DRABBLE - 10 minutes top-chrono! -
Coucou!!!!
Oui, je sais, je suis à la bourre pour tout, mais je ne vous oublie pas!!!
Promis!!!
Je me remets à vos DRABBLES au plus vite!
Je suis juste un petit peu débordée en ce moment!^^
Sinon, pour me remettre dans le bain, voici la petite DRABBLE promise à morelindele il y a dix minutes!
J'espère que tu vas aimer...
Parce que franchement, SHUN!!!, c'était hyper vache quoi!!!
T______________________T
CHAÎNE
(SHUN/HYÔGA)
Shun/Hyôga (Chaîne)
Shun avait toujours été d’un caractère confiant et aimant. Il ne voyait que les côtés positifs chez tout individu et il était convaincu que tout être avait en lui une part d’humanité et qu’il suffisait d’y mettre du sien pour gratter cette surface terne et boueuse pour y découvrir une beauté cachée. Mais pourquoi ne comprenait-il pas que le monde tel qu’il était aujourd’hui, tel qu’il l’avait toujours été, avait aussi son lot de laideurs ? Une laideur incontournable, une laideur incrustée comme la plus exécrable des gangrènes. N’était-il pas temps qu’il réalise cela ? Qu’il oublie une fois pour toute cette utopie ? Shun était une trop belle fleur pour cette terre ne put s’empêcher de penser la rose gelée qu’était devenu le cœur meurtri de Hyôga. Le cygne ne chantait plus, cela faisait longtemps que ses ailes avaient été brisées par tous les êtres qui lui avaient été chers. Ce monde n’était qu’horreurs, pourquoi Shun ne le comprenait-il pas ? Pourquoi insistait-il à se voiler la face ? Pourquoi le forçait-il à y croire encore ?
Alors que le jeune Russe, à la chevelure aussi lumineuse que le reflet de l’Aurore Boréale sur les terres enneigées du Grand-Nord, était perdu dans ses sombres pensées, il ne sentit pas la présence timide de son ami. Shun était auprès de lui, le visage serein.
« Shun… », commença le jeune blond, dont la voix raisonna comme le chant d’un oiseau blessé.
« Chut… », chuchota la fleur timidement éclose, « Je ne veux rien entendre, Hyôga. »
Alors que sa voix presque féminine caressait déjà les sens endoloris du Cygne blessé, la chaîne si habile, qui avait toujours été sa compagne, serpenta rapidement sur le jeune chevalier et l’immobilisa.
« Que ? », commença Hyôga, mal à l’aise.
« Je ne te trahirai jamais, Hyôga… », lui susurra tendrement Shun à l’oreille avant de noyer ses émeraudes dans les glaciers fragiles de ses pupilles.
Alors que son corps se nouait au sien, bien plus expertement que ne l’avaient fait ses chaînes, il laissa ses doigts fins se perdre dans cette chevelure sibérienne et ses lèvres tremblantes tomber sur la joue froide de son ami, plus légère qu’une brise matinale et plus douce qu’un flocon de neige.
Le cygne soupira lourdement.
Il capitulait.
Allez, j'attaque les autres!!!
BISOUS!
BabyD!
Oui, je sais, je suis à la bourre pour tout, mais je ne vous oublie pas!!!
Promis!!!
Je me remets à vos DRABBLES au plus vite!
Je suis juste un petit peu débordée en ce moment!^^
Sinon, pour me remettre dans le bain, voici la petite DRABBLE promise à morelindele il y a dix minutes!
J'espère que tu vas aimer...
Parce que franchement, SHUN!!!, c'était hyper vache quoi!!!
T______________________T
CHAÎNE
(SHUN/HYÔGA)
Shun/Hyôga (Chaîne)
Shun avait toujours été d’un caractère confiant et aimant. Il ne voyait que les côtés positifs chez tout individu et il était convaincu que tout être avait en lui une part d’humanité et qu’il suffisait d’y mettre du sien pour gratter cette surface terne et boueuse pour y découvrir une beauté cachée. Mais pourquoi ne comprenait-il pas que le monde tel qu’il était aujourd’hui, tel qu’il l’avait toujours été, avait aussi son lot de laideurs ? Une laideur incontournable, une laideur incrustée comme la plus exécrable des gangrènes. N’était-il pas temps qu’il réalise cela ? Qu’il oublie une fois pour toute cette utopie ? Shun était une trop belle fleur pour cette terre ne put s’empêcher de penser la rose gelée qu’était devenu le cœur meurtri de Hyôga. Le cygne ne chantait plus, cela faisait longtemps que ses ailes avaient été brisées par tous les êtres qui lui avaient été chers. Ce monde n’était qu’horreurs, pourquoi Shun ne le comprenait-il pas ? Pourquoi insistait-il à se voiler la face ? Pourquoi le forçait-il à y croire encore ?
Alors que le jeune Russe, à la chevelure aussi lumineuse que le reflet de l’Aurore Boréale sur les terres enneigées du Grand-Nord, était perdu dans ses sombres pensées, il ne sentit pas la présence timide de son ami. Shun était auprès de lui, le visage serein.
« Shun… », commença le jeune blond, dont la voix raisonna comme le chant d’un oiseau blessé.
« Chut… », chuchota la fleur timidement éclose, « Je ne veux rien entendre, Hyôga. »
Alors que sa voix presque féminine caressait déjà les sens endoloris du Cygne blessé, la chaîne si habile, qui avait toujours été sa compagne, serpenta rapidement sur le jeune chevalier et l’immobilisa.
« Que ? », commença Hyôga, mal à l’aise.
« Je ne te trahirai jamais, Hyôga… », lui susurra tendrement Shun à l’oreille avant de noyer ses émeraudes dans les glaciers fragiles de ses pupilles.
Alors que son corps se nouait au sien, bien plus expertement que ne l’avaient fait ses chaînes, il laissa ses doigts fins se perdre dans cette chevelure sibérienne et ses lèvres tremblantes tomber sur la joue froide de son ami, plus légère qu’une brise matinale et plus douce qu’un flocon de neige.
Le cygne soupira lourdement.
Il capitulait.
Allez, j'attaque les autres!!!
BISOUS!
BabyD!