(no subject)
Thème : Nouveau chaque matin.
Personnages : Seishiro/ Subaru.
Série : X-1999.
Rating : PG
Spoilers : Tokyo babylone.
Note : Les personnages de x-1999 ne m'appartiennent pas, hélas!!!! ils sont à Clamp!.
M'excuse d'avance, toujours pas d'inspi! TT les vacances n'aident pas tout le monde! ^^ Mais bon, fallait bien que je fasse une fic dans les délai!!! *gand sourire... et sort*
21. Une étoile s'éteint...
Il est des étoiles qui ne savent plus briller
quand fatiguées de la nuit, elles se laissent emporter
Il est des étoiles qui ne savent plus guider
ce qui se perdent dans les océans déchainés..
je fus une étoile, brillante et inconsolée
celle que doucement, la nuit à emporter
un soir sur le monde, triste et abandonnée
je me suis éteinte, sans une larme versées..
Le ciel pleure ce soir, comme mon âme. Sur ce visage où aucune larme ne peut couler désormais, la pluie trace ses arabesques comme autant de sanglots que je ne pourrai verser. Depuis ce jour là, à chaque fois que je m'éveille, je la ressens. Si différente, et pourtant, toujours pareille. Comme nouvelle à chaque fois, mais toujours liée à toi.
Mes pas se font lourds, alors que de loin déjà, je vois l'inquiétante silouhette du raimbow bridge se dessiner. Un pont pour nous relier. Un pont pour nous séparer. Ce soir, je veux en finir avec toi comme je veux la quitter, elle qui étreint mon coeur depuis tant d'années, et me hante, à chaque fois que mes yeux se rouvrent sur le monde après une nuit de sommeil.
Comme l'aube s'éveille, elle apparait. Forte et logée en mon coeur, telle un monstre secret, elle me dévore, mais jamais de la même manière. Soeur du remord et des regrets, il me semble désormais ne connaitre plus qu'elle et ses caresses, si délicieusement douloureuses, qui me rappelle combien, je suis encore faible. Elle m'étreint peu à peu et m'eintrainer dans la folie, mais elle est tout ce qui me reste. Tout ce qui me reste de toi, et d'Hokuto. Parfois, j'aimerai qu'elle me tue, et m'emporte avec elle. mais hélas, elle ne le peut, se jouant de moi, et ne faisant qu'assombrir mon regard, pour le rendre aussi profond et triste qu'un océan après un orage.
Naufragé dans mon âme, je me perds dans les vagues de l'incertitude. Et tout ce à quoi je semble pouvoir m'accrocher, se dérobe sous mes mains. Et j'attends. J'attends qu'elle me submerge, enfin. Et me laisse finalement le repos auquel j'aspire depuis tant d'années...
Alors, je n'ai plus le choix. Pour qu'elle m'emporte, il faut que j'arrive à te vaincre. A briser ce qui, encore, me retient à cette terre. Je m'arrête un moment sous la pluie, la main dans ma poche, tendant l'autre vers le ciel, avant de lui offrir mon visage, et de fermer les yeux, savourant l'étreinte froide des pleurs du ciel. Ce soir, tout sera fini. Elle gagnera. Et ne renaîtra plus, comme chaque matin, nouvelle à chaque fois, toujours plus forte, toujours différente.
Ma seule compagne désormais, fidèle comme une ombre. Elle, dont je ne peux me défaire, à présent. Encrée en moi comme un navire à son port, je sais à présent qu'aucun vent ne me portera assez loin pour m'en défaire. Je soupire, las. J'ai hate que tout cela finisse. Qu'enfin, je sois libre...
Mes pas reprenne vie d'eux-même. je marche, enfin, je le crois bien. dans la brume, entre les gouttes étincellantes à la lueurs des reverbères, je le vois apparaitre, se dessinant à l'horizon comme crée ce soir rien que pour nous. Pourquoi a t-il fallu que tout finisse ainsi?
Et encore, à présent, je le ressens. Cette douleur, qui n'a jamais été aussi forte. Qui ne se pare que plus d'artifices, qui se fait encore et toujours unique, se renouvelle et me serre comme dans un étau... Encore quelques pas, et j'y serai. Encore quelque pas, et la fin pourra commencer...
***********************
Comme le vent tourne et change de direction, comme le pétale de cerisier danse dans la brise, les gens savent aussi changer. Mais je n'en connait pas un seul, qui ait su t'égaler. Tu fut bien la proie la plus distrayante que j'ai eu, et ce soir, j'aurai le plaisir de te libérer du poids de ton regard si triste. Subaru-kun, voilà bien longtemps, que je ne n'ai eu la chance de voir dans tes yeux cette infinie tristesse et cette douleur menaçant de toujours t'emporter, alors que, inconsciemment, tu ne cesse de te débattre pour vivre encore, dans le but de me tuer...
