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May 23, 2010 21:20

 Le Petit Prince trouvait cette planète tellement différente.   Elle n’était pas petite comme les autres planètes ; il y avait une ville grande avec plus de gens que le Petit Prince n’a jamais vu.  Pour une heure, il a traîné dans la rue.  Les bâtiments étaient plus hauts que tout - plus hauts que les baobabs !  Et tous les gens se semblaient sérieux et occupés.  Personne n’a fait attention à un petit garçon mystérieux.

Elle était très étrange, cette planète.  Le Petit Prince a remarqué qu’il y avait deux types de personne.  Le premier était les gens bien habillés qui se promènent dans la ville comme ils étaient les gens les plus importants dans l’univers.  Donc le deuxième était silencieux, et ils restaient au second plan - ils s’habillaient plus simples, et ils faisaient le travail subalterne.  C’est très bizarre, le Petit Prince a pensé.  Pourquoi ces gens travaillent sous les autres gens ?  Pourquoi ils sont tous silencieux ? 
Après de temps, le Petit Prince a décidé à demander pourquoi.  « Excusé-moi, monsieur, » il a dit.

« Je n’ai pas de l’argent pour toi ! » le bonhomme a dit brutalement ; il a disparu dans un magasin. 
La femme qui était suivante ce bonhomme a placé une main sur l’épaule du Petit Prince.  « Qu’est-ce que tu voudrais dire ? »

« Pourquoi tu le suis avec ses bagages ? » il a demandé.

« Parce qu’il est mon propriétaire, bien sur, » elle a dit.  « Tu ne viens pas de cette ville ? »

« Je viens d’une autre planète, » il a répondu.  « Pourquoi tu as un propriétaire ? »

« C’est naturel.  Il est interdit d’être son propre propriétaire si on est androïde industriel. »  Elle regardait le Petit Prince avec la confusion.  « Tu n’a pas les androïdes sur ta planète ? »

« J’ai moi, mes trois volcans, et ma fleur.  Qu’est-ce que c’est un androïde ? »

La femme s’est tournée et elle a soulevé ses cheveux.  Au dos de son cou, il y avait un petit trou de serrure.  « Quand j’ai fatigué, mon propriétaire me remonte ; il a mon clé avec lui tout le temps.  Et je fais le travail pour lui.  C’est simple. »

Le Petit Prince sentait que quelque chose était mal avec ce système.  « Mais tu es une personne.  Tu devrais être propriétaire de ton clé, pas lui. »

« Je suis une personne ? »  Elle a jeté un coup d’œil à la fin de rue.  « Il y a les gens qui ne le pense pas. »

C’était dans ce moment que son propriétaire a exigé le magasin.

Le Petit Prince a vue la clé suspendant à son cou, et il n’avait pas un chois.  Rapidement, il a empoigné la clé et il l’a jeté à la femme.  « Courez ! » il a crié.

Les deux personnages, le petit garçon et la grande femme, ont descendu la rue ensemble.  Les cris furieux les ont suivis, mais le bonhomme n’a pas donné la chasse.  Après passant trois blocs, ils ont trouvé un allé pour reprendre son souffle.

« Merci, merci, merci, » elle a dit.  Elle tint firmament sa clé avec une main ; ses articulations devinrent blanche.  « Pourquoi tu a fait ça ?  Tu es en danger !  Les autorités te chasseront ! »

« Je dois partir, » le Petit Prince a dit.  « Tu es libéré.  Ne seriez pas fâchée. »

« Je ne suis pas fâchée.  Merci beaucoup. »

Le Petit Prince a aimé cette femme.  Mais sa planète était trop bizarre.  Il a pensé, j’espère que la prochaine planète est plus raisonnable.

La prochaine planète n’était pas plus raisonnable. 
 

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