(no subject)

Aug 12, 2006 20:35


Auteur :
atomicfrog83
Fandom : H2G2
Thémes : Beaucoup ! 17 18 21 22 23 25 26 28 29 33 39 43 44 46 49 et 50
Rating : PG - 13 dans l'ensemble.
Disclamer : tout est a Douglas Adams

17. Un coeur sombre qui bat

Le trait sombre d'un marqueur defilait sur la cuirasse blanche de Marvin. La pointe noir rejoignit le debut du dessin et se retira de la surface froide. Tricia reboucha le stylo avec un sourire joyeux.

- Et voilà , tu es tout beau maintenant.Chantonna t elle en se relevant.

- Ha bon, je ne l'était pas avant? Et de plus je doute qu'un graffiti au style préhistoiriquo-attardé me rende plus appréciable à des yeux organique.

- Arrete je ne dessine pas si mal. Tu vas pouvoir faire le joli coeur.

- Haha... très drôle. Votre humour est pitoyable. Je suis ridicule afublé ainsi d'un coeur sans aucune veracité biologique.

L'humaine soupira puis tapota le petit dessin en imitant le bruit d'un battement de coeur.

- Le rythme n'est pas bon. Vous oubliez la diastole. Pitié enlevez moi ca.

- Non ! Je te trouve bien plus gai comme cela. Peu être qu'avoir un coeur te rendra moins penible.

- Vous me le brisez.

Fin

Vive Marvin ! Pour info, la diastole, j'ai beau être en biologie je ne sais jamais a quel étape de la pulsationcardiaque elle correspond ;p

18. L'odeur des hôpitaux en hiver

Ford était blessé. Mais pas une petite griffure de felix domesticus, une énorme entaille dans la cuisse qui degoulinait de sang alors que Zaphod essayait d'endigué le flots d'injure typiquement Betelgeusiennes qui se deversé de la bouche de son demi cousin. Marvin avait affirmer avoir des connaissance en medecine et Trill était aller chercher une trousse de soin, a Arthur échouer le rôle de comprimer la blessure aux vives couleurs.

Lorsque l'humaine revint elle versa une bonne dose de desinfectant dans le gouffre sanguinolant, sans pitié pour le pauvre Ford. Une odeur acre s'échappa de la bouteille, la même odeur que celle des hôpitaux. Arthur avait horreur des hôpitaux autant qu'il detestait l'hiver. Ses pensées s'egaraient dans un souvenir trop vieux et ses mains relachairent leurs pressions. Une giclée d'hemoglobine le sortit de ses divaguations.

- Meseigneurs tenez le bien, je vais le recoudre.

Les trois humanoïdes se jettairent sur le blessé et l'anestesierent de la façon la plus radicale qui soit.

Fin

Bon c'est trés moyen je sais !

21. Nouveau chaque matin

Chaque matin c'était la même chose, les mêmes gestes vains, le même espoir inutile, pour un résulta chaque fois different.

Les paupières du terrien expatrié s'ouvrirent sans préavis et reveillèrent leurs propriétaires. Automatiquement, il se redressa sur son séant et enfila sans éternel peignoir. Il enfila ces pantoufles comme d'habitude et se dirigea vers ce qui resemblait à une cuisine, mais qui de son point de vu n'en serait jamais une pour une raison que nous évoquerons plus tard. Ainsi donc il penetra dans cette similie cuisine spatialo-futuriste. Il se cuisina deux toasts au beurre et généra un fruit un peu trop brillant. Puis il se dirigea vers son défi, son challenge, sa bataille, le synthétiseur de boissons nutri-matic. Il commanda un thé et la machine se mit aussitôt a ronronner, bourdonner et enfin elle vomit une boisson qui resemblait à, a peu prés tout sauf du thé. Il le gouta et fut totalement reveillé.

Chaque matin cette machine créait une boisson ni tout a fait la même ni tout à fait une autre et s'attirait les foudres d'Arthur qui ne manquait pas de lui décocher un bon coup de poing, vite regretté.

