[Avent] Karneval
Karneval (et pas Carnivàle la série dont arakasi28 a parlé ici) est un manga de Touya Mikanagi, publié dans le magazine Zero Sum (qui publie aussi...Loveless, avec lequel je trouve qu'il y a plus d'un point commun)
Comment catégoriser Karneval ? C'est un peu un shôjô, car les personnages sont à fleur de peau et l'histoire s'intéresse à leurs émotions, leur ressenti. Mais c'est aussi un shônen d'action dans un univers fantastique peuplé de créatures dangereuses.
Karneval, c'est l'histoire de Nai, un adorable petit albinos avec des oreilles d'animal, qui cherche Karoku, la personne avec qui il vivait, et qui a disparu du jour au lendemain, laissant derrière lui du sang et un bracelet appartenant à une organisation gouvernementale de défense, Circus.
Sur son chemin, le naïf jeune Nai rencontre Gareki, le bishônen bad boy (c'est un pick-pocket) qui décide de le suivre en se disant qu'il pourra peut-être récupérer des sous (mais on sait bien qu'en vérité, il fait ça parce qu'il a bon cœur) (et *tousse tousse* parce qu'il trouve Nai trop choupi et qu'il craint que le pauvre gosse soit entraîné dans une ruelle sombre pour y faire des choses peu catholiques)
Ils rencontrent les membres de Circus (Hiroto, le chef binoclard tendance manipulateur, Tsukumo la sweet loli distante et gentille à la fois, et surtout....Yogi, l'abruti amical de service...vous savez, le gars qui s'en prend toujours plein la tronche parce qu'il veut prendre le tsundere/Gareki dans ses bras, et qu'on ne peut s'empêcher de shipper à fond les ballons). L'organisation s'intéresse à Nai, qui se révèle n'être pas tout à fait humain (qui s'en serait douté avec ses airs nekomimi ?), et au bracelet du mystérieux Karoku, qui a sans doute un rapport avec Kafka, une sorte de secte qui transforme ses adeptes en chimères, en mélangeant cellules humaines et...cellules d'autres choses ; les créatures ainsi crées doivent manger des humains pour survivre...et garder un aspect humain.
On subodore que le disparu est peut-être un vilain pédo pervers evil master, genre Seimei avec Ritsuka dans Loveless...enfin peut-être que ce n'est que mon instinct de fangirl qui parle, mais bon...
Nai le mignon petit albinos, Karoku le dépressif aux bangages, Yogi le blondinet toujours joyeux, et Gareki le ténébreux aimant à fangirls
Parce que Karneval, c'est du manga qualibré pour fangirls. Alors oui, je suis faible ; je vois bien les grosses ficelles : la pléiade de beaux gosses, les jolis dessins, les trucs kawaï, le fanservice (oh, tiens, pourquoi Gareki rosit quand il parle à Nai ? Pourquoi on voit le ventre de Yogi quand il se bat ?). Mais ça n'empêche, ça fait 7 tomes que je m'accroche. J'ai envie de voir Nai se faire maltraiter (owi owi, break the cutie), j'ai envie de voir Gareki tout nu (bave), j'ai envie de voir Tsukumo balbutier quand Hiroto lui enlève une feuille des cheveux (check !), et je veux voir davantage ce petit geek à goggles qui me fait penser à Matt comme personnage super secondaire ! XD Et il y a même un peu de yuri pour qui veut.
Gothloli bonsoir
(la femme aux cheveux bleus, Iva, a un crush sur Tsukumo, la blonde toute frêle...sans pour autant être une caricature de lesbienne hystérique et/ou nymphomane à la Bleach ou Trinity Blood...)
Gareki est amour...et apparemment, l'auteur est d'accord avec moi, vue le nombre de pages de garde qui lui est consacré... C'est pas sensé être Nai, le héros ?
Gareki est tsuntsun, mais sa qualité principale, peut-être, c'est d'être shippable avec à peu près n'importe qui.
Le fandom est divisé : Yogi ou Nai ?
Fanservice BONSOIR !
Un anime est en préparation
Plus sérieusement, Karneval est plein de personnages avec des caractères peut-être un peu (beaucoup ?) clichés, mais les situations sont d'autant plus intenses, cocasses, intrigantes. Les dessins sont l'un des meilleurs atouts de ce manga, même si parfois, il y a tout de même des soucis de proportions, ou alors on se perd dans les détails des fringues très élaborés. Il y a des touches de fanservice, mais rien de clairement tendancieux (dommage, dirons certaines). De plus, il s'agit d'un univers à la fois moderne (un peu steampunk ?) avec des vaisseaux, des portables, de la technologie, et fantastique, avec des créatures étranges, des pouvoirs bizarres (même s'ils seront expliqués « scientifiquement » plus tard).
