alors ça commence
enfin, tous les fardeux sont levés que je puisse partir sans soucis. quand même l'avenir me semble encore une fois plein d'incertitude que jamais. l'université marque une étape absolument nouvelle. elle indique que j'ai grandit, il faut le démontrer. mon avenir est plus ou moins fixé, pour ça je rémercie Dieu. mais lorsque je me lance dans cette vie, c'est un chemin que je prendrai pour presque l'entière de ma vie. bien sûr c'est tout ce que j'ai voulu, et ce fait il reste. j'espère juste que je serai prêt pour cette vie. comment si je ne trouve pas de succès? ou si je ne suis pas autant capable que j'ai imaginé quand je faisait mes rêves. serai-je prêt pour l'accepter? quelque soit-il, je sais que Dieu sera ma constante pour toujours.
est-il possible d'accepter quelquechose et en même temps de regretter qu'on n'a pas fait l'autre choix? j'ai prié que la volonté de Dieu soit accomplie. j'ai dit que je l'accepterai n'importe quoi. et oui je reconnais que c'est la réponse à mes prières, et je l'ai accepté. pourtant, même si je ne suis plus autant déçu, chaque fois que j'y pense, je ressens du regret. du regret que je ne marcherai pas sur les rues de londres, que je ne porterai pas des vêtements d'épaisseur ridicule, que je n'y étudierai pas. bien sûr je sais que je devrais être reconnaissante, contente, et de quelques manières, je suis content. ces émotions disparaîtront-il jamais? peut-être après longtemps. je sais queje ne dois pas regarder en arrière après que j'ai mis la main à la charrue. je voudrais penser que puisque j'ai déjà l'accepter comme un fait que je resterai ici. je ne regarde pas vraiment en arrière. mais je t'en prie, ne te dupe pas. Dieu, s'il vous plaît, pardonnez-moi, m'aidez d'être reconnaissante, d'être contente, d'être joyeuse. au nom précieux de Jésus, amen.
et je tourne la page d'une triste histoire
qui dit que le chemin n'etait pas tellement longue