1er Janvier - Les oiseaux qu'on met en cage - Original | Illusion
Titre : En cage
Auteur : solhaken
Jour/Thème : 1er Janvier - Les oiseaux qu'on met en cage
Fandom : Original | Illusion
Personnage/Couple : Jeÿnakar et Ruyvën
Rating : G
Warnings éventuels : /
Disclaimer : à moi
L’Empereur laissa son regard errer sur la vaste salle de bal et son regard accrocha la haute silhouette de l’un des quatre Seigneur-Conquérant. Ruyvën s’était montré étrangement docile ces derniers jours, trop pour ne pas attirer son attention en vérité. Il observa un moment le masque en argent que portait le guerrier, un masque relativement neutre qui ne montrait rien des sentiments de l’homme qui le portait. Peut-être n’aurait-il pas du le consigner à la Cour, songea Jeÿnakar, peut-être aurait-il du accepter sa requête et le laisser s’éloigner, traquer ailleurs les ennemis de l’Empire au lieu de le retenir auprès de lui.
Ruyvën, il le savait, n’était pas fait pour rester enfermé, aussi fastueuse que puisse être la prison. Il connaissait trop bien le guerrier pour ne pas deviner la rage qui brûlait en lui et ne faisait que s’amplifier de jour en jour, menaçant de le consumer. Il n’en montrait rien bien sur, il n’en montrait jamais rien, mais il se morfondait, furieux de voir un homme, tout empereur qu’il soit, lui rogner ses ailes.
Auteur : solhaken
Jour/Thème : 1er Janvier - Les oiseaux qu'on met en cage
Fandom : Original | Illusion
Personnage/Couple : Jeÿnakar et Ruyvën
Rating : G
Warnings éventuels : /
Disclaimer : à moi
L’Empereur laissa son regard errer sur la vaste salle de bal et son regard accrocha la haute silhouette de l’un des quatre Seigneur-Conquérant. Ruyvën s’était montré étrangement docile ces derniers jours, trop pour ne pas attirer son attention en vérité. Il observa un moment le masque en argent que portait le guerrier, un masque relativement neutre qui ne montrait rien des sentiments de l’homme qui le portait. Peut-être n’aurait-il pas du le consigner à la Cour, songea Jeÿnakar, peut-être aurait-il du accepter sa requête et le laisser s’éloigner, traquer ailleurs les ennemis de l’Empire au lieu de le retenir auprès de lui.
Ruyvën, il le savait, n’était pas fait pour rester enfermé, aussi fastueuse que puisse être la prison. Il connaissait trop bien le guerrier pour ne pas deviner la rage qui brûlait en lui et ne faisait que s’amplifier de jour en jour, menaçant de le consumer. Il n’en montrait rien bien sur, il n’en montrait jamais rien, mais il se morfondait, furieux de voir un homme, tout empereur qu’il soit, lui rogner ses ailes.