Voilà une chose bien étrange, que les sentiments d'un homme. Si douloureux, et si paradoxaux. Voir un coeur se meurtrir, quoi de plus distrayant. Sous un ciel assombri par les nuage, la petite étoile va bientôt disparaitre sans même avoir réussi à apercevoir la lune. ( 1) Ce soir, un astre s'éteindra. C'est étrange, on dirait que cela me fait presque de... la peine... Si l'on puit dire cela. je crois que je m'étais habitué à te traquer, subaru, à te voir me lancer ces regards emplis de haine, et d'adoration. Tu es devenu ma création. Car c'est entre mes mains, que tu t'es façonné, pour devenir ce qu'aujourd'hui tu es.
Nouveau, à chaque fois...
Sans cesse forgé par la douleur incessante de notre rencontre. dévoré par elle, jusqu'à ne faire plus qu'un avec elle. je t'ai vu changer, et de métamorphosé, sous ses coups et sa violence. désormais Subaru, tu es mien, et tu le sais. Nouveau à chaque fois, mais éternellement à moi. Tu m'appartiens, comme l'océan est à la tempête, et le ciel est aux étoiles...
Petite constellation, ce soir, je t'enverrai rejoindre les étoiles. la terre n'est plus faite pour abriter une âme aussi pure que la tienne. Dragon du ciel, il est temps pour toi de reprendre ton envol, et ta liberté...
Au loin le raimbow bridge se dessine enfin. Un pont pour nous relier, et en finir. Voilà bien l'ironie du sort. Bientôt, je verrai ta silouhette fantômatique se dessiner, ce corps sur fin dans ce manteau blanc, et ce regard teinté de mélancolie, que les années et le malheur ont assombrit. Un regard neuf, ou le vert de l'emeuraude (2) s'est vu vaincu par la teinte nuitée de la mélancolie.
La pluie tombe doucement, et vient embrasser le sol de ses pleurs, reliant ciel et terre dans une ultime étreinte teintée de tristesse. Jamais aucun orage ne m'a semblé aussi triste, et aussi beau. ce soir, dans le ciel, une étoile devra s'éteindre. Un combat s'engagera entre dragons du ciel, et dragons de la terre...
Entre le ying et le yang...
Entre toi et moi...
Que finisse ce soir des années de malheur, pour la petite étoile.
Il est des étoiles que l'on sait oublier
celles là même qui avant éclairer
un monde cruel de leur tendre clarté
celle qui guidait les âmes esseulées...
Je fus un voyageur, une étoile j'ai suivit
mais quand la nuit est venu, elle s'est endormie
dans les ténèbres elle s'est éteinte à jamais
et moi pour l'éternité, je resterai à la chercher...
(1): Subaru est le nom japonais correspondant à la constellation de la Pléiade.
(2): Dans tokyo babylone, Subaru à les yeux verts.
Personnages : Seishiro/ Subaru.
Série : X-1999.
Rating : PG
Spoilers : Tokyo babylone.
Note : Les personnages de x-1999 ne m'appartiennent pas, hélas!!!! ils sont à Clamp!.
M'excuse d'avance, toujours pas d'inspi! TT les vacances n'aident pas tout le monde! ^^ Mais bon, fallait bien que je fasse une fic dans les délai!!! *gand sourire... et sort*
21. Une étoile s'éteint...
Il est des étoiles qui ne savent plus briller
quand fatiguées de la nuit, elles se laissent emporter
Il est des étoiles qui ne savent plus guider
ce qui se perdent dans les océans déchainés..
je fus une étoile, brillante et inconsolée
celle que doucement, la nuit à emporter
un soir sur le monde, triste et abandonnée
je me suis éteinte, sans une larme versées..
Le ciel pleure ce soir, comme mon âme. Sur ce visage où aucune larme ne peut couler désormais, la pluie trace ses arabesques comme autant de sanglots que je ne pourrai verser. Depuis ce jour là, à chaque fois que je m'éveille, je la ressens. Si différente, et pourtant, toujours pareille. Comme nouvelle à chaque fois, mais toujours liée à toi.
Mes pas se font lourds, alors que de loin déjà, je vois l'inquiétante silouhette du raimbow bridge se dessiner. Un pont pour nous relier. Un pont pour nous séparer. Ce soir, je veux en finir avec toi comme je veux la quitter, elle qui étreint mon coeur depuis tant d'années, et me hante, à chaque fois que mes yeux se rouvrent sur le monde après une nuit de sommeil.
Comme l'aube s'éveille, elle apparait. Forte et logée en mon coeur, telle un monstre secret, elle me dévore, mais jamais de la même manière. Soeur du remord et des regrets, il me semble désormais ne connaitre plus qu'elle et ses caresses, si délicieusement douloureuses, qui me rappelle combien, je suis encore faible. Elle m'étreint peu à peu et m'eintrainer dans la folie, mais elle est tout ce qui me reste. Tout ce qui me reste de toi, et d'Hokuto. Parfois, j'aimerai qu'elle me tue, et m'emporte avec elle. mais hélas, elle ne le peut, se jouant de moi, et ne faisant qu'assombrir mon regard, pour le rendre aussi profond et triste qu'un océan après un orage.
