Référence à
http://www.youtube.com/watch?v=6ntvwZWo_TA&feature=related Bon. Tout d'abord, avant de risquer un mauvaise interprétation (oublions les questions fondamentales : "par qui, quand, où, pourquoi", elles sont maintenant associées à un cadre strictement scolaire dans ma tête), je veux mettre les points sur les "i" (et les "y" ? comment on fait pour les "y" ? Avec des points, ça fait... "Gzbzzzz, bzzzz, je viens en paix") : je vais bien.
J'ai peur que la fatigue qui pointe, la perspective de boulot, et d'autres choses ne se glissent dans ce message pour y donner une fausse tonalité. La période de mini-spleen est dépassée, je dors moins (mais raisonnablement quand même, quand je compare au rythme scolaire). Mes cernes ont fortement diminué, aussi ^^ Pourtant, l'écoute en boucle de musique... uh... "de faible qualité" (mais avec du Kaleido Star, ce qui montre bien une ambivalence) prouve bien que je ne suis plus non plus au meilleur de ma forme.
J'ai fini de regarder la saison 1 de Magic Knight Rayearth. Et bien... on sait que Fério est "prince" ^^, et la surprise du début de deuxième saison... ? Sans compter les changements : Alcyone est pas morte (alors que Zagat la fait "disparaître" dès le deuxième tome), Préséa est morte (stupidement écrasée), Cardina et Ascot ont des rapports qui me plaisent pas (Umi x Ascoooot-eeeuh >.<), Inova... ah, si, Inova était une bonne révélation. Et puis sa vraie forme est mignonne ^^ Transformer trois tomes en vongt épisodes, forcément, c'est longuet. Périodiquement, on prend pleinement conscience d'un allongement là juste pour atteindre les 22 minutes/épisode. Et c'est répétitif... Je crois que c'est de l'épisode 7 à l'épisode 10 : ça finit invariablement par Ascot jurant qu'il vengera ses "amis", et qui pleure, et qui pleure... mais il a une voix sympa, je lui pardonne (Je me demande ce que ça donne, dans la saison 2, en "adulte" *__*... mince, je viens d'aller écouter, c'est la même...). Alcyone... sa voix, c'est sans doute celle que j'ai préférée. Elle a un joli timbre ^^
J'ai profité du visionnage pour refaire un peu mes stocks de perles, en prévision des Guinguettes ; je vais finalement pouvoir les faire, ça tombe le week-end juste avant le voyage en Tunisie (pour représenter "Andromaque, Zine el-Abidine Ben Ali et les droits de l'homme", comme le dit si gentiment mon père. Je veux rentrer en France avant Japex, moi =___=). Vu le temps qu'on a eu la semaine dernière, ça serait vraiment une injustice qu'il y fasse moche...
Parents partis à Avignon ce matin quelques heures avant mon réveil, et ils rentrent demain soir. Donc, on vit à trois. Pas exceptionnel ^^, Frère malade, de surcroît. Ah ah, chacun son tour.
Toutes mes tentatives pour RP aujourd'hui se sont soldées par des découvertes d'autres occupations bouffeuses de temps, et plus ponctuelles. Pourtant, j'avais ouvert mes dossiers ; logiquement, je n'aurais pas dû les refermer sans modifications =__=. Bon, j'en ai trois sur Héméra "qu'il serait bon de rattraper, histoire que Kira ne me fasse pas remarquer que je suis longuette, fin mai, et qu'Esqi ne saute sur l'occasion pour chercher un moyen de camoufler ses propres retards" (ceci n'est pas une attaque personnelle XD).
Esqi qui m'a lâchement lâché aujourd'hui, mais, dans ma grande bonté, je ne lui en veux pas (pour dire : il fallait que je trouve quelque chose à taper pour que ça fasse "plus long", mais la question de lui en vouloir ne se pose pas, c'est juste pour le plaisir de taper ; des fois que je me tape une maladie de la main Robin-Hobbesque XD).
La journée a été marquée par une découverte : mon frangin avait 4 CDs des Réquisitoires du Tribunal des Flagrants délires... écouter Desproges-sama pour s'endormir *__* (voilà de fameuses migraines en perspective, mais ça me sortira probablement des rêves marmonnesques).
Marmo ! Rêves ! Voilà, je m'étais dit qu'il fallait que j'en rende compte.
Rêve de vendredi à samedi. Quelques fragments, par-ci par-là. On était dans un endroit que j'identifiais comme l'endroit où se déroule habituellement Manga Expo, mais qui avait des couloirs partout. A un moment, avec la personne à côté de moi, je m'arrêtais brusquement, et la personne qui était derrière moi me rentrait dedans. Je me retournais, et... horreur. C'était Marmo. J'avais fait ça à Marmo. J'avais peur, fichtrement peur, je me répandais en excuse et je m'enfuyais (de toute façon dans ma direction). Je tombais sur une pièce avec une grande table rectangulaire, autour de laquelle siégeais plusieurs personnes (dont Esqi, Kira, Ask, Salima, et Sarah, une fille de la prépa). Une histoire de Disney. Je fuyais encore. J'avais peur de retomber sur Marmo, et j'allais m'enfermer dans un placard.
Moralité : ... vous ai-je déjà dit que j'avais peur de Marmo ?
Le rêve de samedi à dimanche, d'abord. Parce que c'était décousu, avec des éléments bizarres.
