[Harry Potter] Souvenirs et regrets
Disclaimer : Tous les personnages appartiennent à l'univers crée par J.K Rowling
Titre : Souvenirs et regrets
Défi : boulet de la nuit du fof
Personnages : Severus Rogue, Albus Dumbledore
Rating : K+
Nombre de mots : 469
Genre : Biographie
Bêta : aucune
Souvenirs et regrets
Severus était assis sur le banc des accusés, avec autour de la cheville une sorte de bracelet magique qui l'oppressait dans ces mouvements et lui donnait l'impression d'être affublé de cette étrange objet que les prisonnier traîne auprès d'eux dans les images jaunies que son grand-père paternel gardait précieusement dans sa petite boîte en fer, estampillé d'une étiquette "Séjour aux Etats-Unis". Severus n'avait guère connu son aieul, mort un peu avant son entrée à Poudlard mais il regardait chaque jour ces images en murmurant qu'il n'oublierait jamais.
Son pépé, comme il aimait être appelé, lui racontait toujours des histoires sur sa longue vie et son enfance aux Etats-Unis. Il lui parla de son père avec affection, racontant mille et une anecdotes qui n'intéressait guère le jeune Severus qui voulait savoir seulement savoir pourquoi son pépé ne voulait jamais parler de cette photo où l'on voyait le propre père de son grand-père affublé d'une longue chaîne et d'un boulet casser les cailloux.
A son âge, il était avide de ces récits d'aventures de bandits, de cow-boys ou autres, mais son grand-père restait insensible à ses supplications malgré sa tentative de l'amadouer en ajoutant à son patronyme un affectueux adjectif. Son grand-père mourut avant de lui révéler les secrets de cette photo.
Et c'est à cette photographie jaunie que pensait Severus en cet instant. Il ne faisait guère attention au bruit qui se dégageait de la foule au fur à mesure que s'égrenait l'énoncé des sanctions envers les personnes reconnues comme ayant juré allégeance envers feu le mage noir.
Perdu dans ses pensées, il n'avait vu les témoins se succéder à la barre pour entériner les suspicions envers les prisonniers, par des témoignages accablants ou pour déverser leur hargne envers ce groupe de mages qui avait terrorisé le monde sorcier pendant de nombreuses années. Un seul pourtant avait témoigné en sa faveur mais son esprit était trop tourmenté par la mort de le femme dont il était épris pour songer un seul instant à se préoccuper de son sort.
Il ne réagit pas lorsque son nom fut prononcé, suivi de l'énonce acquitté. Dans la salle le public murmurait, se demandant si vraiment cet homme à la mauvaise mine était l'espion du grand Dumbledore. Nul ne doutait de ce grand Mage. Par deux fois, il avait combattu des mages noirs à des époques différentes mais beaucoup s'interrogeait sur la pertinence de choisir comme espion un homme tel que lui. Les murmures peu à peu se dissipèrent au fur à mesure que la salle se vidait.
Seul restait Severus, toujours assis sur son banc, amorphe. Albus s'approcha de lui, posa une main réconfortante sur son épaule et l'invita à rejoindre Poudlard. Celui-ci leva ses yeux vides vers lui et Albus sut que jamais ce dernier n'arriverait à se débarrasser de ce poids qui l'oppresserait toute sa vie
Titre : Souvenirs et regrets
Défi : boulet de la nuit du fof
Personnages : Severus Rogue, Albus Dumbledore
Rating : K+
Nombre de mots : 469
Genre : Biographie
Bêta : aucune
Souvenirs et regrets
Severus était assis sur le banc des accusés, avec autour de la cheville une sorte de bracelet magique qui l'oppressait dans ces mouvements et lui donnait l'impression d'être affublé de cette étrange objet que les prisonnier traîne auprès d'eux dans les images jaunies que son grand-père paternel gardait précieusement dans sa petite boîte en fer, estampillé d'une étiquette "Séjour aux Etats-Unis". Severus n'avait guère connu son aieul, mort un peu avant son entrée à Poudlard mais il regardait chaque jour ces images en murmurant qu'il n'oublierait jamais.
Son pépé, comme il aimait être appelé, lui racontait toujours des histoires sur sa longue vie et son enfance aux Etats-Unis. Il lui parla de son père avec affection, racontant mille et une anecdotes qui n'intéressait guère le jeune Severus qui voulait savoir seulement savoir pourquoi son pépé ne voulait jamais parler de cette photo où l'on voyait le propre père de son grand-père affublé d'une longue chaîne et d'un boulet casser les cailloux.
A son âge, il était avide de ces récits d'aventures de bandits, de cow-boys ou autres, mais son grand-père restait insensible à ses supplications malgré sa tentative de l'amadouer en ajoutant à son patronyme un affectueux adjectif. Son grand-père mourut avant de lui révéler les secrets de cette photo.
Et c'est à cette photographie jaunie que pensait Severus en cet instant. Il ne faisait guère attention au bruit qui se dégageait de la foule au fur à mesure que s'égrenait l'énoncé des sanctions envers les personnes reconnues comme ayant juré allégeance envers feu le mage noir.
Perdu dans ses pensées, il n'avait vu les témoins se succéder à la barre pour entériner les suspicions envers les prisonniers, par des témoignages accablants ou pour déverser leur hargne envers ce groupe de mages qui avait terrorisé le monde sorcier pendant de nombreuses années. Un seul pourtant avait témoigné en sa faveur mais son esprit était trop tourmenté par la mort de le femme dont il était épris pour songer un seul instant à se préoccuper de son sort.
Il ne réagit pas lorsque son nom fut prononcé, suivi de l'énonce acquitté. Dans la salle le public murmurait, se demandant si vraiment cet homme à la mauvaise mine était l'espion du grand Dumbledore. Nul ne doutait de ce grand Mage. Par deux fois, il avait combattu des mages noirs à des époques différentes mais beaucoup s'interrogeait sur la pertinence de choisir comme espion un homme tel que lui. Les murmures peu à peu se dissipèrent au fur à mesure que la salle se vidait.
Seul restait Severus, toujours assis sur son banc, amorphe. Albus s'approcha de lui, posa une main réconfortante sur son épaule et l'invita à rejoindre Poudlard. Celui-ci leva ses yeux vides vers lui et Albus sut que jamais ce dernier n'arriverait à se débarrasser de ce poids qui l'oppresserait toute sa vie