Naufragé dans mon âme, je me perds dans les vagues de l'incertitude. Et tout ce à quoi je semble pouvoir m'accrocher, se dérobe sous mes mains. Et j'attends. J'attends qu'elle me submerge, enfin. Et me laisse finalement le repos auquel j'aspire depuis tant d'années...
Alors, je n'ai plus le choix. Pour qu'elle m'emporte, il faut que j'arrive à te vaincre. A briser ce qui, encore, me retient à cette terre. Je m'arrête un moment sous la pluie, la main dans ma poche, tendant l'autre vers le ciel, avant de lui offrir mon visage, et de fermer les yeux, savourant l'étreinte froide des pleurs du ciel. Ce soir, tout sera fini. Elle gagnera. Et ne renaîtra plus, comme chaque matin, nouvelle à chaque fois, toujours plus forte, toujours différente.
Ma seule compagne désormais, fidèle comme une ombre. Elle, dont je ne peux me défaire, à présent. Encrée en moi comme un navire à son port, je sais à présent qu'aucun vent ne me portera assez loin pour m'en défaire. Je soupire, las. J'ai hate que tout cela finisse. Qu'enfin, je sois libre...
Mes pas reprenne vie d'eux-même. je marche, enfin, je le crois bien. dans la brume, entre les gouttes étincellantes à la lueurs des reverbères, je le vois apparaitre, se dessinant à l'horizon comme crée ce soir rien que pour nous. Pourquoi a t-il fallu que tout finisse ainsi?
Et encore, à présent, je le ressens. Cette douleur, qui n'a jamais été aussi forte. Qui ne se pare que plus d'artifices, qui se fait encore et toujours unique, se renouvelle et me serre comme dans un étau... Encore quelques pas, et j'y serai. Encore quelque pas, et la fin pourra commencer...
***********************
Comme le vent tourne et change de direction, comme le pétale de cerisier danse dans la brise, les gens savent aussi changer. Mais je n'en connait pas un seul, qui ait su t'égaler. Tu fut bien la proie la plus distrayante que j'ai eu, et ce soir, j'aurai le plaisir de te libérer du poids de ton regard si triste. Subaru-kun, voilà bien longtemps, que je ne n'ai eu la chance de voir dans tes yeux cette infinie tristesse et cette douleur menaçant de toujours t'emporter, alors que, inconsciemment, tu ne cesse de te débattre pour vivre encore, dans le but de me tuer...
Voilà une chose bien étrange, que les sentiments d'un homme. Si douloureux, et si paradoxaux. Voir un coeur se meurtrir, quoi de plus distrayant. Sous un ciel assombri par les nuage, la petite étoile va bientôt disparaitre sans même avoir réussi à apercevoir la lune. ( 1) Ce soir, un astre s'éteindra. C'est étrange, on dirait que cela me fait presque de... la peine... Si l'on puit dire cela. je crois que je m'étais habitué à te traquer, subaru, à te voir me lancer ces regards emplis de haine, et d'adoration. Tu es devenu ma création. Car c'est entre mes mains, que tu t'es façonné, pour devenir ce qu'aujourd'hui tu es.
Nouveau, à chaque fois...
Sans cesse forgé par la douleur incessante de notre rencontre. dévoré par elle, jusqu'à ne faire plus qu'un avec elle. je t'ai vu changer, et de métamorphosé, sous ses coups et sa violence. désormais Subaru, tu es mien, et tu le sais. Nouveau à chaque fois, mais éternellement à moi. Tu m'appartiens, comme l'océan est à la tempête, et le ciel est aux étoiles...
Petite constellation, ce soir, je t'enverrai rejoindre les étoiles. la terre n'est plus faite pour abriter une âme aussi pure que la tienne. Dragon du ciel, il est temps pour toi de reprendre ton envol, et ta liberté...
Au loin le raimbow bridge se dessine enfin. Un pont pour nous relier, et en finir. Voilà bien l'ironie du sort. Bientôt, je verrai ta silouhette fantômatique se dessiner, ce corps sur fin dans ce manteau blanc, et ce regard teinté de mélancolie, que les années et le malheur ont assombrit. Un regard neuf, ou le vert de l'emeuraude (2) s'est vu vaincu par la teinte nuitée de la mélancolie.
La pluie tombe doucement, et vient embrasser le sol de ses pleurs, reliant ciel et terre dans une ultime étreinte teintée de tristesse. Jamais aucun orage ne m'a semblé aussi triste, et aussi beau. ce soir, dans le ciel, une étoile devra s'éteindre. Un combat s'engagera entre dragons du ciel, et dragons de la terre...
Entre le ying et le yang...
Entre toi et moi...
Que finisse ce soir des années de malheur, pour la petite étoile.
Il est des étoiles que l'on sait oublier
celles là même qui avant éclairer
un monde cruel de leur tendre clarté
celle qui guidait les âmes esseulées...
Je fus un voyageur, une étoile j'ai suivit
mais quand la nuit est venu, elle s'est endormie
dans les ténèbres elle s'est éteinte à jamais
et moi pour l'éternité, je resterai à la chercher...
(1): Subaru est le nom japonais correspondant à la constellation de la Pléiade.
(2): Dans tokyo babylone, Subaru à les yeux verts.