Tout commençait chez moi ; je devais partir au lycée (Lakanal). Les toilettes étaient occupés par ma soeur, et je partais la rage au coeur de ne pas avoir pu y aller. La suite du rêve a consisté à... tenter de trouver des toilettes. Enfin, j'aurais peut-être pu en trouver si, par mégarde, en cherchant dans une sorte d'immense bâtiment inconnu et qui n'avait jusque-là jamais attiré mon attention, je n'avais pas découvert des vaisseaux. Oui, mais pas n'importe lesquels : des vaisseaux rebelles, desquels je m'approchais en pensant qu'il y aurait des toilettes à l'intérieur. Et, vu que j'étais là, on me désignait comme une rebelle aussi. On nous envoyait en première ligne dans une bataille galactique (logique imparable : ils sont désignés comme des ennemis, enrôlez-les !) ; j'avais pas compris qu'on cherchait à se débarrasser de nous, jusqu'à ce qu'une autre rebelle m'explique qu'on allait se faire défoncer la gueule, mais qu'eux, ben ils avaient pas envie de mourir. Ils utilisaient une super-arme secrète (tellement secrète que je ne l'ai ni vue, ni observé ses effets) ; ils réussissaient à s'enfuir. J'ai repris conscience lorsqu'on était retournés à la base, poursuivis par les profs et nos dirigeants. La rebelle m'aidait gentiment à m'en sortir (grâce à des cordes, envolée cinquante mètres au-dessus du sol, équilibre ; des effets dignes de Kaleido Star). On passait ensuite directement à la sortie des cours (et là, j'étais dans une rue du Plessis). Bertrand, le prof de théâtre, me redemandait l'adresse d'un magasin de chaussures de danses qui devait se trouver au Plessis ; j'appelais ma mère, et j'apprenais que je m'étais trompée dans mes infos : il était à Nanterre. Il repartait, déçu à un point qui me faisais mal, et je rentrais chez moi.
Moralité : ... un Bertrand triste, c'est à pleurer.
Le rêve de lundi à aujourd'hui (encore pour 4 minutes). On avait une session de Concours Blancs préliminaire aux Concours Blancs (puisqu'on était pas encore le bon lundi). Je quittais la maison à un horaire improbablement tard ; en passant devant la place Résistance, à côté des travaux, je découvrais une diseuse de bonne aventure que je connaissais bien. Je regarde la grosse horloge du centre-ville : il est presque 30, et je mets au mieux 20 minutes pour descendre du bus à l'arrêt de Lakanal (+ le parc à traverser après). Je décide de bavarder avec elle, quand même, parviens presque à lui faire prédire mon avenir, mais part finalement. Dans le bus (très étroit), je m'aperçois que je n'ai relu aucune fiche de Lettres, et que je ne suis absolument pas préparée. Je décide de le faire dans le prochain bus, ce que je ne fais pas. J'arrive à l'arrêt alors que la première sonnerie a déjà retenti ; des lycéens ne se pressent pas trop, je marche vite, mais j'ai la flemme de courir (oh, il est minuit). Finalement, je me dépêche un peu pour avoir les joues rouges et faire croire que je me suis dépêchée : entre dans la salle (dont la situation était inversée ; je rentrais du côté gauche, au fond par rapport au tableau, au lieu de devant-droit). Manque de place, je m'assied à côté de quelqu'un que je n'aimais pas, explique que c'est à cause de "mon bus", qui n'est jamais passé. Marmo ne m'en veut pas (Surprise). On sort des feuilles et... s'en est suivi une session très étrange. On devait le faire à l'oral, dans un chaos total, en se soufflant les réponses si on voulait. Et ça n'avait rien de Littéraire, c'était... sur un sujet qui m'est inconnu, là, présentement : un truc totalement abstrait, qu'on maîtrisait mal, de façon désordonné, mais on s'amusait comme on pouvait, et Marmo ne disait rien, au contraire, elle nous félicitait "d'être là sur notre temps de vacances".
Moralité : ... les vacances, c'est fait pour rêver des cours.
Programme de demain : BPI, bosser la géo. Et, de préférence, jusqu'à la fermeture (21h45). Donc, si je m'en tiens, pas de RP demain. MAIS, Esqi, même si je ne suis pas physiquement sur mon ordi, tu sais que ma conscience te suis ; alors, je te fais confiance ("Imbécile ! Abrutie ! Pauvre cruche !". Gasp, ma raison est d'une telle violence, ce soir, ho ho ho ho !), je sais que tu posteras ou mettra tous les moyens qui sont à ta portée pour poster ^^. Et puis, hein, tu t'es engagée à t'y remettre, hein (et j'ai sauvegardé la page), donc, hein, tu... gasp, ma conscience et mes mots se font la malle pour aller se coucher sous ma couette avant moi (sales lâcheurs). Je te fais confiance pour comprendre ce que tu dois comprendre (et que je devrais comprendre aussi, puisque c'est moi qui ai eu l'espace d'un instant le sentiment que tu devais comprendre quelque chose).
Et puis, pour me rappeler de la poster sur le blog des HK2 : la victoire finale des Littéraires contre ces barbares de Scientifiques ^o^ (Nous reprenons nos droits dans notre salle ! (et elle est... haute...))
http://img507.imageshack.us/img507/760/p4120052khhqx7.jpg Cassidy-sama
* qui, vaincue par le sommeil, s'en va se reposer dans une antre face à la journée de boulot qui l'attend. En écoutant Desproges. *