Fin

Le nutri-matic, terrible machine alien crée dans le seul but de tous nous detruire... le palais

22. Le rire des femmes

Un rire claire, éclatant comme un soleil. Simple mais doux. Trill riait à s'en faire éclater les côtes. Elle se moque de moi.Comme d'habitude. Mais je ne dit rien. Son rire est comme tout ces rires des femmes que l'on aime délicieux, acidulé, comme un tartine de marmelade d'orange.

- Trill ma puce, arrete de glousser comme une dinde et viens m'aider à faire fonctionner ce fichu générateur d'improbabilité.

- Merde Zapho, vous êtes un incapable !

- Pitoyable n'est t il pas.

Je soupir et tapote la tête du robot avant de repartir me battre contre le synthétiseur de boissons nutri-matic.

Fin

Je suis fan du nutri-matic !!!

23. la vérité et les pêches

- Tu aimerais manger des pêches mais pas moyen de trouver quelque chose qui s'en approche dans tout ce fichu univers, alors tu aimerais beaucoup que nous retournions sur terre pour faire le plein de chose comestible... On pourrait aussi prendre du thé comme ca tu me cassera moins les ...TRILL LACHE CE FLINGUE !

Fin

Trés nul celui ca, mais le theme est pas facile.

25. Une vie de méduse

Marvin apportat un tasse de café a Tricia, puis s'en alla tournait deux fois autour du large sofa trôna au centre de la salle de commande. Il calcula son volume, son air, son poid théorique, une trajectoire en cas de freinage brusque, Il compara ensuite la positionde ce meuble avec les regles de base de la décoration d'interieur, il modifia l'angle fenêtre sofa de deux virgules trois radians. Il dodelina de la tête et chercha quelque chose a faire, mais rien de lui vien alors il s'adossa dans un coin avant de se mettre en veille.

- Il resemble à une méduse.

- Arthur !

- Trill à raison, Tristan, il est mille fois plus déprimant qu'une méduse.

Fin

Trés bof aussi , piouf, enfaite je fait rien de terrible.

26. Lueur anti-solaire

- Le soleil emet un rayonnement lumineux puissant se deplacant a 3.108 m/s .On sait aussi que ce même rayonement est aspiré irremédiablement par les restes d'une étoile ayant implosé et formé un masse de plusieur milliard de tonnes concentré dans une tête d'épingle induisant une courbure dans l'espace temps et une force de gravité phénomémale, c'est un trou noir. Le trou noir aspire tout ce qui passe a sa portée et même la lumière.

Où passe cette lumière? Des scientifiques suppose que toute cette matière duement ecrasée broyée et recomposée ressort quelques par, sous forme de ce qu'on pourrais appeler une fontaine blanche ...

- Marvin ca suffit !!! Quand je demandais « Qu'est ce que ca peut bien être » c'était simplement par rhétorique, et par effet dramatique, je n'avais pas besoin d'un cours sur l'astrophysique !!

- Bien, restez dans votre crasse ignorante.

Fin

Et la j'étale ma science ;pp

28. Sous ces mains

Des courbes généreuses défilaient sous ses mains expertes, leurs textures douces et dorées le metait dans touts ces états. Il explora de ses doigts les collines, les monts, les fossés et le plaines encore vierge qu'il avait longtemps cherie et longuement retrourné dans sa tête. Les touchaient enfin était un bonheur, une exaltation. Il n'y voyait pas de defauts, elle était parfait totalement parfaite. Un sourire de satisfaction se dessina sur ses lèvres fines, il retira ses mains de peur d'en abimer les contours.

Il avait fait du bon boulot, toute en finesse. Slartibartfast était fière de lui mais il lui fallait un nom qui sonne. Nar... Nor...Norgien... Norvege ... Oui Norvege c'est pas mal... Ce serait prometeur. Un vrai travaille d'orfevre. Il recevrait surement un prix ce felicita t il enfin.

Fin

Slartibartfast POWA !!!!

29. Des choses dans des corps célestes

Pendant ce temps à vera cruz :

Paolo deballe son cadeau d'anniversaire. Quel bonheur un telescope. Ses parents avez sué sang et eaux pour lui payer cette petite chose que leur avait si souvent reclamer Paolo qui adorait regarder les étoiles. Il sortit tout de suite de la petite maison et pointa le telescope vers le ciel.

