Bon je t'avais laissé une super longue review très cohérente et constructive dont j'étais fière, et puis elle a été bouffée par ce méchant LJ.
Donc j'imagine qu'il ne me reste qu'à recommencer... (*fuck it je déteste être toute collée*... enfin je sais pas pourquoi je te dis ça mais on s'en fout).
Premièrement, laisse-moi te dire que ça aurait été une foutue perte pour les lecteurs si tu n'avais écrit que cinq petits bébés paragraphes. On aurait manqué tout CA. Par chance pour nous, tu as fait autrement, et c'est tant mieux. De toute façon, c'est pas vraiment toi d'écrire des petites lignes de rien du tout, donc laisse les drabbles aux débutants. Toi t'es dans la cour des grands depuis longtemps je ne crois pas avoir besoin de te le rappeller (fuck la fausse modestie)...
Ceci étant dit je te dis merci d'avoir pondu ceci. Merci c'est un mot qu'on déblatère constamment sans vraiment trop penser à ce que ça signifie ou si ça signifie vraiment quelque chose. On le dit machinalement et puis hop on passe à autre chose, mais ce merci là il vaut bcq pour moi. Ca me fait un bien fou de pouvoir à nouveau te lire tu sais. T'as pas idée à quel point. Donc un grand MERCI.
Sinon que dire à part ceci: très jolies histoires. Oui, c'est vrai que c'est simple comme mot, mais c'est vrai. J'aimerais trouver autre chose de plus original ou de plus punché ou profond, mais c'est le premier mot qui m'est venu à l'esprit à la fin des cinq histoires. C'est magnifiquement beau. C'est ce qui m'a toujours plu chez toi cette façon d'écrire des choses ou événements de la vie, qui couchés sur papier par d'autres auraient l'air banals et sans intérêt, mais qui, par toi, sont tout simplement magiques.
Sinon oui tes histoires n'ont pas de liens entre elles, mais même là, elles forment un tout quelque peu cohérent, une continuité, qui ravissent autant nos yeux et nos membranes cérébrales (waw, conseil de moi à moi: lâche la drogue poulette).
J'ai particulièrement adoré les deux premières histoires sur l'enfance et la découverte de la sexualité de Brian. D'abord parce que c'est foutrement bien écrit, les émotions présentes sont ressenties par le lecteur (ouais enfin par moi quoi)et parce que j'imagine assez bien Brian dans une telle ambiance familiale. Ca permet de sortir du cadre habituel du Brian trou de cul, arrogant, sans coeur mots lancés sans trop de raisons apparentes *rires*, pour se concentrer vraiment sur Brian Kinney, l'être en devenir *et quel putain d'être il deviendra une fois adulte*. Ce que tu lui fais vivre expliquerait pourquoi il est maintenant ce qu'il est. C'est tout à fait lui, sa vie, son univers, son mode de pensée...
Donc voilà mot mot c'est pas grand chose, mais ça vient de mon fond comme on dit ici.C'est ma façon de te montrer à quel point j'apprécie tes histoires et surtout celle qui se cache derrière ^^
Sinon je veux pas mon susucre (même si je le mériterais après avoir écrit tout ceci lol): j'ai quelque peu mal au coeur en ce moment.
Donc voilà ma toujours aussi bonne twinnie, continue can't wait for the rest car, comme le dit la chanson que j'écoute en ce moment: *it gets me higher* !
Merci de me dire merci ma très chère consoeur ineffable ! ^^ C'est vrai que maintenant que j'y pense, cinq malheureux paragraphes, ça aurait été un peu short ... Et puis c'est génial quand on part d'une idée simple qu'on pense développer en deux temps trois mouvements, et qu'on finit par se retrouver avec un truc énorme, qui découle tout naturellement. Ca fait du bien.
Je suis très contente d'avoir réussi à retranscrire le Brian passé et le Brian présent sans le faire trop OOC. Je l'aime trop pour le louper grossièrement. Allez, plus que cinquante ! ^^
Bon je t'avais laissé une super longue review très cohérente et constructive dont j'étais fière, et puis elle a été bouffée par ce méchant LJ.
Donc j'imagine qu'il ne me reste qu'à recommencer... (*fuck it je déteste être toute collée*... enfin je sais pas pourquoi je te dis ça mais on s'en fout).
Premièrement, laisse-moi te dire que ça aurait été une foutue perte pour les lecteurs si tu n'avais écrit que cinq petits bébés paragraphes. On aurait manqué tout CA. Par chance pour nous, tu as fait autrement, et c'est tant mieux. De toute façon, c'est pas vraiment toi d'écrire des petites lignes de rien du tout, donc laisse les drabbles aux débutants. Toi t'es dans la cour des grands depuis longtemps je ne crois pas avoir besoin de te le rappeller (fuck la fausse modestie)...
Ceci étant dit je te dis merci d'avoir pondu ceci. Merci c'est un mot qu'on déblatère constamment sans vraiment trop penser à ce que ça signifie ou si ça signifie vraiment quelque chose. On le dit machinalement et puis hop on passe à autre chose, mais ce merci là il vaut bcq pour moi. Ca me fait un bien fou de pouvoir à nouveau te lire tu sais. T'as pas idée à quel point. Donc un grand MERCI.
Sinon que dire à part ceci: très jolies histoires. Oui, c'est vrai que c'est simple comme mot, mais c'est vrai. J'aimerais trouver autre chose de plus original ou de plus punché ou profond, mais c'est le premier mot qui m'est venu à l'esprit à la fin des cinq histoires. C'est magnifiquement beau. C'est ce qui m'a toujours plu chez toi cette façon d'écrire des choses ou événements de la vie, qui couchés sur papier par d'autres auraient l'air banals et sans intérêt, mais qui, par toi, sont tout simplement magiques.
Sinon oui tes histoires n'ont pas de liens entre elles, mais même là, elles forment un tout quelque peu cohérent, une continuité, qui ravissent autant nos yeux et nos membranes cérébrales (waw, conseil de moi à moi: lâche la drogue poulette).
J'ai particulièrement adoré les deux premières histoires sur l'enfance et la découverte de la sexualité de Brian. D'abord parce que c'est foutrement bien écrit, les émotions présentes sont ressenties par le lecteur (ouais enfin par moi quoi)et parce que j'imagine assez bien Brian dans une telle ambiance familiale. Ca permet de sortir du cadre habituel du Brian trou de cul, arrogant, sans coeur mots lancés sans trop de raisons apparentes *rires*, pour se concentrer vraiment sur Brian Kinney, l'être en devenir *et quel putain d'être il deviendra une fois adulte*. Ce que tu lui fais vivre expliquerait pourquoi il est maintenant ce qu'il est. C'est tout à fait lui, sa vie, son univers, son mode de pensée...
Donc voilà mot mot c'est pas grand chose, mais ça vient de mon fond comme on dit ici.C'est ma façon de te montrer à quel point j'apprécie tes histoires et surtout celle qui se cache derrière ^^
Sinon je veux pas mon susucre (même si je le mériterais après avoir écrit tout ceci lol): j'ai quelque peu mal au coeur en ce moment.
Donc voilà ma toujours aussi bonne twinnie, continue can't wait for the rest car, comme le dit la chanson que j'écoute en ce moment: *it gets me higher* !
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Je suis très contente d'avoir réussi à retranscrire le Brian passé et le Brian présent sans le faire trop OOC. Je l'aime trop pour le louper grossièrement. Allez, plus que cinquante ! ^^
SY !
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