Donne-moi le goût de la vie de babydracky
Titre: Donne-moi le goût de la vie, partie 1 et 2.
Auteur:
babydracky
Pairing: Olivier/Marcus
Rating: PG-13
Type: One-shot
Nombre de mots: 10 716
Genre: Humour, romance, tragédie, le tout dans un seul one-shot
Résumé: Suite au décès de son oncle, Olivier se laisse complètement glisser dans la dépression, jusqu'à ce qu'il reçoive une aide inattendue.
Ce long one-shot m'a beaucoup émue et touchée. La descente d'Olivier dans la déprime est très bien décrite, et risque même de vous tirer des larmes. Les personnages restent très semblables au peu que l'on en sait et ne deviennent pas des figures sorties d'on ne sait où, une des choses qui me plaît dans cette histoire, et on s'y attache très vite, aussi bien au petit capitaine brisé qu'à son rugueux homologue qui se révélera finalement être celui qui connaît le mieux son éternel adversaire. Si vous aimez les histoires qui commencent mal et finissent bien, celle-ci est pour vous!
Je ne vous dis rien pour ne pas spoiler la fin...mais il y a une scène affreusement drôle à la fin qui m'a fait rire toute seule.
Tu parles ! Je ne suis plus rien Pensa Oliver alors que les larmes lui montaient aux yeux. Pourquoi ? Peut-être parce qu’il était terrorisé en cet instant, qu’il était incapable d’ouvrir les yeux, qu’il blottissait son nez contre ce bras solide, les siens, si frêles et fragiles, noués autour de cette taille stable, trouvant un effrayant réconfort contre ce corps chaud alors que le vent gelé menaçait de le dévorer, de l’aspirer pour le briser.
« S’il te plait » Expira-t-il à peine « Fais-nous descendre »
Et sa voix tremblait tout autant que ses membres.
« Wood, Wood, Wood » Lui répondit une voix étonnement amicale et souriante « Souviens-toi à qui tu parles. Tu t’égares ! T’ai-je jamais pris en pitié jusqu’à présent ? »
Auteur:
babydracky
Pairing: Olivier/Marcus
Rating: PG-13
Type: One-shot
Nombre de mots: 10 716
Genre: Humour, romance, tragédie, le tout dans un seul one-shot
Résumé: Suite au décès de son oncle, Olivier se laisse complètement glisser dans la dépression, jusqu'à ce qu'il reçoive une aide inattendue.
Ce long one-shot m'a beaucoup émue et touchée. La descente d'Olivier dans la déprime est très bien décrite, et risque même de vous tirer des larmes. Les personnages restent très semblables au peu que l'on en sait et ne deviennent pas des figures sorties d'on ne sait où, une des choses qui me plaît dans cette histoire, et on s'y attache très vite, aussi bien au petit capitaine brisé qu'à son rugueux homologue qui se révélera finalement être celui qui connaît le mieux son éternel adversaire. Si vous aimez les histoires qui commencent mal et finissent bien, celle-ci est pour vous!
Je ne vous dis rien pour ne pas spoiler la fin...mais il y a une scène affreusement drôle à la fin qui m'a fait rire toute seule.
Tu parles ! Je ne suis plus rien Pensa Oliver alors que les larmes lui montaient aux yeux. Pourquoi ? Peut-être parce qu’il était terrorisé en cet instant, qu’il était incapable d’ouvrir les yeux, qu’il blottissait son nez contre ce bras solide, les siens, si frêles et fragiles, noués autour de cette taille stable, trouvant un effrayant réconfort contre ce corps chaud alors que le vent gelé menaçait de le dévorer, de l’aspirer pour le briser.
« S’il te plait » Expira-t-il à peine « Fais-nous descendre »
Et sa voix tremblait tout autant que ses membres.
« Wood, Wood, Wood » Lui répondit une voix étonnement amicale et souriante « Souviens-toi à qui tu parles. Tu t’égares ! T’ai-je jamais pris en pitié jusqu’à présent ? »