Comment catégoriser Karneval ? C'est un peu un shôjô, car les personnages sont à fleur de peau et l'histoire s'intéresse à leurs émotions, leur ressenti. Mais c'est aussi un shônen d'action dans un univers fantastique peuplé de créatures dangereuses.
Karneval, c'est l'histoire de Nai, un adorable petit albinos avec des oreilles d'animal, qui cherche Karoku, la personne avec qui il vivait, et qui a disparu du jour au lendemain, laissant derrière lui du sang et un bracelet appartenant à une organisation gouvernementale de défense, Circus.
Sur son chemin, le naïf jeune Nai rencontre Gareki, le bishônen bad boy (c'est un pick-pocket) qui décide de le suivre en se disant qu'il pourra peut-être récupérer des sous (mais on sait bien qu'en vérité, il fait ça parce qu'il a bon cœur) (et *tousse tousse* parce qu'il trouve Nai trop choupi et qu'il craint que le pauvre gosse soit entraîné dans une ruelle sombre pour y faire des choses peu catholiques)
Ils rencontrent les membres de Circus (Hiroto, le chef binoclard tendance manipulateur, Tsukumo la sweet loli distante et gentille à la fois, et surtout....Yogi, l'abruti amical de service...vous savez, le gars qui s'en prend toujours plein la tronche parce qu'il veut prendre le tsundere/Gareki dans ses bras, et qu'on ne peut s'empêcher de shipper à fond les ballons). L'organisation s'intéresse à Nai, qui se révèle n'être pas tout à fait humain (qui s'en serait douté avec ses airs nekomimi ?), et au bracelet du mystérieux Karoku, qui a sans doute un rapport avec Kafka, une sorte de secte qui transforme ses adeptes en chimères, en mélangeant cellules humaines et...cellules d'autres choses ; les créatures ainsi crées doivent manger des humains pour survivre...et garder un aspect humain.
On subodore que le disparu est peut-être un vilain pédo pervers evil master, genre Seimei avec Ritsuka dans Loveless...enfin peut-être que ce n'est que mon instinct de fangirl qui parle, mais bon...
Nai le mignon petit albinos, Karoku le dépressif aux bangages, Yogi le blondinet toujours joyeux, et Gareki le ténébreux aimant à fangirls
Parce que Karneval, c'est du manga qualibré pour fangirls. Alors oui, je suis faible ; je vois bien les grosses ficelles : la pléiade de beaux gosses, les jolis dessins, les trucs kawaï, le fanservice (oh, tiens, pourquoi Gareki rosit quand il parle à Nai ? Pourquoi on voit le ventre de Yogi quand il se bat ?). Mais ça n'empêche, ça fait 7 tomes que je m'accroche. J'ai envie de voir Nai se faire maltraiter (owi owi, break the cutie), j'ai envie de voir Gareki tout nu (bave), j'ai envie de voir Tsukumo balbutier quand Hiroto lui enlève une feuille des cheveux (check !), et je veux voir davantage ce petit geek à goggles qui me fait penser à Matt comme personnage super secondaire ! XD Et il y a même un peu de yuri pour qui veut.
Gothloli bonsoir
(la femme aux cheveux bleus, Iva, a un crush sur Tsukumo, la blonde toute frêle...sans pour autant être une caricature de lesbienne hystérique et/ou nymphomane à la Bleach ou Trinity Blood...)
Gareki est amour...et apparemment, l'auteur est d'accord avec moi, vue le nombre de pages de garde qui lui est consacré... C'est pas sensé être Nai, le héros ?
Gareki est tsuntsun, mais sa qualité principale, peut-être, c'est d'être shippable avec à peu près n'importe qui.
Le fandom est divisé : Yogi ou Nai ?
Fanservice BONSOIR !
Un anime est en préparation
Plus sérieusement, Karneval est plein de personnages avec des caractères peut-être un peu (beaucoup ?) clichés, mais les situations sont d'autant plus intenses, cocasses, intrigantes. Les dessins sont l'un des meilleurs atouts de ce manga, même si parfois, il y a tout de même des soucis de proportions, ou alors on se perd dans les détails des fringues très élaborés. Il y a des touches de fanservice, mais rien de clairement tendancieux (dommage, dirons certaines). De plus, il s'agit d'un univers à la fois moderne (un peu steampunk ?) avec des vaisseaux, des portables, de la technologie, et fantastique, avec des créatures étranges, des pouvoirs bizarres (même s'ils seront expliqués « scientifiquement » plus tard).