- Que c'est beau ! Dit il en espagnol mais je ne connais pas la langue alors voilà.

- Je suis content que ca te plaise. Repondit le père petri de fierté.

Le petit garçon pointa l'objectif vers la lune. Il était bouche bée d'admiration pour cette nature magnifique.

- Montre moi ca. Demanda la mère tout sourire.

L'enfant lui laissa la place. Elle mis son oeil devant l'objectif et regarda intriguée.

- Mon fils, il y a quelque chose de bizarre dans la lune.

L'enfant repris son post d'observation et fronça les sourcils.

- Tu as raison. Il y a un point sur la lune et il grossit vite.Je ne sais pas du tout ce que c'est. En tout cas ce n'est pas normal. Annonça le petit astrophysiscien en herbe.

Les parents se signèrent , en prois à une peur, qui sera bientôt justifié.

- Mama, c'est devenut énorme et il y en a plein de ciel. C'est affreux.

- L'apocalypse... Seigneur épargnez nous.

La petit famille s'agenouilla et pria avec une ferveur non feinte. Mais ca ne servira à rien.

- Peuple de la terre, je réclame votre attention! Ici Prosternique Vogon Jeltz, du conseil de planification de l'hyperspace galactique...

Fin

Et d'ou quelle vien la première phrase? Héhéhé

33. L'opposé de la foi

La foi, c'est croire en un avenir meilleur, en une beinveillance universelle, c'est une confiance absolue en la vie, l'amour l'espoir. Alors quand poursuivit par toute une armadat beliqueuse de simili vampires dans un champ d'asteroïdes instable, et moteur à improbabilité en train de bruler, Marvin annonce de sa voix electroniquement monotone et deprimante.

- Je pourrais calculer vos chance de vous en sortir mais cela ne vous plaira pas.

La foi s'envole est se change en rage. En haine pure, haine de la mort, des autres et de cette malveillance universelle.

Fin

Cher cher Marvin ^__^

39. Le besoin de ne plus bouger

Face au fameux hanneton glouton de tron, Arthur ne trouva pas mieux que d'apliquer les conseils sur professeur bidule dans jurassic parc, c'est a dire ne plus bouger. Mais seul les dents acerées avait une quelquonc resemblance avec un T-rex ridicule. D'ailleur le guide précisait à ce sujet :

Si vous vous trouver face au terrible hanneton glouton de Tron, votre seule chance de survie est que la bête meure d'un crise cardiaque fulgurant. Alors si vous vous trouvez dans cette situation, faite comme bon vous semble et surtout voyez le côté possitif.

Heureusement Arthur n'avait pas eu le temps de ce renseigner sur la bestiole.

Fin

43. Des yeux qui se rencontrent par-delà le bruit

Ce barrile métalique qui avait du un jour servir a contenir quelque chose et qui aujourd'hui abritait Ford et Arthur du feu nourrit des vogons, ne servirait visiblement plus a contenir quelque chose de plus petit qu'une boule de bowling. Derrière un ancienement joli petit murait se planquait Tricia et Zaphod.

Comment ce sortir de la ? Le terrien regardait ces vis à vis avec angoisse mais surtout il regardait l'autre rescapée de l'ordinateur consus par pensée profonde. Soudain l'un de ces neurone ce deconecta et l'angoisse s'envola au profit de cet autre sentiment étrange contre lequel il lutter depuis un peu avant la destruction de son foyer.

Il voulu crier quelque mots à Tricia. Mais le bruits des lazers vogons emplisaient l'air et couvraient la voix d'Arthur Dent descendant du singe.

A ce même moment Trill descendante du singe également, voulu elle aussi crier quelque chose a son homologue et elle captat le regard d'Arthur soudain subjugué.

Elle compris aussitôt et malgrés la situation, elle lui sourit. Mais cette mimique fut une erreur, un autre neuron du terrien ce deconnecta et lui intima de ce levé pour rejoindre ce sourire aimé.

Monumentale erreur.

Fin

POUWA C'est cucul !!

44. La possibilité de zero

- Ordinateur ? Cria Zaphod

- Salut les copins, mais appelé moi Eddi ca me fera plaisir. Que puis je faire pour vous par cette magnifique matiné de...

- Commence par te taire.

