Une voiture, ça ne se cache pas dans un bois... Mais ça ne nous a pas couté si cher en camping. Souvent, on arrivait après les heures de fermeture et on repartait tôt le matin, alors on pouvait se faufiler sans payer, et ce en profitant des douches, des toilettes et de l'eau potable, ce qu'on a pas dans le bois... si on se faisait prendre, on disait la vérité... qu'on était arrivés le soir, alors que c'.tait fermé, mais qu'on avait l'intention d'aller payer!
Wow, j'ai voulu y aller pour l'essenciel, et j'ai presque écrit un roman!! Si tu veux en savoir plus, gênes-toi pas! ça me fait plaisir de racontter tout ça!
oh merci merci pour se résumé. :D. Qu'est ce que sa doit etre bien de partir comme sa. D'aller a doirte, a gauche comme une p'tite abeille. lala. c'est pas ce résumé qui va menlever l'envie d'voyager. Ces gens qu'on rencontres, ces places qu'on découvrent. mouais. s'doit etre vraiment bien. tu avait quelle age, cette été, quand tu a fait c'voyage?
Il y a à Oliver et à Osoyos (20 minutes d'auto sépare les 2 villes) un centre d'emploi, qui organise des scéances d'information sur la cueuillette. On y est vraiment bien informés. Malheureusement, ce n'était pas encore tout à fait prêt pour les cerises. C'était une question de jours, mais les agriculteurs repoussaient toujours la date. Il n'y avait pas assez de soleil pour que les cerises soient prêtes. Nous avons donc décidé de partir vers Vancouver et visiter, puis de revenir pour les cerises quelques semaines plus tard, lorsqu'on serait vraiment en pleine saison.
Nous avons donc visité Vancouver, Victoria, et pirs le traversier pour l'Île de Vancouver, où nous avons du des arbres géants, nous avons visité une grotte, nous nous sommes baignés à la plage, etc. Nous avons pris moins de temps que prévu pour visiter les villes, parce que finalement, une grande ville c'est une grande ville, ça ressemble pas mal à Montréal, en... différent.
À notre retour dans l'Okanagan, c'était bel et bien le temps des cerises. Nous avons pris une journée pour nous reposer et le lendemain, nous avons pu travailler sur un verger. Il faisait extrèmement chaud (36°). La ville battait des records de chaleur (nous étions encore au mois de juin; en juillet, ça monte jusqu'à 40°). Il faut arrêter de travailler dans l'après midi, parce qu'il fait trop chaud et pour nous, et pour les cerises, qui deviennen molles. Nous n'avons pas fait beaucoup d'argent. C'est normal, parce qu'il faut 1 à 2 semaines d'expérience avant que la cueuillette puisse être vraiment payante. C'était un verger biologique. La propriétaire était très sympathique et nous a même fait un dîner. Mais mon copain n'a pas aimé l'expérience, et il n'était pas prêt à endurer cette chaleur accablante tout l'été. Il était tanné et voulais revenir à Montréal. Ça m'a fait de la peine de revenir. J'était partie avec l'intention de ne revenir qu'à la fin de l'été et nous étions seulement fin juin... Mais je ne voulais pas rester seule... J'en garde quand même de bons souvenirs!!
Beaucoup de voyageurs qu'on a croisés plantaient leur tente un peu n'importe où, dans les bois, mais avec l'auto, c'était plus difficile de faire ça... Une voiture, ça ne se cache pas dans un bois... Mais ça ne nous a pas couté si cher en camping. Souvent, on arrivait après les heures de fermeture et on repartait tôt le matin, alors on pouvait se faufiler sans payer, et ce en profitant des douches, des toilettes et de l'eau potable, ce qu'on a pas dans le bois... si on se faisait prendre, on disait la vérité... qu'on était arrivés le soir, alors que c'.tait fermé, mais qu'on avait l'intention d'aller payer!
Wow, j'ai voulu y aller pour l'essenciel, et j'ai presque écrit un roman!!
Si tu veux en savoir plus, gênes-toi pas! ça me fait plaisir de racontter tout ça!
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Qu'est ce que sa doit etre bien de partir comme sa. D'aller a doirte, a gauche comme une p'tite abeille. lala. c'est pas ce résumé qui va menlever l'envie d'voyager. Ces gens qu'on rencontres, ces places qu'on découvrent. mouais. s'doit etre vraiment bien.
tu avait quelle age, cette été, quand tu a fait c'voyage?
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