- Existe t il une improbabilité de zero? Demanda Ford à la suite d'un pari stupide avec son semi-demi-frere et cousin.

- Bien évidement ! Je pourrais vous la calculer si vous voulait ?

- Ouai pourquoi pas.

Il y eu un silence puis toute les lumières s'éteignirent, les écrans devinrent bleu et le doux ronronnement des moteurs se tue.

- J'ai gagné ! Ford mon pote tu me doit ... euh qu'est ce qu'on avait parié ?

Fin

46. Eloge des surfaces

Dans une salle splendide à la coupole dorée et à l'estarde demesuré, ce tenait la 398 em cérémonie de remise des prix d'exellences de l'artisanat intergalatique. Au milieu de la foule hétéroclyte Slartibartfast croisé les doigts, il avait mit tout son coeur dans son travaille et esperait beaucoup de son oeuvre.

Entre le plus beau designe de teleporteur alternatif de secours et le meilleur générateur de beignet à la crème Vegasienne, l'animateur l'appela et luis remit une imonde statuette en plaquet or pour son exellent travaille sur les cotes norvegienne sur la planete artificielle, Terre.

Fin

J'adore ce personnage ^__^

49. Demain est quelque chose que nous nous rappelons

Entre deux bouchées de salade, Arthur demanda.

- Alors nous somme dans le futur?

- Oui, au dernier restaurant avant la fin du monde. Donc oui nous sommes dans le futur. C'est logique. Osa lui repondre Ford avant d'engloutir un enorme morceau de la vache qui était venu leurs parler plutôt.

- Logique, oui. Mais comment retournont nous exactement à notre époque?

- Et bien y a des machines pour ca ! Arrete de te creuser la tête c'est pas bon pour les comme toi. Postillonna Zaphod.

- On peu aller dans le passé aussi?

- Ouaip, d'ailleur j'ai un ami qui est son propre arriere grand père.

- Je ne comprend pas. Alors ca veux dire que le futur du moment ou en est est deja écrit? La fatalité existe le destin et toute ces conneries !

- Ouai mais pourquoi tu t'ennerve? S'interrogea Ford

- Ca veut dire que tout ce que je fait est déjà prevu planifié. C'est horrible ! Imaginons que je voit mon demain, et que je deside de ne rien faire comme mon demain, est ce possible ? Non je changerait le futur au risque de ne pas être ici aujourd'hui !!! C'est affreux.

- Tu réfléchit trop Arti, tu te fait du mal. Ironisa le president. Essayer de comprendre la complexité de l'univers dans sa globalité à était reconnu comme suicidaire par plusieurs scientifique. C'est même une peine de mort assez sympatique. J'ai tester, c'est cool.

- Ha ... Bon.

Il piqua un bou de laitue et ne chercha pas a en comprendre plus.

Fin

J'ai rien compris non plus

50. Aussi proche que maintenant

Couvert d'un simple drap de...quelque chose s'approchant vaguement de la soie. Arthur Dent serrait tendrement Trillian dans se bras pataud. Il avait envie de parler de se confier. Etrange cette sensationde pleinitude de confiance absolue, qui durant quelque temps vous pousse a croire n'importe quoi et surtout a dire n'importe quoi.

- Trill. Je n'ai jamais était aussi proche de quelqu'un que de toi, maintenant.

La jeune femme leva les yeux vers lui et essaya de comprendre ce qu'il voulais dire.

1 : Est ce que cela veut dire quelque chose 2 : Etait ce important 3 : C'est un anglais a quel degrées doit elle le comprendre.

Conclusion.

- Tu veu dire que tu n'avait jamais fait ... Enfin que tu es ... Rhohohoho.

- QUOI? ... Quoi? HO ! Noooon, enfin pas vraiment.

- Pas vraiment ?! HAHAHAH

- Non ce n'est pas ce que ... Arrete de rire c'est très vexant.

- Rappele moi ton âge. Houhouuuhouou.

- La, tu es insultante ! J'essay d'être aimant et gentil, et voilà ce que tu me dit.

Trillian lui lanca un large sourire avant de se lover contre lui sans autre forme d'excuses.

Fin

et pour la fin un super scene harchi cucul. Désolé.

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